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Besançon (Jour 147) – Les chamois
Si, tel Saint Thomas, j’ai osé douter de la présence de chamois dans le Haut Doubs il y a plus de 10 ans, j’ai pu immortaliser leur présence aujourd’hui, au cours d’une longue promenade. Une preuve pour la postérité, censée convaincre les générations futures… Je n’étais pas tout à fait dans la Haut-Doubs, mais peu importe…
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Le point sur le déménagement, la maison, et tout ce qui arrive…
Petit article pour clarifier un peu notre situation…
Nous avons trouvé notre future maison au Valdahon. Nous signons chez le notaire et récupérons les clés le 10 juin, sauf retournement de situation de toute dernière minute, évidement…
Nous avons aussi trouvé un acquéreur pour notre maison de Combs-la-Ville. Nous signons chez le notaire l’acte définitif aux alentours du 23 juillet.
Ce qui nous laisse 1 gros mois pour déménager.
Nous avons fait des devis auprès de 3 entreprises de déménagement. Le tarif proposé – pourtant en formule dite « éco » – est irrationnel. Du moins à nos yeux (et à ceux de notre porte-monnaie). Nous avons pris la décision, encore une fois, de déménager par nos propres moyens. S’il n’y avait que 15 km entre Brunoy et Combs, et 2 km entre l’appartement et la maison, cette fois, c’est plus de 400. Ce n’est donc pas la même organisation. Nous ferons un premier camion le 12 juin pour emmener 20 m3 de tout ce qui n’est pas indispensable (les combles, le garage, la cabane, les cartons déjà fermés, bibliothèques, lit gigogne, tables de chevet, petits meubles, …)
Voilà ce qui est prévu :
- Jeudi 10 juin : signature chez le notaire, récupération des clés, première installation dans la maison à Valdahon. Je (JC) serai seul.
- Vendredi 11 juin :
- Le matin : déménagement et nettoyage de mon studio de Besançon. Ça ne devrait pas être long…
- L’après-midi : à 13h30, état des lieux du studio avec l’agence. Ensuite, départ pour Valdahon, déchargement de la voiture. A 17h30, je récupère le camion de location, et je trace ma route pour revenir à Combs-la-Ville. Arrivée prévue entre 23h et minuit, en fonction du camion…
- Samedi 12 juin :
- Le matin : chargement du camion.
- L’après-midi : chargement du camion. A 15h au plus tard, il devrait être plein. Départ avec Julie pour Valdahon. Arrivée prévue vers 20h, 21h.
Le soir : mise en route d’une petite sœur pour Samuel et Nathanaël.
- Dimanche 13 juin :
- Le matin : déchargement du camion.
- L’après-midi : déchargement du camion et nettoyage de la maison.
- Lundi 14 juin :
- Organisation à voir. Restitution du camion au plus tard à 17h.
Il suffit de préparer méticuleusement son plan de bataille pour que ça capote quelque part… On s’adaptera en temps réel si nécessaire.
Donc, il nous faudrait des bras à Combs la Ville le samedi 12 juin, et d’autres bras au Valdahon le dimanche 13 juin.
N’hésitez pas à vous manifester…
Pour terminer, je précise que les garçons seront gardés par Pap’Yves et Mamie Christine.
Le reste du déménagement aura lieu autour du week-end du 10 juillet, avec 2 camions. Là, l’organisation n’est pas du tout définie. Mais on aura besoin de vous quand même ;-).
Merci d’avance !
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Besançon (Jour 134) – Le reste des photos
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Besançon (Jour 134) – La citadelle
La citadelle est fermée depuis que je suis arrivé dans le Doubs. On peut se rendre devant et se prendre pour un général de l’Empire Romain, mais on ne peut pas visiter. On souhaite vraiment que ce virus nous foutra la paix un jour prochain…
En attendant, la sortie du jour m’a emmené au pied des fortifications.
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Besançon (Jour 134) – Le Doubs
Le Doubs fait une boucle sous la citadelle, ceinturant le centre historique de la ville. Je me suis limité au côté Ouest.
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Besançon (Jour 134) – Les oiseaux
J’avais prévu depuis quelques temps déjà de prendre l’appareil photo pour faire une petite sortie le long du Doubs. C’est ce que j’ai fait aujourd’hui, après être passé chez mon premier coiffeur Bisontin…
On s’attardera dans cet article sur les oiseaux qui m’ont accompagné lors la balade…
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Besançon (Jour 133)
Il semble que le printemps s’installe. Les arbres, que j’ai toujours connus nus et gris, deviennent verts. Les feuilles se déroulent, les collines environnantes changent de couleur, le soleil brille plus longtemps. Plus de doute, donc, le printemps s’installe.
Quelques photos « volées » au couvre-feu en rentrant de la gare et de ma journée de service…
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Besançon (Jour 75)
La vie continue tranquillement dans la cité comtoise. Les journées de service au travail sont plutôt chargées, mais avec la Covid, j’ai aussi de temps à autre des jours de chômage partiel. Il est impossible de rentrer sur Combs ces jours là, et j’en profite parfois pour me balader un peu.
Aujourd’hui, j’ai suivi les berges du Doubs puis je suis monté derrière la colline Saint Etienne, vers La -Chapelle-des-Buis. La température négative et l’approche du couvre feu m’ont fait faire demi-tour avant d’arriver en haut, mais c’était tout de même très agréable.
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Besançon (Jour 55)
Le soleil s’est invité entre deux dépressions météorologiques. L’occasion pour les moineaux de manger les bourgeons et pour moi de sortir l’appareil photo… (à travers la vitre de la cuisine).
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Besançon (Jour 23)
Noël approche tranquillement, et notre pérégrination dans le Doubs continue.
En ce 23 décembre, nous avons rendez-vous à Saône pour visiter 2 maisons.
Il fait doux, très doux, trop doux pour une fin décembre. Nous grimpons à Saône, à un quart d’heure de Besançon. C’est une jolie petite ville, ou un gros village – c’est une question de point de vue – que nous découvrons sous un timide soleil.
La première maison est très grande, tous nos critères sont là, avec même des points bonus, sauf… le terrain, qui est trop petit. En fait, la propriétaire a récemment coupé son beau jardin pour y faire construire une autre maison. Il ne reste donc plus grand chose, plus assez pour un beau potager, pour les poules, et pour un coin de verdure… Nous avons hésité toute la nuit, pour être précis…
Le second bien visité ne nous fait pas hésiter aussi longtemps. Si le terrain est conforme à notre cahier des charges, les pièces, elles, sont trop petites, l’ensemble trop exigu…
Après trois visites infructueuses, nous sommes donc bredouilles. Mais au moins, nous savons mieux sur quoi nous pouvons faire des concessions, et sur quoi nous sommes intransigeants.
Nous passons acheter du Comté, forcément, ainsi que du Mont-d’Or. Et puis nous revenons en fin d’après-midi au studio. Il pleut toute la pluie du monde sur le Doubs. Nous nous réchauffons autour d’un petit repas, et tout le monde file au dodo !
Le lendemain matin, nous avons chargé la voiture sous la pluie, pour changer, et nous avons repris la route en faisant plusieurs détours pour voir quelques coins d’habitation potentiels autour de Besançon : Thise, au Nord-Est, Audeux, au Nord-Ouest, à la limite de la Haute-Saône. Et puis sommes rentrés à Combs…