• Famille

    Fête des mères

    La fête des mères revient souvent… très souvent… trop souvent… Lorsqu’on est tout petit, on offre des colliers de pâtes, des sculptures en pâte à sel, des fleurs en papier crépon, etc… Ensuite, on offre du chocolat, des tabliers de cuisines, des places de cinéma,…  Plus tard, on envoie des fleurs, où se contente d’un appel téléphonique, et puis… et puis ça devient de plus en plus difficile de faire plaisir…

    Samedi dernier, veille de fête des mères, je me suis levé à 4h30 pour aller travailler. C’était le dernier jour de boulot avant mes repos. En me brossant les dents, mon cerveau s’est subitement emballé. Passé l’effet de surprise de cogiter à cette heure là, j’ai décodé ce qu’il essayait de me dire Clignement d'œil : en finissant de travailler vers 14 heures, il était possible de sauter dans un train vers 15 heures, de redescendre à Villefranche pour fêter les Mamans. Je suis donc allé trouver Julie, qui ronflait, pour lui exposer l’idée. Bien que ses parents soient absents jusqu’au dimanche soir, elle était d’accord. Les miens, en revanche, devaient être là… Mais pour faire encore plus plaisir, il fallait créer un effet de surprise, et pour ce faire, il fallait mettre le reste des membres de la famille au courant du stratagème. Histoire d’avoir “des complices”.

    J’ai donc passé une partie de ma matinée au téléphone, entre 2 trains, et j’ai retrouvé Julie et Samuel vers 14 heures gare de Lyon. Après un voyage parfait avec notre Asticot, nous avons débarqué à Villefranche. Mes parents n’étaient pas à la maison, mais c’était prévu. Nous avons donc déposé un joli bouquet sur la table de la cuisine et nous nous sommes cachés. Le résultat a été à la hauteur de nos attentes : maman, en rentrant, a versé la “larmette”, trop heureuse de nous voir.

    Le lendemain soir, nous avons réitéré la surprise avec la maman de Julie, elle aussi très étonnée et contente de nous voir. Son papa, lui, savait : c’était aussi notre complice…

    Nous sommes repartis lundi en début d’après-midi, ravis de ce week-end “surprise”.

    Reste à présent le plus difficile à faire : trouver quelque chose pour l’an prochain ! Sourire