• JC,  Vélo

    Les rendez-vous cyclistes 2014

    Ça y est, les rendez-vous 2014 sont fixés ! Il y en aura deux. Les dates restent à définir, mais c’est secondaire.

    Chacune de ces épreuves se dérouleront sur une journée.

    Sans surprise, la première – et la plus importante – est Arnas-Tamié. Je présente ci-dessous le parcours ainsi que le profil altimétrique :

    On note deux difficultés : le col de l’Epine et le col de Tamié. L’ensemble fait près de 190km, tout de même… Avec un départ dans les 4 heures du matin, c’est jouable… Je précise qu’il n’y aura pas de retour en vélo. Ce sera en train ou en voiture 🙂 … Il existe une variante à ce parcours, qui me ferait passer par le « Nord », Nantua, Annecy, … Ces deux itinéraires font la même distance. A priori, je retiens le passage par le « Sud », car globalement plus « plat ».

    Passons à la seconde épreuve. Il s’agit d’un « bonus » qui me tient particulièrement à cœur, puisque ancré dans mes souvenirs : j’ai nommé le Ballon d’Alsace ! Bien sûr, un « Ballon d’Alsace » tout seul n’est pas très intéressant. J’ai donc concocté une boucle au départ de Belfort, pied-à-terre potentiel… Ce que je n’avais prévu lors de l’élaboration du parcours, c’est que je devais aussi me payer un Ballon de Servance… rien que ça… Mais sur 100 km, c’est tout à fait faisable ! N’oublions pas que j’ai à mon actif un St Jean de Maurienne – Galibier !

    Voici donc le détail de la balade :

    Pour ne pas passer à côté de ces sorties, je me prépare plutôt activement. Je profite pour sortir entre deux jours de pluie, et le reste du temps, j’effectue mes exercices sur home-trainer, au milieu du salon et sous un « déluge » de sueur…

    Le suivi de l’entraînement 2014 est disponible sur le blog du « Projet Tamié 2014 » . Au 19 janvier, je suis à 260 km. On peut espérer atteindre les 300 km de moyenne par mois, ce qui, théoriquement, devrait donner 3600 km sur l’année. C’est peu, mais déjà pas mal pour un « moi »…

  • JC,  Vélo

    Comme les pros, mais en amateur…

    L’an passé, je m’étais lancé comme défi de gravir le Col de l’Iseran depuis Modane. Et j’avais réussi… Il y a quelques semaines, mes roues m’ont fait savoir qu’elles retourneraient bien “tâter le bitume” à la montagne. Ayant un “pied à terre” bon marché à St Jean de Maurienne, l’itinéraire sportif était tout trouvé : Les cols du Télégraphe et du Galibier !

    Mais avant de détailler la “balade”, commençons par LA photo, prise à 1,5 km du sommet :

    galibier-griffe

    A présent pour les plus courageux, un peu de lecture…

    Je pars le lundi matin, en TER depuis Paris pour rejoindre St Jean de Maurienne. Pourquoi en TER ? Parce qu’en TGV, j’aurais dû séparer cadre, roues et pédales et fourrer le tout dans une housse. L’espace étant déjà restreint pour une vulgaire valise, un vélo en kit aurait été trop encombrant. Sans parler du risque important de détérioration !

    Arrivé à destination, j’ai droit à une visite guidée de la ville en mini-autobus, à un repas de champions (des pâtes…), à une bonne petite soirée et… à une petite nuit, le réveil sonnant à 6h…

    A 7h, je suis fin prêt, et m’élance dans la fraicheur alpine. Il fait 8°C. Plus tard, ça descendra à 6… Je parcours les 13 km qui séparent Saint Jean de Saint Michel de Maurienne. Je gère l’effort, car même si ça roule plutôt bien, il faut garder un maximum d’énergie pour plus tard 😉 …

    “Plus tard”, c’est maintenant. Après une pause pipi et un premier ravitaillement, les hostilités commencent : la grimpette du Col du Télégraphe. 12 km à 7,3% de moyenne. Mon organisme est bien préparé, et l’ascension se déroule bien. Au bout d’une cinquantaine de minutes, je suis en haut du premier obstacle, et me délecte de la petite descente vers Valloire. Tout en gardant à l’esprit que chaque mètre descendu devra être remonté 🙁 …

    A Valloire, il fait froid, et il n’y a personne en ce mardi matin… Second ravitaillement, et c’est reparti pour l’ascension finale : les 17 km du Col du Galibier !

    Mais à 9 km du sommet, je dois déjà m’arrêter. Mes jambes me rappellent qu’elles viennent de franchir le télégraphe et réclament du carburant. Je les satisfais en ingurgitant un gel concentré. J’en profite aussi pour me déshabiller un peu. En levant les yeux, je vois les lacets qui serpentent, et qui montent hauts, très haut… Je repars, mais je stoppe à nouveau 3 km plus loin. Une barre de céréale, et je relance… pour 1,5 km ! Histoire de contenter ma seconde jambe, je prends un second gel. Mais mon moral tombe bien bas. Je me mets à douter… Mes jambes me brûlent et ne veulent plus tourner… Dans un dernier effort, je repars. Mon corps me fait alors comprendre qu’il n’est pas d’accord du tout, et je ressens une double crampe à la cuisse droite : dessus et dessous ! Je m’arrête encore, pour marcher et détendre ces foutus muscles. Il reste 3,5 km. La crise passée, je repars une nouvelle fois…

    Mais cette fois, les gels font leurs effets, et, bien que souffrant comme un galérien, je roule ! Le sommet, qui me domine depuis un certain temps déjà, semble toujours inaccessible. Sa hauteur comparée à la distance restante laisse présager de la raideur de la rampe… A 1,5 km, au détour d’un virage, surprise, un photographe professionnel immortalise l’exploit des cyclistes (d’où la photo 😉 ). Bien que relativement “frais” sur le cliché, j’entre dans un état second. Mes nerfs deviennent incontrôlables, mon visage se crispe, et des larmes s’échappent sans que je ne puisse les retenir. En fait, je ne sens plus la douleur, mon esprit et mon corps semblent se séparer. C’est donc ça, le “dépassement de soi” ?

    Le sommet est là, à 500m, et il semble enfin se résigner à être vaincu. Vers 11h40, la route redevient plane, je suis en haut !

    Je m’y attarde une dizaine de minutes, puis m’équipe pour redescendre. La suite est moins fatigante, mais plus rapide. Je croise de nombreux autres cyclistes qui en bavent.

    Arrivé à Valloire, et après un petit sandwich, je remonte le Col du Télégraphe. Ce n’est pas très raide, et je grimpe assez facilement. Puis j’entame la dernière descente, longue et… dangereuse (dédicace à Beloki) 🙁 . Enfin, je retrouve “le plancher des vaches” à Saint Michel. Pour finir en beauté, je dois affronter un vent à 40 km/h sur les 13 derniers kilomètres. Mes jambes me brûlent terriblement, mais il faut bien rentrer…

    La journée se termine par une sortie à la pizzeria et une victoire des bleus. Sauf que personne n’a parlé de moi dans les journaux…

    Le lendemain, le train part à 8h10. C’est un peu comme à l’aller, mais avec un petit bonheur en plus…

    Merci Julie pour ces 3 jours 😉 !

    galibier_profil

  • JC,  Vélo

    Blog parallèle…

    Suite à l’ambitieux projet cycliste que je prépare, j’ai créé un “blog parallèle” afin de ne pas trop polluer celui-ci. En effet, une telle aventure ne concerne pas vraiment “Le Petit Nid”, mais plutôt “Papa Cigogne” uniquement… Donc certaines personnes ravies de nous suivre régulièrement se ficheront certainement de savoir si j’ai bien mangé mes 5 fruits et légumes, si la route va monter ou descendre, etc…

    Pour les curieux par contre, les derniers articles sont ajoutés sur ce blog, dans la partie droite !

    Voici l’adresse : http://projet-tamie-2014.lepetitnid.net/

    A très vite Clignement d'œil !

  • JC,  Vélo

    “Echange kilos en trop contre petite virée à vélo”

    L’école à Lyon est officiellement terminée. A présent, le reste de la formation s’effectuera à Paris. Après 5 mois d’efforts, de travail, mais aussi de franches rigolades, le constat est sans appel : j’ai pris entre 7 et 8 kilos. Avec les crêperies, les pizzerias, les “Indiens”, les “Thaï” à volonté, la cantine, les petits gâteaux, etc… , j’ai pris de l’embonpoint Embarrassé

    En ajoutant à tout cela l’absence totale d’activité physique depuis le mois de septembre, il va sans dire que je suis passé “du côté obscur”…

    Mais cette période étant passée, il est temps de se tourner vers l’avenir, et la nouvelle année pointant le bout de son nez, pourquoi ne pas choisir une bonne résolution en rapport avec ma santé ?

    C’est pourquoi je projette, dans la mesure où je réussis mon examen (parce que dans le cas contraire, je serai trop triste), de relier Combs-la-Ville à Plancherine… Pour entretenir le suspens, je vous laisse chercher ce qu’il y a à Plancherine, et faire le lien avec moi, avec Julie et avec…“Nous” !

    A première vue, il n’y a “que” 525 km, soit environ 21 heures d’effort à 25 km/h. Ah oui, il y a de la montagne aussi 😉

    Autant dire qu’il est urgent d’éliminer les pizzas, les frites, les glaces de chez Haagen Dazs (une expérience inoubliable d’ailleurs) qui resteraient collées quelque part dans mes artères, pour privilégier une alimentation équilibrée et… un entrainement intensif !

    La balade se déroulerait sur 3 jours, entre juin et septembre. Delgado, si tu passes par le blog, t’es invité 🙂 . Les autres aussi :-D…

  • JC,  Vélo

    Retour sur l’ascension du Col de l’Iseran

    Voilà presque 3 semaines que mon vélo m’a emmené au Col de l’Iseran. Maintenant que je suis rentré à Combs, il est temps de revenir en détail sur cette virée.

    Le parcours ne m’était pas totalement inconnu puisque je l’avais déjà fait maintes fois en voiture, et en fractionné. Les grandes inconnues restaient la sensation sur le vélo en montagne, l’endurance, le souffle et “le jus” pour aller au bout, tout en grimpette !

    Km 0 à 16 (départ à 7h30)

    Dès le départ dans Modane, la route se met à monter. Difficile dès lors d’évaluer l’effort à fournir pour ne pas “se griller” et s’échauffer convenablement tout en “forçant” pour avancer… C’est donc à très faible allure en utilisant un tout petit braquet que je me lance. Tout en respectant les règles d’hydratation régulières (2 gorgées tous les quarts d’heure en alternant eau et “breuvage magique”), les 45 premières minutes me paraissent très très longues. Pendant cette période, je me demande si je pourrai rejoindre, si ce n’est le Col, au moins le 15ème kilomètre 🙁 …

    Je sais qu’après le pont du Nant Sainte Anne, je retrouverai une route relativement plane, mais celui-ci tarde à se montrer. C’est donc un peu désorienté que j’arrive à “la barrière de l’Esseillon”. Ayant réussi à franchir les 5 forts, la route se met à descendre, l’occasion de faire remonter la vitesse moyenne jusque là ridicule, et surtout d’inaugurer mon nouveau coupe-vent acheté pour l’occasion.

    La partie reposante étant achevé, le profile redevient ascendant, mais le paysage, jusqu’alors rocheux et escarpé, devient agréable à regarder. On s’y sent bien, le calme qui s’en dégage et la fraîcheur de l’air produisent une sensation de sérénité faisant oublier les kilomètres qui défilent lentement et l’altitude qui augmente.

    J’arrive au kilomètre 16, il est 9h environ. C’est le moment de faire une pause. J’ai parcouru un quart de la montée, soit un huitième du parcours total. Une pâte de fruit, une barre de céréale, un pipi et 5 minutes plus tard, j’entame la suite de la rando…

    Km 16 à 32 (départ à 9h00)

    Ne sachant toujours pas si l’échauffement est terminé 😉 c’est toujours à vitesse réduite que j’évolue. En réalité, je ne veux surtout pas forcer et puiser dans mes ressources pour économiser un maximum et optimiser mes chances de rejoindre le col. Ce n’est pas une course !

    J’entre tranquillement dans Termignon, tout en sachant qu’un raidillon important m’attend à la sortie. Un bon aperçu miniature de ce qui m’attend ! Le plus décourageant, ce sont les autres cyclistes (tous plus vieux que moi) qui me dépassent tels des avions de chasse. Je franchis tranquillement cette difficulté, puis, arrivé en haut, retire mon coupe-vent. En effet, le soleil jusque là caché par la montagne, se découvre enfin et me réchauffe de ses rayons…

    Une petite descente permet de faire le point sur ma vie à mes gambettes de se reposer rapidement et comme prévu, j’entre dans Lanslebourg. L’occasion de goûter au gel énergétique, sensé me procurer un coup de fouet d’une bonne demi-heure. Les secondes, les minutes, et les kilomètres défilent, et je me retrouve sur la pente du Col de la Madeleine. Je n’éprouve aucune difficulté particulière, sauf psychologiquement lorsqu’un papy me dépasse, lentement mais sûrement…

    Arrivé au col de la Madeleine, après m’être alimenté et auto-congratulé, mon moral est au plus haut. En effet, si je n’ai parcouru “que” la moitié de la montée, je sais que le troisième quart est relativement plat et que mes ressources musculaires et physiologiques sont à peine entamées. Certain d’arriver à Bonneval sur Arc, je suis par la même occasion certain de commencer l’ascension du Col de l’Iseran.

    Km 32 à 44 (départ à 10h30)

    La route descend puis remonte très légèrement, le vent est nul, et une bonne odeur de fumier m’accompagne quand je pénètre dans Bessans. En ce dimanche, le village est particulièrement “vide”, et un peu tristounet. Les 6 kilomètres suivants, jusqu’à Bonneval se déroulent sans encombre. La montagne est magnifique et les vaches dans les prés, à défaut de regarder les trains, regardent les voitures et les cyclistes…

    A 11h10, je m’arrête au pied du Col, à Bonneval, pour un “dernier” ravitaillement. Les gourdes du vélo sont quasi vides, et je prépare alors la poche à eau, plus pratique pour boire durant l’effort.

    Km 44 à 58 (départ à 11h15)

    L’ “économie d’énergie” réalisée jusqu’ici est payante. Les 4 premiers kilomètres de forte rampe se passent tranquillement. Les aliments énergétiques absorbés assurent leur boulot de “super gasoil”. La route s’élève au dessus de la vallée, et le compteur peine à dépasser les 10 km/h. S’en suit un faux plat, puis encore de la montée. Une montée qui se fait sentir, tant dans les jambes que dans la tête. Au 7ème kilomètre, un arrêt non prévu s’impose : ça fait déjà 1 heure que j’ai quitté Bonneval, et il est temps de reprendre des sucres rapides. La côte est à plus de 10%, et la vitesse stagne à 7 km/h. Le vélo semble peser 25 kilos et je regrette mes excès alimentaires des semaines précédentes.

    J’arrive sur le dernier palier, à 3% quand même, je franchis le pont de la neige et entame les 3 derniers kilomètres, à 10%. Les bornes qui ponctuent les kilomètres semblent avancer en même temps que moi. A deux kilomètres du sommet, je m’arrête, faute de “jus”, reprend une dernière barre de céréales puis repars… pour m’arrêter à nouveau 300 m plus loin. Dans un dernier élan de courage, je repars à nouveau, à 3 km/h (oui, en deçà de cette vitesse je serais tombé, et oui, j’aurais été plus vite à pied). La dernière épingle arrive enfin. Je sens la crampe venir chatouiller ma jambe droite, et c’est alors ma jambe gauche qui fait le dernier effort pour arriver au sommet. Il est 13h 10 !

    Il y a du monde, des cyclistes et des motards (car je ne l’ai pas précisé, mais de nombreuses motos m’ont dépassé tout au long de mon périple).

    Mon ventre est tout barbouillé, sans doute à cause de l’effort, mais aussi à cause des aliments ingurgités. La salade de pâtes passe plutôt mal, et je ne m’attarde pas très longtemps, 15 minutes tout au plus.

     

    Retour (départ à 13h25)

    Très vite, le vélo accélère, l’occasion de tester les freins à haute vitesse. En combinant l’avant et l’arrière, ça semble passer… 🙂

    Le coupe-vent remplit sa fonction, et le vent siffle dans mes oreilles. Le compteur affiche 40, 50, 60 km/h. C’est grisant, la route défile sans je puisse la voir. Je dépasse à mon tour des vélos qui n’avancent pas, et négocie du mieux possibles les virages serrés, ceux qui m’ont tant fait souffrir en montant et qui paraissent à présent bien anecdotiques. Le compteur affiche jusqu’à 69,3 km/h…

    J’arrive au pied du col, à Bonneval, il est 13h45. Deux heures de montée pour 20 minutes de descente…

    La suite du retour est plutôt agréable, les descentes rapides, et je peux enfin pédaler à bon rythme, ayant retrouvé quelques forces. Le vent est tantôt de face, tantôt de dos, au gré de vallées convergentes. Sans la moindre pause depuis Bessans, j’arrive à la voiture à 15 h 35. Je suis parti depuis plus de 8 heures : une bonne journée de travail ! 🙂

    Il ne reste qu’à parcourir les 240 km pour rentrer à Arnas, épreuve assez difficile compte tenu de la fatigue accumulée, du soleil de face et de la circulation du dimanche soir !

     

    Finalement, cette journée restera une très belle expérience, à refaire bien entendu (ailleurs ? accompagné ? …). Matthieu, quand est-ce que tu me réinvites chez toi ???

  • JC,  Vélo

    C’est fait ;-)

    Ça y est, je suis parti, je suis allé au bout, et je suis rentré !

    Aucune mauvaise surprise, le « Gel Energy » n’est pas trop mauvais goût et est assez efficace, seuls les 4 derniers kilomètres de la montée du col ont failli avoir raison de moi. Mais à 4 km, il aurait été stupide de faire demi-tour.

    J’ai parcouru les 57 km de montée en 5h30 (arrêts compris) et la descente en… 2h !

    Finalement, c’était une super expérience. Je n’avais jamais fais de vélo en montagne, mais c’est sûr, c’est à refaire !

    Seul point négatif : les autres cyclistes qui dépassent comme des flèches, trop déprimant…

  • JC,  Vélo

    Projet Haute-Maurienne 2012 (J-5)

    Dernière partie, et pas la plus simple : les 14 kilomètres qui séparent Bonneval du Col de l’Iseran.

     

    Le profile ne permet pas de se reposer, il va falloir s’adapter. Mais peut-être n’arriverais-je jamais à Bonneval 🙁 .

    En chinant, j’ai dégoté un détail des pourcentage de ces 14 derniers kilomètre (l‘image est cliquable pour la voir en plus grand) :

    Col_de_lIseran_Bonneval_sur_Arc_profile

    J’ai effectué aujourd’hui la dernière sortie d’entraînement sur route (voir ici). Le reste de la mise au point se fera en intérieur. Quant au vélo, il ne reste plus qu’à le bichonner jusqu’à dimanche !

  • JC,  Vélo

    Projet Haute-Maurienne 2012 (J-6)

    Les préparatifs se poursuivent. J’ai commencé le “régime de la dernière chance”, à base de tout, mais aussi de céréales, de yaourt au “germe de blé” pour le petit-dèj, etc…

    Je me suis également procuré un second bidon pour la potion magique, un coupe-vent, un “fond de jante” en espérant ne pas à avoir à le remplacer, parce que je ne l’ai jamais fait !

    J’ai également trouvé les gels “coups de fouet”, en cas de coup dur 🙂 .

    Et voici le troisième et avant-dernier épisode du feuilleton, du Col de la Madeleine à Bonneval sur Arc :

    On s’aperçoit que juste après le col… ça descend, et qu’après ça remonte ! Pas de doute, nous sommes à la montagne ! La rampe est assez régulière, il faut espérer que le vent souffle “dans le bon sens”… Si j’arrive à Bonneval, je serai “au pied du mur”. Il n’y aura alors pas d’autre choix que de l’escalader.