• JC,  Julie,  Nathanaël,  Samuel,  Sortie,  Travail

    Tous ailleurs !

    Ce week-end est un peu particulier puisque nous sommes tous à différents endroits.

    J’ai déposé les garçons ce matin au gîte de La Grande Échelle, à quelques mètres de la Suisse pour qu’ils passent deux jours avec leur groupe Scouts.

    Jean-Christophe, lui, est sur les rails entre la France et la Suisse. Ce soir, il dort à Morteau.

    Et du coup, moi, je passe la nuit chez mes parents, ça m’évite une heure de trajet supplémentaire.

  • Divers

    Orchidées

    Valdahon a l’air de lui convenir, c’est la première fois qu’elle refleurit.

    Elle est donc jaune

    Celle du dessus, elle, est en forme et en fleurs depuis quasiment un an. Ça se passe bien pour ces deux-là.

  • Travaux Maison

    Alléluia

    Oui, c’est le cri de la victoire !

    Enfin, nous avons notre nouvelle porte d’entrée. Tout juste 6 mois après la date initiale ! Les cornières des fenêtres des combles sont installées et les acryliques sont mis autour des fenêtres. Le chantier est terminé !

    Pour rappel, la photo de l’ancienne porte d’entrée se trouve ici.

  • Vacances

    Fin des vacances

    Vendredi, nous avons rejoint JC sur son dernier train lors de son passage au Valdahon. Nous en avons profité pour faire des emplettes à Besançon avant de prendre une nouvelle route pour le Beaujolais.

    Première étape : Chambost-Allières, dans le haut-Beaujolais pour aller voir Anne, la marraine de Samuel. Nous avons passé deux heures et demi avec elle. Samuel a ouvert son cadeau d’anniversaire et nous avons découvert son nouveau logement (avec des vaches et des sapins autour de la maison. Ça change des vignes. )

    Marraine et filleul

    Deuxième étape : Arnas, où nous avons passé le week-end chez mes beaux-parents. De bons et copieux repas, une balade vers le château de Montmelas, du soleil…

    Dernière étape : le retour au Val, pour être en forme pour la rentrée du lendemain.

  • Famille,  Sortie,  Vacances

    Cap sur l’Alsace

    Nous avons rejoint l’auberge Alsacienne – qui se trouve encore dans les Vosges – en fin d’après-midi. Nous sommes passés sous la douche afin de nous débarrasser de la poussière et de la sueur de la sortie. Et nous sommes descendus manger. Nous avons discuté un peu avec la propriétaire. Elle nous a raconté les difficultés rencontrées lors des confinements et fermetures successifs des 24 derniers mois.

    Pour la première fois, nos ogres n’ont pas pris de menu enfant. Nous non plus d’ailleurs. On a donc pris le temps d’être ensemble, laissant les soucis pour quelques instants. Le soir venu, les garçons se sont couchés, et Julie et moi avons fait un petit tour à Bussang, vers le Casino. Mais au regard de notre accoutrement, nous n’avons même pas essayé d’entrer. Enfin, nous sommes rentrés dormir aussi.

    Le temps du repos
    Le sommeil n’est pas loin

    Le lendemain, le ciel était gris au réveil. Pendant notre copieux petit-déjeuner, il s’est d’ailleurs mis à pleuvoir, contrariant nos plans de sortie au lac de Michelbach. Nous avons donc décidé de passer « la frontière » vers l’Alsace, de faire nos emplettes à Cernay, et d’aviser ensuite, en fonction de la météo.

    Thann n’a pas vraiment changée. Le samedi matin, il y a toujours un peu de circulation le long de la voie ferrée, et il faut presque 15 minutes pour traverser la ville.

    Juste avant d’arriver à Leclerc, on a découvert un entrepôt Emmaüs. Rien d’extraordinaire, sauf que je n’en avais jamais vu de si important. Nous y sommes rentrés : plusieurs halls, plusieurs « univers », les meubles, le bazar, les livres, les jeux, les chaussures, les pianos, l’électro-ménager, bref, une véritable réplique du BHV Rivoli !

    Ensuite, nous avons fait le plein de spécialités alsaciennes, et nous avons mangé… dans la voiture, sous des trombes d’eau !

    Et puis le ciel s’est éclairci, et nous avons décidé d’aller à Luemschwiller, le village de mes grand-parents. Pour passer au cimetière d’abord, pour peut-être croiser mon oncle ensuite, et pour faire une promenade sur les chemins alentours enfin.

    Mon oncle n’était pas à la maison. Nous avons fait un petit aller-retour vers La Vierge aux Roses. On a vu des miradors et des chevreuils, mais personne entre les deux pour assurer le spectacle…

    Une maison que je trouve jolie
    La chapelle à la sortie de Luemschwiller.
    La chapelle décorée pour Pâques
    Le calvaire, derrière la chapelle
    La grotte derrière la chapelle
    Nathanaël dit des bêtises, d’où sa bouche tordue. Tant pis, c’est dans la boîte !
    La « Vierge aux Roses Petit Bois », dont je ne rappelle absolument pas.
    La fatigue de ces 2 jours commence à se faire sentir…

    Vers 16h, nous avons repris la route vers la Franche-Comté, faisant une pause dans une usine de choucroute croisée par hasard.

    Ce bon week-end s’est achevé à notre arrivée, vers 18h30.

  • Nathanaël,  Samuel,  Vacances

    Alerte rouge

    Nathanaël vient récupérer une pince à linge. Je lui demande pourquoi faire. Il me répond : « Oh, pour rien.  » Je le suis jusqu’à sa chambre et en entrant il dit : «  ALERTE ROUGE ».

    La suite mérite une photo :

    Oui, Samuel a bien une poubelle sur la tête.
  • Famille,  Sortie,  Vacances

    Week-end sur les traces de mon enfance

    Le samedi 23 avril, nous devions recevoir la famille de mon frère. Ce devait être leur première visite chez nous à Valdahon. Mais quelques jours avant, ils ont annulé. L’occasion pour nous de partir en week-end décalé (vendredi-samedi) en famille ! Surtout que la météo annonçait du beau temps le vendredi. Nous avons réservé notre chambre et notre table à l’auberge Alsacienne de Bussang, pour la cinquième fois, et nous avons préparé une bien belle randonnée que je faisais parfois avec mes proches quand j’avais entre 8 et 14 ans… Avec l’aide de mes parents, j’ai retrouvé l’itinéraire. Nous avons bouclé nos maigres bagages et nos sacs à dos, et avons pris la route à 8h.

    Nous sommes arrivés au parking du Rouge-Gazon un peu avant 10h30. Sous une fraîcheur printano-vosgienne, nous nous sommes mis en route. Étrange sentiment que de se retrouver sur ces sentiers que j’avais foulés étant enfant, pour m’y retrouver 25 ans plus tard, à la place de mon père, accompagné de mes propres enfants… Moi qui suis assez perturbé par le temps qui passe, cette situation m’a un peu chamboulé.

    Le lac des Perches vu d’en haut
    Une petite fontaine qui alimente un chalet

    Mais continuons notre rando ! Lors d’une intersection, nous avons eu la mauvaise surprise de trouver notre chemin barré par un arrêté préfectoral pour cause de « grave danger de chutes d’arbres par dépérissement forestier ». Rien que ça… Héroïquement, j’ai décidé de braver l’interdiction. On s’est retrouvé rapidement au milieu d’un labyrinthe quasi impraticable, nous obligeant à slalomer à moitié courbés entre les sapins couchés, les branches et les arbustes. Les mollets égratignés de Nathanaël peuvent le confirmer. Enfin, nous sommes sortis de cet enfer pour nous retrouver dans une jolie prairie, au Gresson.

    L’ancienne frontière
    L’ancien douanier

    Poursuivant le périple, nous sommes descendus aux lacs du Neuweiher et nous y avons mangé vers 13h.

    Après ce temps de repos sous un soleil assez chaud, nous avons entamé la suite de la randonnée, avec un sentier qui grimpait sans vraiment vouloir arriver en haut de la montagne. Samuel a fini par ronchonner, mais après une courte négociation, il est redevenu bien sage. Enfin, nous sommes retombés au lac des Perches, que nous avions vu d’en haut le matin.

    La grimpette au dessus du Lac du Neuweiher

    Après une dernière grimpette, nous avons retrouvé le Col des Perches, en bouclant la boucle, et avons suivi le reste du sentier pendant 20 minutes avant de rejoindre le parking. Les garçons se sont amusés sur des jeux extérieurs et Julie et moi sommes allés voir un peu le « domaine skiable » du Rouge-Gazon, du moins ce qu’il en reste après l’incendie de l’an dernier.

    Pause goûter au lac des Perches. Le matin, nous sommes passés en haut de l’éboulis.
    Le barrage. Le lac servait naguère à alimenter des forges et une usine textile dans la vallée
    Passage à gué.

    Fatigués mais contents de cette journée, nous avons pris la route de Bussang, à une quinzaine de kilomètres de là.