• Famille,  Vacances

    Rando en forêt

    Le 29 Juillet, nous avons fait une bonne marche dans le bois de Mietesheim. Vous remarquerez qu’il ne pleut pas. Il fait même chaud et c’est agréable d’être sous les arbres. Départ du gîte, Uberach, puis la forêt où nous allons trouver une ancienne voie ferrée militaire.

    Tombe du soldat allemand mort pendant la seconde guerre mondiale
    Dernière photo avant de quitter la forêt, de retrouver Uberach puis Bitschhoffen
  • Famille,  Vacances

    Mont Sainte-Odile

    La famille Bretonne était en vacances vers Colmar, la famille Doubiste était en vacances vers Haguenau, alors nous nous sommes retrouvés à peu près à mi-chemin au Mont Sainte-Odile.

    Les couz’
    Échange des cadeaux de Noël 2022
    La source Sainte-Odile

    Visite du sanctuaire le matin.

    Pique-nique amélioré le midi.

    Et une promenade en famille l’après-midi, le long du mur païen.

    Photo de groupe
    Ils sont bien tous les huit dans la cabane

    Après la marche, on passe un dernier moment ensemble autour d’un verre, d’une tasse ou d’une bouteille.

    Et puis la fin de journée arrive, c’est l’heure de se dire au revoir et de continuer les vacances au Sud pour les uns, au Nord pour les autres.

    Une bonne journée à 12
  • Famille,  Jardin,  JC,  Julie,  Samuel,  Sortie,  Vacances

    Un peu d’attente

    Et oui, je vous fais patienter dans le récit de nos aventures Alsaciennes car nous sommes encore en vacances et il y a de quoi s’occuper chez nous.

    Par exemple, cet après-midi, les mirabelliers ont été secoués.

    Récolte meilleure que prévue

    Du coup, dénoyautage… 2 kg pour de la confiture, 3,5 kg au congélateur, une tarte et le reste attendra un peu.

    Samuel a passé hier son certificat d’aisance aquatique pour son camp qui arrive prochainement.

    Jean-Christophe et moi sommes partis randonner en amoureux.

    Nous continuons le sport avant la reprise du travail, et le soir, nous faisons notre petit tour dans les alentours.

  • JC,  Sortie,  Vacances

    Savoie

    Jean-Christophe étant en vacances, il est parti 2 jours et demi pour faire une sortie vélo et une randonnée. Son frère et sa belle-soeur l’ont gentiment hébergé.

    Avant de rentrer, il est passé par Tamié.

    Abbaye
  • Famille,  Sortie

    Randonnée découverte

    Nous avons profité de ce jeudi en famille pour faire une belle balade tout près de chez nous mais dans un coin que l’on ne connaissait pas du tout. Direction Lods où nous avons garé la voiture au bord de la Loue.

    La Loue avec les canards

    Nous sommes au plus bas (380m), et nous allons grimper jusqu’à La roche de Hautepierre (882m).

    Ça grimpe bien dans Lods, mais ce n’est que le début.
    Jolie vue sur la Loue, nous sommes garés au niveau du pont
    Elle prend la pose
    Joli décor
    Presque au pied de la falaise

    Ça monte toujours, mais on est content de commencer par l’effort. La descente viendra sur la suite de la balade.

    Les escaliers… on arrive en haut.
    La roche de Hautepierre

    Nous y sommes, nous pouvons admirer le panorama (crêt Monniot, le Larmont, Le Mont blanc et la chaîne du Mont d’Or)

    Gorges de Nouailles où la Loue prend sa source
    Belvédère du Moine avec les rochers du Capucin
    Mouthier Haute-pierre avec les mêmes falaises qu’au dessus
    Petit récap’ de tout
    Le village au loin en bas, c’est Lods

    Allez, on redescend, les garçons remplissent les gourdes au cimetière et nous partons vers Mouthier Haute-pierre.

    Mais avant, on passe par Hautepierre-le-Châtelet
    Nous suivons le bon chemin
    Descente bien raide et qui glisse
    Mouthier Haute-pierre
    Mouthier Haute-pierre

    Avec Jean-Christophe, nous faisons la boucle de Sainte Foy et découvrons un parc d’attraction.

    Des enfants s’amusent bien

    Lods n’est plus très loin.

    Lods

    Après trois heures de marche, la boucle est bouclée. Nous nous arrêtons à l’église où nous achetons quatre livres d’occasion pour participer à la rénovation de la peinture de la coupole.

  • Famille,  Sortie,  Vacances

    Week-end sur les traces de mon enfance

    Le samedi 23 avril, nous devions recevoir la famille de mon frère. Ce devait être leur première visite chez nous à Valdahon. Mais quelques jours avant, ils ont annulé. L’occasion pour nous de partir en week-end décalé (vendredi-samedi) en famille ! Surtout que la météo annonçait du beau temps le vendredi. Nous avons réservé notre chambre et notre table à l’auberge Alsacienne de Bussang, pour la cinquième fois, et nous avons préparé une bien belle randonnée que je faisais parfois avec mes proches quand j’avais entre 8 et 14 ans… Avec l’aide de mes parents, j’ai retrouvé l’itinéraire. Nous avons bouclé nos maigres bagages et nos sacs à dos, et avons pris la route à 8h.

    Nous sommes arrivés au parking du Rouge-Gazon un peu avant 10h30. Sous une fraîcheur printano-vosgienne, nous nous sommes mis en route. Étrange sentiment que de se retrouver sur ces sentiers que j’avais foulés étant enfant, pour m’y retrouver 25 ans plus tard, à la place de mon père, accompagné de mes propres enfants… Moi qui suis assez perturbé par le temps qui passe, cette situation m’a un peu chamboulé.

    Le lac des Perches vu d’en haut
    Une petite fontaine qui alimente un chalet

    Mais continuons notre rando ! Lors d’une intersection, nous avons eu la mauvaise surprise de trouver notre chemin barré par un arrêté préfectoral pour cause de « grave danger de chutes d’arbres par dépérissement forestier ». Rien que ça… Héroïquement, j’ai décidé de braver l’interdiction. On s’est retrouvé rapidement au milieu d’un labyrinthe quasi impraticable, nous obligeant à slalomer à moitié courbés entre les sapins couchés, les branches et les arbustes. Les mollets égratignés de Nathanaël peuvent le confirmer. Enfin, nous sommes sortis de cet enfer pour nous retrouver dans une jolie prairie, au Gresson.

    L’ancienne frontière
    L’ancien douanier

    Poursuivant le périple, nous sommes descendus aux lacs du Neuweiher et nous y avons mangé vers 13h.

    Après ce temps de repos sous un soleil assez chaud, nous avons entamé la suite de la randonnée, avec un sentier qui grimpait sans vraiment vouloir arriver en haut de la montagne. Samuel a fini par ronchonner, mais après une courte négociation, il est redevenu bien sage. Enfin, nous sommes retombés au lac des Perches, que nous avions vu d’en haut le matin.

    La grimpette au dessus du Lac du Neuweiher

    Après une dernière grimpette, nous avons retrouvé le Col des Perches, en bouclant la boucle, et avons suivi le reste du sentier pendant 20 minutes avant de rejoindre le parking. Les garçons se sont amusés sur des jeux extérieurs et Julie et moi sommes allés voir un peu le « domaine skiable » du Rouge-Gazon, du moins ce qu’il en reste après l’incendie de l’an dernier.

    Pause goûter au lac des Perches. Le matin, nous sommes passés en haut de l’éboulis.
    Le barrage. Le lac servait naguère à alimenter des forges et une usine textile dans la vallée
    Passage à gué.

    Fatigués mais contents de cette journée, nous avons pris la route de Bussang, à une quinzaine de kilomètres de là.

  • Famille

    La Cluse

    Hier, nous sommes partis marcher en famille . Au départ de Pontarlier, nous sommes allés jusqu’au belvédère du Fer à Cheval avant de continuer jusqu’au Fort Malher.

    Le Château de Joux à droite, le Fort Malher à gauche.
    Fort Malher
    Devant le Fort
    Vue du Fort
    Vue du Fort (Château de Joux)
    Vue du Fort (vallée du Doubs)

    Nous sommes ensuite descendus au village de La Cluse et avons suivi le cours du Doubs avant de remonter sur le chemin de chèvres à flanc de coteau pour rejoindre Pontarlier.

    Vue sur le château depuis en bas

  • Famille,  JC,  Julie,  Nathanaël,  Samuel,  Vacances

    Un air de vacances

    Et oui, le titre de cet article contraste avec le précédent « Fin des vacances ». JC a bien repris pendant deux jours, et puis il a eu un congé. Comme nous avions une commande à récupérer au Décathlon de Pontarlier, et que la journée s’annonçait belle, nous en avons profité pour faire une bonne balade par là-bas.

    Jeudi, nous sommes donc allés au Grand Taureau. Nous nous sommes garés au parking du collège André Malraux et avons mis en marche nos petits petons.

    Les vaches sont en liberté, Nathanaël et son papa sont partis s’asseoir au milieu d’elles.
    Ça grimpe toujours, et nous sommes toujours au milieu des vaches.

    Une heure après le départ, c’est la pause gâteau et eau.

    Nous ne connaissons pas ce chemin, mais les paysages sont bien agréables.

    La pause repas arrive au sommet.

    Nous nous installons sur le blockhaus, savourons nos sandwichs et commençons à cramer. Pour ma part, j’ai mis de la crème solaire sur mes gambettes. Le souvenir d’un énorme coup de soleil lors de vacances bessanaises en 2007 est encore bien présent dans ma mémoire. Mais mon cou et ma nuque ont rougi. JC a pris des coups de soleil sur les genoux, et Samuel a bien morflé au niveau des épaules. Nathanaël a été relativement épargné.

    Nous sommes redescendus par le chemin que nous connaissions, c’est à dire par la route, en passant par le Fort du Larmont.

    Vue sur Pontarlier
    Des petits veaux

    Et puis nous reprenons notre sentier du départ qui nous permet de couper à travers champs. Les vaches redescendent vites…

    Nathanaël avait pris de l’avance, et de voir les vaches descendre à toute vitesse, il a couru également ce mettre à l’abri dans le passage permettant aux humains de quitter le champ. Ça fout la frousse de voir un troupeau de vaches arriver sur soi. 😉

    Ensuite, nous sommes allés récupérer la commande et sommes passés prendre le goûter chez Papy et Mamie. Le goûter s’est prolongé avec des grillades le soir.

  • Besançon,  Sortie

    Besançon (Jour 147) – La grande sortie à Montfaucon

    Mon après-midi était libre, le soleil était plutôt bien présent, l’appareil photo était chargé, mes jambes me picotaient, bref, c’était le moment de partir en rando !

    Pour ceux qui remontent le temps sur le blog, notez que j’ai fait un petit plan dans cet article (cliquez donc sur « cet article« ) de manière à pouvoir vous projeter géographiquement sur les endroits dont je parle.

    Je voulais que ça grimpe un peu et que ce soit agréable pour les yeux. J’ai donc décidé de partir rive gauche du Doubs, en face de chez moi, de traverser la parc Chamars, de continuer vers la Gare d’Eau, et de traverser le tunnel « piéto-fluvial » sous la citadelle. Quelques photos pour la route, ça se poursuit après…

    Des galets dans un ruisseau
    Le canal qui relie les 2 côtés de La Boucle du Doubs, et la voie piétonne.

    Je me suis retrouvé toujours rive gauche, mais bien plus en amont. J’ai suivi la voie verte qui longe la rivière, pendant près de 45 min.

    La Citadelle, on commence à connaître…

    Arrivé à « La Malate » j’ai trouvé ce drôle d’arbre : à moitié en feuilles, à moitié en fleurs…

    Et puis après quelques centaines de mètres, j’ai quitté la voie verte et le cours tranquille du Doubs pour commencer à grimper. Un sentier régulier, assez raide, dans la forêt.

    Après ce petit dénivelé, changement de paysage ! Je me suis retrouvé au milieu d’une prairie, où les vaches auraient pu être des brebis au paradis tant l’endroit respirait le calme et la sérénité.

    A partir de là, un choix s’est imposé à moi. Soit je bifurquais à droite pour visiter les ruines du château de Montfaucon, soit je continuais tout droit vers Montfaucon, soit je prenais à gauche pour grimper sur un autre petit sommet jusqu’au fort de Montfaucon. (oui, tout s’appelle « Montfaucon » ici…). J’ai choisi la dernière option.

    A nouveau la forêt, le sentier, la grimpette, des passages sous des barres rocheuses, des grimpettes encore, et je me suis retrouvé sur une prairie, en haut des petites falaises, apparemment spots d’escalade assez connus dans le coin. Je me suis dit que si je me cassais la bobine, personne ne me retrouverait…

    Le centre commercial de Chalezeule
    Le côté Ouest de Besançon, protégé par ses forts sur les collines
    Le Doubs, qui coule et serpente dans la vallée
    Ne pas tomber…
    Besançon, en grand angle.

    Enfin, je suis arrivé au fort de Montfaucon. Mais à vrai dire, j’ai eu un petit moment de solitude, en découvrant le fort, derrière des douves, mais surtout entouré de grillage et de panneaux « Terrain militaire, défense d’entrer ». J’ai eu peur de tomber sur une garnison fantôme de soldats Romains ! Qui habiterait encore un fort (en piteux état) aujourd’hui ?

    Il suffisait de contourner l’édifice pour avoir le dénouement de l’intrigue…

    Sur la porte : Centre technique MONTFAUCON – 43 RT, d’où l’antenne…

    Je n’ai pas fait demi-tour, j’ai opté pour redescendre vers le village de Montfaucon, pour revenir, vous avez suivi, par le chemin « d’en face » au niveau des vaches. Là aussi, lot de surprises : des grottes, de la poudre et des chauves-souris…

    Un sentier large, qui descend tranquillement quand soudain…
    … une succession d’entrées de galeries, certaines effondrées, d’autres pas.
    D’autres encore carrément fermées
    Une autre, enfin… habitée ! Ce sont d’anciennes cavernes du fort et lieu de stockage de la poudre…
    Depuis Montfaucon, la Citadelle en premier, le Fort de Chaudanne derrière, et le fort de Rosemont encore après, le plus haut.
    Les sommets du Jura qui se dressent au loin
    Parce que Dieu m’accompagne partout, il a sa place dans cet article !
    Le château en ruines de Montfaucon

    De retour à mes vaches, qui ne se reposent plus mais se remplissent la pense, je parcours les 300 m qui me séparent du château. Il est en relative rénovation, mais je confesse n’avoir pas lu le panneau explicatif…

    On trouve un vestige du château, mais aussi d’une église, … et puis d’autres trucs !

    A partir de là, j’ai pris le même chemin en sens inverse. Avec des chamois surprises un peu avant d’arriver au niveau de la voie verte.

    J’ai fait miennes ces paroles d’un auteur du plat pays : « Ereinté, je l’avoue, mais heureux comme un roi !… Ah ! la montagne que c’est beau !… Et puis cet air vif et léger, un peu piquant… Vous devriez m’accompagner, ne fût-ce qu’une fois… ».

    Au total, j’ai parcouru 20 km. Sans eau, parce que je n’ai pas de sac à dos ici… et parce que je n’y ai pas pensé : on n’est qu’au mois d’avril… Cependant, mon jus d’orange, en rentrant au studio, m’a sauvé la vie…