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JC découvre la noix de coco…
Oui, je parle de moi à la 3ème personne, et oui… j’ai découvert aujourd’hui ce qu’était réellement une noix de coco !
Mettons les choses au clair tout de suite : je savais que c’était une grosse noix très dure; et très difficile à ouvrir (cf. “Seul au Monde”) , qu’il y avait du jus dedans, et que ça avait le goût… des yaourts à la noix de coco ! (logique 😉 ).
Mais je n’en avais jamais eu de “vraie” entre les mains, et je n’en avais donc jamais mangé.
Profitant d’une escapade à Grand Frais, j’ai comblé cette lacune en achetant le fruit inconnu. Sur le chemin de retour, Julie a tenu à m’informer que ce n’était pas très bon, et pas évident à manger. Et surtout, que ça ne se mangeait pas comme un vulgaire kiwi ! Mais les yaourts à la noix de coco étant excellents, je me suis dit qu’elle avait tort…
Première épreuve vers 16 heures, avec la “vidange” de mon Cocos nucifera. A l’aide d’un marteau et d’un tournevis, j’ai percé 2 trous et ai extrait environ 20 cl de jus… Et nous l’avons bu 🙂 … Je m’attendais franchement au gout d’un cocktail sucré, accompagné de rhum, celui-là même que l’on déguste à la terrasse d’un bar au beau milieu des Caraïbes… En fait non ! Ce n’est pas ça du tout ! C’est de l’eau avec un vieux goût à peine perceptible… de noix de coco ! Et ce n’est pas du tout sucré…
Je ne me suis pas laissé aller, et ai activement préparé la seconde épreuve : casser cette fichue coquille et manger l’intérieur ! Le marteau et le tournevis n’étant cette fois d’aucune efficacité, c’est la scie qui nous a aidés !
Malheureusement, la chaire blanche à l’intérieure n’avait nullement la texture d’un yaourt… C’était dur, impossible à gratter, et c’est finalement avec la lame d’un couteau suisse que je m’en suis sorti… Au bout de trois quarts d’heure et avec l’aide de Julie, les 2 demis coquilles étaient vides ! Mais à manger, la chaire n’était pas bonne du tout ! Ah ça, mélangée avec des raisins secs, des bananes séchées, des papayes confites, etc, et un kir pêche, oui, ça passe bien ! Mais seule, comme ça, … non !
Nous avons donc décidé de la râper, pour la consommer dans des petits sablés !!! Certes, c’est un triste destin pour une noix de coco fraîche, mais c’est là son unique chance d’être mangée !