-
Départ en week-end
Hier midi, nous avons été « joueurs » avec notre vomito de service qui peut sévir dans certaines conditions. Du coup, sans bassine, nous sommes allés pique-niquer à la planche des belles filles. Pour la montée, l’estomac était vide. Mais après le repas, il y avait la descente à effectuer et encore à passer le ballon de Servance… On a joué à moitié, je lui ai cédé ma place à l’avant.
-
Jour 4
Dimanche, on a remballé toutes nos affaires et comme on était dans les Vosges, on a décidé d’y rester encore un peu. Nous sommes partis sur les crêtes.
Pique-nique, achat de Munster à la ferme auberge et promenade.
Et puis on est retourné à la voiture et on est rentré à la maison.
-
Cap sur l’Alsace
Nous avons rejoint l’auberge Alsacienne – qui se trouve encore dans les Vosges – en fin d’après-midi. Nous sommes passés sous la douche afin de nous débarrasser de la poussière et de la sueur de la sortie. Et nous sommes descendus manger. Nous avons discuté un peu avec la propriétaire. Elle nous a raconté les difficultés rencontrées lors des confinements et fermetures successifs des 24 derniers mois.
Pour la première fois, nos ogres n’ont pas pris de menu enfant. Nous non plus d’ailleurs. On a donc pris le temps d’être ensemble, laissant les soucis pour quelques instants. Le soir venu, les garçons se sont couchés, et Julie et moi avons fait un petit tour à Bussang, vers le Casino. Mais au regard de notre accoutrement, nous n’avons même pas essayé d’entrer. Enfin, nous sommes rentrés dormir aussi.
Le lendemain, le ciel était gris au réveil. Pendant notre copieux petit-déjeuner, il s’est d’ailleurs mis à pleuvoir, contrariant nos plans de sortie au lac de Michelbach. Nous avons donc décidé de passer « la frontière » vers l’Alsace, de faire nos emplettes à Cernay, et d’aviser ensuite, en fonction de la météo.
Thann n’a pas vraiment changée. Le samedi matin, il y a toujours un peu de circulation le long de la voie ferrée, et il faut presque 15 minutes pour traverser la ville.
Juste avant d’arriver à Leclerc, on a découvert un entrepôt Emmaüs. Rien d’extraordinaire, sauf que je n’en avais jamais vu de si important. Nous y sommes rentrés : plusieurs halls, plusieurs « univers », les meubles, le bazar, les livres, les jeux, les chaussures, les pianos, l’électro-ménager, bref, une véritable réplique du BHV Rivoli !
Ensuite, nous avons fait le plein de spécialités alsaciennes, et nous avons mangé… dans la voiture, sous des trombes d’eau !
Et puis le ciel s’est éclairci, et nous avons décidé d’aller à Luemschwiller, le village de mes grand-parents. Pour passer au cimetière d’abord, pour peut-être croiser mon oncle ensuite, et pour faire une promenade sur les chemins alentours enfin.
Mon oncle n’était pas à la maison. Nous avons fait un petit aller-retour vers La Vierge aux Roses. On a vu des miradors et des chevreuils, mais personne entre les deux pour assurer le spectacle…
Vers 16h, nous avons repris la route vers la Franche-Comté, faisant une pause dans une usine de choucroute croisée par hasard.
Ce bon week-end s’est achevé à notre arrivée, vers 18h30.
-
Week-end sur les traces de mon enfance
Le samedi 23 avril, nous devions recevoir la famille de mon frère. Ce devait être leur première visite chez nous à Valdahon. Mais quelques jours avant, ils ont annulé. L’occasion pour nous de partir en week-end décalé (vendredi-samedi) en famille ! Surtout que la météo annonçait du beau temps le vendredi. Nous avons réservé notre chambre et notre table à l’auberge Alsacienne de Bussang, pour la cinquième fois, et nous avons préparé une bien belle randonnée que je faisais parfois avec mes proches quand j’avais entre 8 et 14 ans… Avec l’aide de mes parents, j’ai retrouvé l’itinéraire. Nous avons bouclé nos maigres bagages et nos sacs à dos, et avons pris la route à 8h.
Nous sommes arrivés au parking du Rouge-Gazon un peu avant 10h30. Sous une fraîcheur printano-vosgienne, nous nous sommes mis en route. Étrange sentiment que de se retrouver sur ces sentiers que j’avais foulés étant enfant, pour m’y retrouver 25 ans plus tard, à la place de mon père, accompagné de mes propres enfants… Moi qui suis assez perturbé par le temps qui passe, cette situation m’a un peu chamboulé.
Mais continuons notre rando ! Lors d’une intersection, nous avons eu la mauvaise surprise de trouver notre chemin barré par un arrêté préfectoral pour cause de « grave danger de chutes d’arbres par dépérissement forestier ». Rien que ça… Héroïquement, j’ai décidé de braver l’interdiction. On s’est retrouvé rapidement au milieu d’un labyrinthe quasi impraticable, nous obligeant à slalomer à moitié courbés entre les sapins couchés, les branches et les arbustes. Les mollets égratignés de Nathanaël peuvent le confirmer. Enfin, nous sommes sortis de cet enfer pour nous retrouver dans une jolie prairie, au Gresson.
Poursuivant le périple, nous sommes descendus aux lacs du Neuweiher et nous y avons mangé vers 13h.
Après ce temps de repos sous un soleil assez chaud, nous avons entamé la suite de la randonnée, avec un sentier qui grimpait sans vraiment vouloir arriver en haut de la montagne. Samuel a fini par ronchonner, mais après une courte négociation, il est redevenu bien sage. Enfin, nous sommes retombés au lac des Perches, que nous avions vu d’en haut le matin.
Après une dernière grimpette, nous avons retrouvé le Col des Perches, en bouclant la boucle, et avons suivi le reste du sentier pendant 20 minutes avant de rejoindre le parking. Les garçons se sont amusés sur des jeux extérieurs et Julie et moi sommes allés voir un peu le « domaine skiable » du Rouge-Gazon, du moins ce qu’il en reste après l’incendie de l’an dernier.
Fatigués mais contents de cette journée, nous avons pris la route de Bussang, à une quinzaine de kilomètres de là.
-
Week-end entre Belfort et Vosges
Juste après l’anniversaire de Nathanaël, nous sommes allés voir mon parrain à côté de Belfort. Arrivés à 12h10 le samedi, il nous attendait avec une raclette. Miam.
Il nous a ensuite fait faire un tour dans Belfort, avec le marché de Noël et la maison du Père Noël, parfait pour nos petits loups qui avaient un doute sur son existence. Nous sommes allés sur la citadelle et avons découvert un beau point de vue sur la ville.
Nous avons dit “Au revoir” à mon parrain vers 16h, sommes passés en voiture devant le lion, puis, nous sommes allés au Leclerc de Cernay pour déposer nos bouteilles de bières consignées achetées cet été. Nous avons refait le plein de bière et avons rejoint notre petite auberge Alsacienne.
Accueillis par une bise de la patronne, nous avons retrouvé la chambre (rénovée) que nous avions eu lors de nos deux premiers séjours.
Les enfants grandissent, ils ont donc fait leurs devoirs avant d’aller manger.
Comme d’habitude, nous nous sommes régalés lors du dîner. Un civet de lièvre pour les parents et de délicieux nuggets pour les enfants.
Au réveil, un petit centimètre de neige était tombé. Parfait pour continuer notre dépaysement le temps du week-end.
Voici quelques photos du dimanche matin.
On se plaît bien dans cette auberge.
Juste avant de reprendre la voiture, nous avons fait une petite bataille de boules de neige.
Puis nous sommes allés à Golbey, juste à côté d’Epinal. Nous avons fait le plein de bonnes choses de la région, et avons visité le petit marché de Noël. Nous avons été très agréablement surpris. Les stands étaient essentiellement tenus par des retraités, les créations étaient “fait main” et les prix abordables, de quoi se faire plaisir sans dépenser trop.
De retour chez nous vers 18h, nous avons retrouvé notre rue dans le noir. Le voisin nous a accueilli dès la descente de voiture pour nous informer que la coupure d’électricité avait débuté vers 13h30. Nous avons cherché les bougies et mangé avec nos manteaux. Effectivement, il faisait 14 degrés dans la maison, brrr !
Aux alentours de 20h, la panne était réparée, nous avons pu nous doucher et remettre du chauffage dans notre maison.
-
Lorraine-Alsace
Vendredi après l’école, nous avons mis le cap sur Nancy. Nous avons passé notre première nuit à l’hôtel face à l’hôpital où Jean-Christophe a séjourné enfant (bras cassé, etc..). Le petit déjeuner (avec madeleines très bonnes) avalé, nous sommes partis visiter l’Aquarium et la galerie de zoologie. Ensuite, nous avons mis le Cap sur la Place Stanislas.
Après un petit tour dans la ville, nous sommes allés nous restaurer au Flunch de Tomblaine. Nous avons fait le tour du quartier où Jean-Christophe a vécu pendant 15 ans. Les enfants ont pu découvrir la maison et les écoles de leur papa quand il était petit.
En fin d’après-midi, nous étions sur les Crêtes où nous avons pu marcher pendant 1h.
Ensuite, il est temps de partir à Ventron. L’hôtel est dans son jus niveau décoration, mais nous avons super bien dormi et très bien mangé. Il y avait même une aire de jeu avec piscine à balles et toboggans. Nos garçons en ont profité le temps que je finisse mon dessert. On a passé une belle journée pour l’anniversaire de Jean-Christophe.
Le lendemain, nous sommes partis à Masevaux, afin de rendre visite à Mamama. Nous l’avons trouvé en forme pour ses 93 ans, elle ne change pas. Serge était là aussi, nous avons donc profité du tonton de JC, on était bien content de cette matinée familiale.
Et puis comme la veille, c’était l’anniversaire de Jean-Christophe et que le lendemain, Marraine, la sœur de son autre grand-mère, allait fêter ses 85 ans, nous sommes partis acheter quelques pâtisseries et lui avons rendu visite également avant notre retour
Ce fut un week-end intense, mais nous avons pu faire tout ce que nous voulions sans se faire mouiller par la pluie annoncée le samedi. Et nous étions (et sommes toujours) ravis de ce dimanche passé en famille.