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Les marraines sont là
Comme prévu, nous avons récupéré Anne et Cécile à 8h15 à Paris ce matin. Et dans leurs bagages, des cadeaux, dont un gros qui a tout de suite servi en arrivant chez nous :
Et puis nos p’tits gars sont allés dans la chambre pour jouer et lire avec leur marraine respective.
Je crois qu’ils sont contents 😉
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Supporteur

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Comment ça s’fait ?
Cet après-midi, nous sommes partis une nouvelle fois faire “Coucou” à Papa (On profite, les horaires de passage à Combs correspondent au rythme des loulous). Sur le chemin du retour, Samuel a ramassé plusieurs bâtons. En arrivant vers chez nous (face à la mairie pour les connaisseurs), je me suis assise sur un banc, et là, Samuel a commencé à prendre ses bouts de bois et à jouer. Il disait qu’il prenait des ciseaux, puis traficotait ses bâtons et essayait de les assembler. Après plusieurs essais infructueux, je lui ai dit que c’était normal, qu’il fallait prendre de la colle. Il a donc recommencé, sans plus de succès. Nous avons repris notre route et pendant ce temps là, Samuel continuait son expérience en disant en boucle : “Comment ça s’fait ? Comment ça s’fait, Maman ?”



J’ai commencé à lui dire qu’on ne pouvait pas recoller des morceaux de bois, et puis vu qu’il était bien occupé avec son affaire, je lui ai suggéré d’essayer avec du scotch. Ce qu’il s’est empressé de faire.
Arrivé au milieu de la résidence, ses deux bâtons sont devenus des skis, il les a même mis à ses pieds.

J’adore cet âge là où l’imagination est en pleine effervescence.
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Eclat de rire
Alors que je disputais Nathanaël ce soir, à table. Samuel y va de son petit commentaire. Je lui dit : “Heu toi, pouet pouet camembert”. Il se tait quelques secondes puis commence à dire : “Heu toi, pouet pouet camembert. Pouet pouet camembert. Pouet pouet fromage qui rit”.
Bon ben j’ai éclaté de rire.

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Troc
Hier matin, la gentille boulangère a donné une chouquette à Samuel et Nathanaël. En échange, Nathanaël lui a donné sa pomme de pin.

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Nouveau copain
Depuis quelques jours, Samuel a un nouvel ami… un ami imaginaire. Il s’appelle “Nounours”. Samuel l’emmène en promenade, au toboggan… un peu partout en fait, en le tenant par la main, ou plus précisément, entre le pouce et l’index. Pour le moment, on sait qu’il mange de la compote. 🙂 On en apprendra plus au fil des jours et des mois à venir !
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Visite chez le dentiste
Comme prévu, Nathanaël a eu son rendez-vous chez le dentiste mardi. Les nouvelles sont bonnes puisque les dents sont ressorties. A priori, contrairement à ce qui avait été dit en Juin, les germes des dents définitives n’ont pas été déplacés, ce qui est une bonne chose pour plus tard. Par contre, lors du choc, l’émail a peut-être été touché… si c’est le cas, pas d’inquiétude, ça se traitera dès que les dents définitives seront là. Les dents de lait peuvent encore tomber, mais ce n’est pas obligatoire, affaire à suivre donc.
Pour ce qui est de la vie quotidienne de notre p’tit loup, il est heureux puisqu’il peut manger à nouveau la même chose que nous, des morceaux, du pain (y compris la croûte)… Il faut juste veiller à ce qu’il n’arrache pas les aliments, pour ne pas qu’il tire sur ses dents (exemple : lui couper le pain en petits morceaux). Pendant plus d’un mois, il a mangé ses purées sans rechigner, mais c’était dur pour lui de ne pas manger comme nous. Ce soir, il était ravi d’avoir son assiette de spaghetti, ça fait plaisir de le voir content comme ça !

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Dessert


Il n’en perd pas une cuillère !
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Matinée au Parc

Nathanaël fait du serpent.



Sur les toboggans




Dans le train


Balançoire

Et tourniquet.
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Promenade pour voir Papa
A 16h23, hier, Papa passait à Combs en train, sur voie rapide. Nous sommes donc allés lui faire coucou.

En attendant le train…
Puis, le train est arrivé très vite puisqu’il était direct entre Melun et Paris, alors j’ai pris mes deux Cocos dans les bras, et on a tous fait signe à Papa. Nathanaël criait “Coucou” dans mes oreilles en agitant la main, et Samuel m’a dit comment le train avait sifflé. 😉
Petit gouter sur le banc à côté du pont puis retour chez nous comme on est venu, c’est à dire en tricycle :




Merci Ludivine !



