Sortie
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Promenades Valdahonnaises
Soir 1
Soir 2
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Fête surprise
Mélissa, l’amoureuse de Samuel a décidé de lui faire une fête avant notre départ. Au final, c’est toute la famille qu’elle a invité pour manger. Nous avons tenu notre destination secrète jusqu’à ce que l’on sonne chez eux.
Quelques photos du dessert réalisé par Mélissa :
Un régal ce gâteau macarons fait par sa maman Samuel a reçu en cadeau une boussole et un livre sur le Titanic.
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Besançon (Jour 147) – La grande sortie à Montfaucon
Mon après-midi était libre, le soleil était plutôt bien présent, l’appareil photo était chargé, mes jambes me picotaient, bref, c’était le moment de partir en rando !
Pour ceux qui remontent le temps sur le blog, notez que j’ai fait un petit plan dans cet article (cliquez donc sur « cet article« ) de manière à pouvoir vous projeter géographiquement sur les endroits dont je parle.
Je voulais que ça grimpe un peu et que ce soit agréable pour les yeux. J’ai donc décidé de partir rive gauche du Doubs, en face de chez moi, de traverser la parc Chamars, de continuer vers la Gare d’Eau, et de traverser le tunnel « piéto-fluvial » sous la citadelle. Quelques photos pour la route, ça se poursuit après…
Des galets dans un ruisseau Le canal qui relie les 2 côtés de La Boucle du Doubs, et la voie piétonne. Je me suis retrouvé toujours rive gauche, mais bien plus en amont. J’ai suivi la voie verte qui longe la rivière, pendant près de 45 min.
La Citadelle, on commence à connaître… Arrivé à « La Malate » j’ai trouvé ce drôle d’arbre : à moitié en feuilles, à moitié en fleurs…
Et puis après quelques centaines de mètres, j’ai quitté la voie verte et le cours tranquille du Doubs pour commencer à grimper. Un sentier régulier, assez raide, dans la forêt.
Après ce petit dénivelé, changement de paysage ! Je me suis retrouvé au milieu d’une prairie, où les vaches auraient pu être des brebis au paradis tant l’endroit respirait le calme et la sérénité.
A partir de là, un choix s’est imposé à moi. Soit je bifurquais à droite pour visiter les ruines du château de Montfaucon, soit je continuais tout droit vers Montfaucon, soit je prenais à gauche pour grimper sur un autre petit sommet jusqu’au fort de Montfaucon. (oui, tout s’appelle « Montfaucon » ici…). J’ai choisi la dernière option.
A nouveau la forêt, le sentier, la grimpette, des passages sous des barres rocheuses, des grimpettes encore, et je me suis retrouvé sur une prairie, en haut des petites falaises, apparemment spots d’escalade assez connus dans le coin. Je me suis dit que si je me cassais la bobine, personne ne me retrouverait…
Le centre commercial de Chalezeule Le côté Ouest de Besançon, protégé par ses forts sur les collines Le Doubs, qui coule et serpente dans la vallée Ne pas tomber… Besançon, en grand angle. Enfin, je suis arrivé au fort de Montfaucon. Mais à vrai dire, j’ai eu un petit moment de solitude, en découvrant le fort, derrière des douves, mais surtout entouré de grillage et de panneaux « Terrain militaire, défense d’entrer ». J’ai eu peur de tomber sur une garnison fantôme de soldats Romains ! Qui habiterait encore un fort (en piteux état) aujourd’hui ?
Il suffisait de contourner l’édifice pour avoir le dénouement de l’intrigue…
Sur la porte : Centre technique MONTFAUCON – 43 RT, d’où l’antenne… Je n’ai pas fait demi-tour, j’ai opté pour redescendre vers le village de Montfaucon, pour revenir, vous avez suivi, par le chemin « d’en face » au niveau des vaches. Là aussi, lot de surprises : des grottes, de la poudre et des chauves-souris…
Un sentier large, qui descend tranquillement quand soudain… … une succession d’entrées de galeries, certaines effondrées, d’autres pas. D’autres encore carrément fermées Une autre, enfin… habitée ! Ce sont d’anciennes cavernes du fort et lieu de stockage de la poudre… Depuis Montfaucon, la Citadelle en premier, le Fort de Chaudanne derrière, et le fort de Rosemont encore après, le plus haut. Les sommets du Jura qui se dressent au loin Parce que Dieu m’accompagne partout, il a sa place dans cet article ! Le château en ruines de Montfaucon De retour à mes vaches, qui ne se reposent plus mais se remplissent la pense, je parcours les 300 m qui me séparent du château. Il est en relative rénovation, mais je confesse n’avoir pas lu le panneau explicatif…
On trouve un vestige du château, mais aussi d’une église, … et puis d’autres trucs ! A partir de là, j’ai pris le même chemin en sens inverse. Avec des chamois surprises un peu avant d’arriver au niveau de la voie verte.
J’ai fait miennes ces paroles d’un auteur du plat pays : « Ereinté, je l’avoue, mais heureux comme un roi !… Ah ! la montagne que c’est beau !… Et puis cet air vif et léger, un peu piquant… Vous devriez m’accompagner, ne fût-ce qu’une fois… ».
Au total, j’ai parcouru 20 km. Sans eau, parce que je n’ai pas de sac à dos ici… et parce que je n’y ai pas pensé : on n’est qu’au mois d’avril… Cependant, mon jus d’orange, en rentrant au studio, m’a sauvé la vie…
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Besançon (Jour 147) – Les chamois
Si, tel Saint Thomas, j’ai osé douter de la présence de chamois dans le Haut Doubs il y a plus de 10 ans, j’ai pu immortaliser leur présence aujourd’hui, au cours d’une longue promenade. Une preuve pour la postérité, censée convaincre les générations futures… Je n’étais pas tout à fait dans la Haut-Doubs, mais peu importe…
Celui-ci m’a surpris, je ne m’attendais pas à le voir. 2 autres compères, quelques centaines de mètres plus bas Ils m’ont demandé comment ils devaient se tenir. J’ai dit de simplement regarder l’objectif… -
Musée
Bienvenue au musée. Comme le confinement nous empêche de faire des visites réelles, voici une visite virtuelle. Profitez-en, via le blog, c’est gratuit !
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Au bord de l’Yerres et chevaux
Le titre résume bien la sortie vélo d’hier après-midi.
le canard qui cancanait dans le pré des chevaux -
Sortie nature
Les vacances sont là, et comme nous n’avons pas le droit d’aller bien loin, nous avons sorti les vélos et sommes partis du côté des zones humides.
Un héron Deux cocos Des oies -
Besançon (Jour 134) – Le reste des photos
Cette tour bastionnée est droite en vrai. C’est le photographe qui a des bras pourris… 1er étage, fenêtre centrale et porte fenêtre à droite (serpillère), c’est chez moi ! -
Besançon (Jour 134) – La citadelle
La citadelle est fermée depuis que je suis arrivé dans le Doubs. On peut se rendre devant et se prendre pour un général de l’Empire Romain, mais on ne peut pas visiter. On souhaite vraiment que ce virus nous foutra la paix un jour prochain…
En attendant, la sortie du jour m’a emmené au pied des fortifications.
Le printemps est en retard sur cet arbre… Le mirador Finalement, ça doit être compliqué à attaquer… Question : comment on meuble une pièce ronde ? Ça doit être sympa une tyrolienne d’en haut jusque dans l’eau ! -
Besançon (Jour 134) – Le Doubs
Le Doubs fait une boucle sous la citadelle, ceinturant le centre historique de la ville. Je me suis limité au côté Ouest.
Ce sont les logements étudiant du CROUS, pas une réplique low-cost de Poudlard…