Sortie
-
14 Juillet
Avec Jean-Christophe, nous sommes allés à Pontarlier déposer les garçons avant de partir à Combs le lendemain, et nous en avons profité pour assister au défilé puisque mon papa y participait. Il y avait aussi le 13° régiment du génie de Valdahon.
-
Presque 40 bornes
Les deux classes de CM2 ont fini le cycle vélo avec une sortie sur la journée d’hier. Comme j’ai passé l’agrément vélo de l’éducation nationale, j’ai bien évidemment accompagné lors de cette journée.
Nous avons eu du mal à prendre le départ à cause d’un problème de frein, puis après 3 km, nous avons fait une pause suite à une crevaison. Ensuite, nous sommes passés par les trois lacs de la zone humide avant de rejoindre l’allée royale jusqu’au gardien de la forêt. Presque 15 km au compteur (à la montre de la maîtresse) et nous avons fait la pause pique-nique. Ça fait du bien !
Pour le retour, j’ai laissé ma place à l’avant à une maman afin qu’elle surveille son fils asthmatique. Nous avions mis les enfants ayant du mal à l’avant afin de caler le rythme sur les plus faibles.
De retour en forêt de Sénart, deux groupes ont été fait. Un groupe qui rentrait quasiment directement à l’école et un groupe qui avait encore du jus et qui roulait. Avec Samuel, nous étions dans ce second groupe. Mais encore une fois, je me suis retrouvée à l’arrière. Mon rôle : vélo balai. Le moment le plus pénible : quand un enfant que l’on avait conseillé d’aller dans le groupe qui retournait à l’école mais qui n’a pas voulu, s’est dit prêt pour suivre et qui bien entendu, à la première difficulté (montée dans la boue) est descendu de vélo, a dit qu’il n’en pouvait plus et s’est mis à pleurer. Avec un papa, on a essayé de lui changer les vitesses à l’arrêt, mais problème de câble, toutes les vitesses ne passaient pas et le plateau était bloqué au milieu (câble complètement distendu). Ne sachant où nous étions, je suis partie seule pour essayer de retrouver le groupe. Ne nous voyant pas, ils nous attendaient un peu plus loin.
Ensuite, on a pu rouler un peu plus, le chemin étant plus praticable.
Plus tard, c’est un autre élève qui n’avait plus de jus. Mais là, j’ai eu droit au gamin adorable, qui n’en pouvait plus mais qui avait toujours le sourire et qui ne se plaignait de rien. On est allé tous les deux à son rythme, il a pris le temps de remanger un peu, et nous sommes rentrés tranquillement à l’école en suivant le groupe tout en repassant par les trois lacs du début.
Quasiment, 40 kilomètres pour ce groupe, mais ils se sont dépassés et étaient heureux de cette journée.
En attendant que Nathanaël sorte de l’école, Ibrahim est passé me voir et m’a remercié avant de rentrer chez lui. Franchement adorable cet enfant.
Il a beaucoup plu ces derniers jours, c’est donc tout crotté que nous avons rejoint la maison. -
Sortie scolaire
Jeudi, Samuel et sa classe sont partis en sortie à côté de chez nous à l’écurie qui se trouve à Tigery. Ne travaillant plus, j’ai fait une pause dans nos cartons et je les ai accompagnés.
Il y a eu 6 ateliers dans la journée. Visite de l’écurie et alimentation en premier. Nous avons eu le droit de goûter aux granulés des chevaux.
Puis, parcours sur un poney.
Et le pansage pour terminer la matinée.
La journée s’est poursuivie avec le pique-nique et une balle au prisonnier avant de continuer avec l’atelier concernant les métiers autour du cheval. Ils ont enchaîné avec un autre parcours où il fallait attraper une tasse pour la reposer ailleurs et le groupe de Samuel a fini avec le trot. Cheval cette fois-ci pour mon grand, il n’était pas à l’aise et la monitrice n’était pas particulièrement patiente, il n’a pas aimé.
Dernière photo après avoir raccompagné les chevaux au pré.
-
Promenades Valdahonnaises
Soir 1
Soir 2
-
Fête surprise
Mélissa, l’amoureuse de Samuel a décidé de lui faire une fête avant notre départ. Au final, c’est toute la famille qu’elle a invité pour manger. Nous avons tenu notre destination secrète jusqu’à ce que l’on sonne chez eux.
Quelques photos du dessert réalisé par Mélissa :
Samuel a reçu en cadeau une boussole et un livre sur le Titanic.
-
Besançon (Jour 147) – La grande sortie à Montfaucon
Mon après-midi était libre, le soleil était plutôt bien présent, l’appareil photo était chargé, mes jambes me picotaient, bref, c’était le moment de partir en rando !
Pour ceux qui remontent le temps sur le blog, notez que j’ai fait un petit plan dans cet article (cliquez donc sur « cet article« ) de manière à pouvoir vous projeter géographiquement sur les endroits dont je parle.
Je voulais que ça grimpe un peu et que ce soit agréable pour les yeux. J’ai donc décidé de partir rive gauche du Doubs, en face de chez moi, de traverser la parc Chamars, de continuer vers la Gare d’Eau, et de traverser le tunnel « piéto-fluvial » sous la citadelle. Quelques photos pour la route, ça se poursuit après…
Je me suis retrouvé toujours rive gauche, mais bien plus en amont. J’ai suivi la voie verte qui longe la rivière, pendant près de 45 min.
Arrivé à « La Malate » j’ai trouvé ce drôle d’arbre : à moitié en feuilles, à moitié en fleurs…
Et puis après quelques centaines de mètres, j’ai quitté la voie verte et le cours tranquille du Doubs pour commencer à grimper. Un sentier régulier, assez raide, dans la forêt.
Après ce petit dénivelé, changement de paysage ! Je me suis retrouvé au milieu d’une prairie, où les vaches auraient pu être des brebis au paradis tant l’endroit respirait le calme et la sérénité.
A partir de là, un choix s’est imposé à moi. Soit je bifurquais à droite pour visiter les ruines du château de Montfaucon, soit je continuais tout droit vers Montfaucon, soit je prenais à gauche pour grimper sur un autre petit sommet jusqu’au fort de Montfaucon. (oui, tout s’appelle « Montfaucon » ici…). J’ai choisi la dernière option.
A nouveau la forêt, le sentier, la grimpette, des passages sous des barres rocheuses, des grimpettes encore, et je me suis retrouvé sur une prairie, en haut des petites falaises, apparemment spots d’escalade assez connus dans le coin. Je me suis dit que si je me cassais la bobine, personne ne me retrouverait…
Enfin, je suis arrivé au fort de Montfaucon. Mais à vrai dire, j’ai eu un petit moment de solitude, en découvrant le fort, derrière des douves, mais surtout entouré de grillage et de panneaux « Terrain militaire, défense d’entrer ». J’ai eu peur de tomber sur une garnison fantôme de soldats Romains ! Qui habiterait encore un fort (en piteux état) aujourd’hui ?
Il suffisait de contourner l’édifice pour avoir le dénouement de l’intrigue…
Je n’ai pas fait demi-tour, j’ai opté pour redescendre vers le village de Montfaucon, pour revenir, vous avez suivi, par le chemin « d’en face » au niveau des vaches. Là aussi, lot de surprises : des grottes, de la poudre et des chauves-souris…
De retour à mes vaches, qui ne se reposent plus mais se remplissent la pense, je parcours les 300 m qui me séparent du château. Il est en relative rénovation, mais je confesse n’avoir pas lu le panneau explicatif…
A partir de là, j’ai pris le même chemin en sens inverse. Avec des chamois surprises un peu avant d’arriver au niveau de la voie verte.
J’ai fait miennes ces paroles d’un auteur du plat pays : « Ereinté, je l’avoue, mais heureux comme un roi !… Ah ! la montagne que c’est beau !… Et puis cet air vif et léger, un peu piquant… Vous devriez m’accompagner, ne fût-ce qu’une fois… ».
Au total, j’ai parcouru 20 km. Sans eau, parce que je n’ai pas de sac à dos ici… et parce que je n’y ai pas pensé : on n’est qu’au mois d’avril… Cependant, mon jus d’orange, en rentrant au studio, m’a sauvé la vie…
-
Besançon (Jour 147) – Les chamois
Si, tel Saint Thomas, j’ai osé douter de la présence de chamois dans le Haut Doubs il y a plus de 10 ans, j’ai pu immortaliser leur présence aujourd’hui, au cours d’une longue promenade. Une preuve pour la postérité, censée convaincre les générations futures… Je n’étais pas tout à fait dans la Haut-Doubs, mais peu importe…
-
Musée
Bienvenue au musée. Comme le confinement nous empêche de faire des visites réelles, voici une visite virtuelle. Profitez-en, via le blog, c’est gratuit !
-
Au bord de l’Yerres et chevaux
Le titre résume bien la sortie vélo d’hier après-midi.
-
Sortie nature
Les vacances sont là, et comme nous n’avons pas le droit d’aller bien loin, nous avons sorti les vélos et sommes partis du côté des zones humides.