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Parenthèse bug
Suite à la migration du blog vers un nouvel hébergeur début septembre, un bug empêchait la publication de nouveaux commentaires, mais j’étais passé à côté.
En gros, les commentaires s’enregistraient bien mais ne s’affichaient pas.
Ce problème devrait être à présent résolu 😉 mais les commentaires envoyés entre septembre et aujourd’hui n’ont pas été pris en compte.
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Anniversaire de Puce
Hier 20 juin, c’était l’anniversaire de Julie. 35 ans, donc on a le même âge pendant 3 mois. Nous l’avons gâtée, même si Samsam s’est laissé déborder par le temps et poursuit encore la préparation de son cadeau…
Chaleur / canicule oblige, c’est un gâteau sans four qu’elle s’est confectionnée : une charlotte aux pêches !
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Quelques photos
Voici quelques photos pour ceux qui ne connaissent pas trop notre région. Ou qui ne connaissent qu’avec de la neige. Ou qu’avec du brouillard. Bref, vous avez compris…
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Cap sur l’Alsace
Nous avons rejoint l’auberge Alsacienne – qui se trouve encore dans les Vosges – en fin d’après-midi. Nous sommes passés sous la douche afin de nous débarrasser de la poussière et de la sueur de la sortie. Et nous sommes descendus manger. Nous avons discuté un peu avec la propriétaire. Elle nous a raconté les difficultés rencontrées lors des confinements et fermetures successifs des 24 derniers mois.
Pour la première fois, nos ogres n’ont pas pris de menu enfant. Nous non plus d’ailleurs. On a donc pris le temps d’être ensemble, laissant les soucis pour quelques instants. Le soir venu, les garçons se sont couchés, et Julie et moi avons fait un petit tour à Bussang, vers le Casino. Mais au regard de notre accoutrement, nous n’avons même pas essayé d’entrer. Enfin, nous sommes rentrés dormir aussi.
Le lendemain, le ciel était gris au réveil. Pendant notre copieux petit-déjeuner, il s’est d’ailleurs mis à pleuvoir, contrariant nos plans de sortie au lac de Michelbach. Nous avons donc décidé de passer « la frontière » vers l’Alsace, de faire nos emplettes à Cernay, et d’aviser ensuite, en fonction de la météo.
Thann n’a pas vraiment changée. Le samedi matin, il y a toujours un peu de circulation le long de la voie ferrée, et il faut presque 15 minutes pour traverser la ville.
Juste avant d’arriver à Leclerc, on a découvert un entrepôt Emmaüs. Rien d’extraordinaire, sauf que je n’en avais jamais vu de si important. Nous y sommes rentrés : plusieurs halls, plusieurs « univers », les meubles, le bazar, les livres, les jeux, les chaussures, les pianos, l’électro-ménager, bref, une véritable réplique du BHV Rivoli !
Ensuite, nous avons fait le plein de spécialités alsaciennes, et nous avons mangé… dans la voiture, sous des trombes d’eau !
Et puis le ciel s’est éclairci, et nous avons décidé d’aller à Luemschwiller, le village de mes grand-parents. Pour passer au cimetière d’abord, pour peut-être croiser mon oncle ensuite, et pour faire une promenade sur les chemins alentours enfin.
Mon oncle n’était pas à la maison. Nous avons fait un petit aller-retour vers La Vierge aux Roses. On a vu des miradors et des chevreuils, mais personne entre les deux pour assurer le spectacle…
Vers 16h, nous avons repris la route vers la Franche-Comté, faisant une pause dans une usine de choucroute croisée par hasard.
Ce bon week-end s’est achevé à notre arrivée, vers 18h30.
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Week-end sur les traces de mon enfance
Le samedi 23 avril, nous devions recevoir la famille de mon frère. Ce devait être leur première visite chez nous à Valdahon. Mais quelques jours avant, ils ont annulé. L’occasion pour nous de partir en week-end décalé (vendredi-samedi) en famille ! Surtout que la météo annonçait du beau temps le vendredi. Nous avons réservé notre chambre et notre table à l’auberge Alsacienne de Bussang, pour la cinquième fois, et nous avons préparé une bien belle randonnée que je faisais parfois avec mes proches quand j’avais entre 8 et 14 ans… Avec l’aide de mes parents, j’ai retrouvé l’itinéraire. Nous avons bouclé nos maigres bagages et nos sacs à dos, et avons pris la route à 8h.
Nous sommes arrivés au parking du Rouge-Gazon un peu avant 10h30. Sous une fraîcheur printano-vosgienne, nous nous sommes mis en route. Étrange sentiment que de se retrouver sur ces sentiers que j’avais foulés étant enfant, pour m’y retrouver 25 ans plus tard, à la place de mon père, accompagné de mes propres enfants… Moi qui suis assez perturbé par le temps qui passe, cette situation m’a un peu chamboulé.
Mais continuons notre rando ! Lors d’une intersection, nous avons eu la mauvaise surprise de trouver notre chemin barré par un arrêté préfectoral pour cause de « grave danger de chutes d’arbres par dépérissement forestier ». Rien que ça… Héroïquement, j’ai décidé de braver l’interdiction. On s’est retrouvé rapidement au milieu d’un labyrinthe quasi impraticable, nous obligeant à slalomer à moitié courbés entre les sapins couchés, les branches et les arbustes. Les mollets égratignés de Nathanaël peuvent le confirmer. Enfin, nous sommes sortis de cet enfer pour nous retrouver dans une jolie prairie, au Gresson.
Poursuivant le périple, nous sommes descendus aux lacs du Neuweiher et nous y avons mangé vers 13h.
Après ce temps de repos sous un soleil assez chaud, nous avons entamé la suite de la randonnée, avec un sentier qui grimpait sans vraiment vouloir arriver en haut de la montagne. Samuel a fini par ronchonner, mais après une courte négociation, il est redevenu bien sage. Enfin, nous sommes retombés au lac des Perches, que nous avions vu d’en haut le matin.
Après une dernière grimpette, nous avons retrouvé le Col des Perches, en bouclant la boucle, et avons suivi le reste du sentier pendant 20 minutes avant de rejoindre le parking. Les garçons se sont amusés sur des jeux extérieurs et Julie et moi sommes allés voir un peu le « domaine skiable » du Rouge-Gazon, du moins ce qu’il en reste après l’incendie de l’an dernier.
Fatigués mais contents de cette journée, nous avons pris la route de Bussang, à une quinzaine de kilomètres de là.
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A nos 18 ans…
Parce qu’il y a 18 ans aujourd’hui débutait notre Histoire, parce que, comme le liseron du potager, elle s’enracine toujours davantage sans forcément le montrer et qu’aux premiers rayons de soleil elle réapparaît encore plus grande et plus forte, je devais faire un article surprise à mon amoureuse… Je t’Aime !
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Journée ski à Métabief
Il y a 10 jours, nous avons craqué ! Nous avons tenté de réserver une semaine de vacances à la montagne. Mais nous nous y sommes pris vraiment trop tard et tous les logements étaient complets. Sauf ceux avec un prix commençant à 3000 euros et allant crescendo… Alors on a abandonné l’idée.
Nous avons donc surveillé l’enneigement à Métabief toute la fin de semaine dernière et nous nous sommes offerts une journée de ski à 3/4 d’heure de chez nous.
Pour ceux qui n’aiment pas Dailymotion, ou ceux qui n’aiment pas les cookies, ou ceux qui n’aiment aucun des deux, la vidéo est disponible ici ( 300Mo ).
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Préparation à la migration
Comme on a décidé de déménager par nos propres moyens, on continue de se préparer. Dernier investissement, une remorque !
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Besançon (Jour 147) – La grande sortie à Montfaucon
Mon après-midi était libre, le soleil était plutôt bien présent, l’appareil photo était chargé, mes jambes me picotaient, bref, c’était le moment de partir en rando !
Pour ceux qui remontent le temps sur le blog, notez que j’ai fait un petit plan dans cet article (cliquez donc sur « cet article« ) de manière à pouvoir vous projeter géographiquement sur les endroits dont je parle.
Je voulais que ça grimpe un peu et que ce soit agréable pour les yeux. J’ai donc décidé de partir rive gauche du Doubs, en face de chez moi, de traverser la parc Chamars, de continuer vers la Gare d’Eau, et de traverser le tunnel « piéto-fluvial » sous la citadelle. Quelques photos pour la route, ça se poursuit après…
Je me suis retrouvé toujours rive gauche, mais bien plus en amont. J’ai suivi la voie verte qui longe la rivière, pendant près de 45 min.
Arrivé à « La Malate » j’ai trouvé ce drôle d’arbre : à moitié en feuilles, à moitié en fleurs…
Et puis après quelques centaines de mètres, j’ai quitté la voie verte et le cours tranquille du Doubs pour commencer à grimper. Un sentier régulier, assez raide, dans la forêt.
Après ce petit dénivelé, changement de paysage ! Je me suis retrouvé au milieu d’une prairie, où les vaches auraient pu être des brebis au paradis tant l’endroit respirait le calme et la sérénité.
A partir de là, un choix s’est imposé à moi. Soit je bifurquais à droite pour visiter les ruines du château de Montfaucon, soit je continuais tout droit vers Montfaucon, soit je prenais à gauche pour grimper sur un autre petit sommet jusqu’au fort de Montfaucon. (oui, tout s’appelle « Montfaucon » ici…). J’ai choisi la dernière option.
A nouveau la forêt, le sentier, la grimpette, des passages sous des barres rocheuses, des grimpettes encore, et je me suis retrouvé sur une prairie, en haut des petites falaises, apparemment spots d’escalade assez connus dans le coin. Je me suis dit que si je me cassais la bobine, personne ne me retrouverait…
Enfin, je suis arrivé au fort de Montfaucon. Mais à vrai dire, j’ai eu un petit moment de solitude, en découvrant le fort, derrière des douves, mais surtout entouré de grillage et de panneaux « Terrain militaire, défense d’entrer ». J’ai eu peur de tomber sur une garnison fantôme de soldats Romains ! Qui habiterait encore un fort (en piteux état) aujourd’hui ?
Il suffisait de contourner l’édifice pour avoir le dénouement de l’intrigue…
Je n’ai pas fait demi-tour, j’ai opté pour redescendre vers le village de Montfaucon, pour revenir, vous avez suivi, par le chemin « d’en face » au niveau des vaches. Là aussi, lot de surprises : des grottes, de la poudre et des chauves-souris…
De retour à mes vaches, qui ne se reposent plus mais se remplissent la pense, je parcours les 300 m qui me séparent du château. Il est en relative rénovation, mais je confesse n’avoir pas lu le panneau explicatif…
A partir de là, j’ai pris le même chemin en sens inverse. Avec des chamois surprises un peu avant d’arriver au niveau de la voie verte.
J’ai fait miennes ces paroles d’un auteur du plat pays : « Ereinté, je l’avoue, mais heureux comme un roi !… Ah ! la montagne que c’est beau !… Et puis cet air vif et léger, un peu piquant… Vous devriez m’accompagner, ne fût-ce qu’une fois… ».
Au total, j’ai parcouru 20 km. Sans eau, parce que je n’ai pas de sac à dos ici… et parce que je n’y ai pas pensé : on n’est qu’au mois d’avril… Cependant, mon jus d’orange, en rentrant au studio, m’a sauvé la vie…
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Petit plan de Besac
En faisant ma petite sortie du jour, je me suis dit que les 2 lecteurs du blog devaient être un peu perdus géographiquement quand je parlais de Besançon et des alentours. C’est normal, je comprends…
Alors j’ai « fabriqué » un petit plan, où l’on peut voir le relief, la photographie aérienne de la ville en fond très pâle, et les quelques points d’intérêts où je me balade. Il s’agit principalement de forts surplombants la ville, du haut de leur colline… On y retrouve aussi les axes routiers principaux, histoire de s’orienter, et… la gare et la ligne de chemin de fer Dijon-Belfort.
Les pointillés rouges délimitent approximativement la commune de Besançon.
Cliquez-dessus pour y voir en grand, l’image s’ouvrira dans un nouvel onglet !