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Fin des vacances
Nos deux semaines à la montagne se terminent… Le jeudi, nous sommes allés à la braderie sur la Croisette. Arrivés tôt, les enfants ont profité des structures gonflables avant qu’il n’y ait trop de monde. Avec les garçons, nous avons une nouvelle fois profité de la piscine du Club pendant que Jean-Christophe regardait le Tour de France.
Voici quelques photos de cette avant-dernière journée :
Et puis vendredi, Jean-Christophe s’est levé tôt et s’est offert une dernière sortie en vélo. Il reviendra dessus plus tard. Les garçons et moi l’avons vu passé depuis le balcon de l’appartement.
L’après-midi, c’est en famille que nous allons dans la piscine privée. En effet, nous sommes seuls dedans. On en profite à fond en sautant tous les 4 en même temps, en nageant,jouant…
Le soir, le chargement de la voiture s’effectue sous des trombes d’eau. Et c’est à 5h du matin le samedi que nous prenons la route du retour.
Voici la deuxième pose du matin à 9h30 :
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Speed Mountain
Depuis la réservation de nos vacances à la montagne (en Février), nous avions promis aux enfants que nous irions faire de la luge sur rail. Ce mercredi, c’est le grand jour !
On peut voir la piste en vert sur la photo :
Nathanaël et Jean-Christophe ont fait la première descente en étant bien ralenti par la luge précédente. Samuel et moi avons suivi à une vitesse normale. Pour la deuxième descente de chacun, nous avons changé les binômes. Samuel est monté avec son papa et ils sont allés à toute allure. Nathou et moi avons suivi tout aussi rapidement. Il restait un tour de luge sur la carte, c’est seule que j’ai effectué la dernière descente à la vitesse de l’escargot. En effet, deux luges devant moi, un enfant avait la trouille et freinait sans arrêt. Tant pis pour ce dernier tour, on se sera bien amusé.
Seul bémol de cette expérience, Jean-Christophe et moi avons eu un hématome dans le dos pendant plusieurs jours. Niveau “confort” des luges, il y a encore du travail.
La suite de la journée s’est déroulée paisiblement en profitant de la piscine et en finissant par un restaurant.
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Balcon
On profite du balcon et de la vue !
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Le Teurre
Ce mardi, je prends ma journée, je pars seule en randonnée. J’ai plusieurs itinéraire en tête en fonction de mes jambes et de ma motivation. Ce que je sais, c’est que je vais sur la montagne face à notre appartement. Je descends donc jusqu’au télésiège du Doron et remonte ladite montagne. Le sentier indiqué est très raide, je prends le chemin qu’empruntent les voitures pour aller au restaurant un peu plus haut. Je vois des chèvres, des vaches, et je continue sur le chemin jusqu’à “Enverses”. Je traverse le ruisseau des Enverses et là, ça grimpe bien… Arrivée à une intersection, le balisage m’indique que le Teurre est à 1h10. Je n’avais pas prévu de monter la-haut, mais de me savoir si près du sommet, je décide d’y aller. La montée est agréable après ce panneau, je croise une vache seule, je suis bercée par le bruit des sauterelles et des ruisseaux. Encore une fois, je suis bien ! D’un coup, ce n’est plus la même histoire, la montée est difficile. Et puis, un panneau m’indique l’arrivée à seulement 10 minutes. Ça y est, j’y suis et je suis bien contente.
Le Teurre, c’est lui !
J’envoie un message à mes hommes et ce sont mes p’tits gars qui m’appellent et me disent qu’ils sont plus haut que moi. Je mange le pique-nique préparé par mon chéri, je profite de la vue. Je redescends en prenant le sentier qui arrivent sous la télécabine de La Masse 2. Je décide de ne pas redescendre tout de suite et prends le sentier indiquant le Refuge du Lou. J’ai un peu peur en passant dans les éboulis, notamment sur un pont “douteux”.
Ensuite, j’en ai marre, j’ai chaud, mes deux gourdes se vident. Je descends par les pistes de ski. Quand j’arrive au gîte, il ne reste plus rien de mon litre et demi présent en début de journée.
Je bois, mets mon maillot de bain, et vais profiter de la piscine du Club où pendant 5 minutes, je suis seule dans l’eau, c’est top !
De retour chez nous, j’attends mes 3 courageux garçons partis toute la journée.
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Col du Petit Saint Bernard
J’ai profité de notre séjour à la montagne pour y amener mon vélo. Les bonnes côtes sont en effet assez rares en Ile de France, et je me suis dit qu’un ou 2 petits cols à ajouter à mon maigre palmarès ne seraient pas superflus. Afin de ne pas galérer tout seul, j’ai trouvé un compagnon de route qui a fait le déplacement pour l’occasion en ce jeudi 13 juillet : mon papa !
Le Col du Petit Saint Bernard est relativement facile. Il est long, certes, mais très régulier, sans jamais atteindre les pourcentages mirobolants de cet insolent Galibier.
Papa, qui craignait un peu de se retrouver seul au bout de cent mètres, a pris la tête de notre majestueux peloton. Je suis resté derrière toute la montée, et j’ai été stupéfait de la régularité de son allure. Seul, je pense que je serais parti plus vite, avec le risque de tomber en fringale avant la fin du col. Là, l’effort a été constant durant les 3 heures de grimpette : tant mieux !
Cliquer sur l’image pour agrandir le profil
Notre vitesse en fonction de l’altitude. En vert, la cadence de pédalage. Cliquer pour agrandir
Vers midi, après plus de 3 heures de montée, nous sommes au col (sur le graphe ci-dessus, les pauses ne sont pas comptées) ! De l’eau, des photos, bref, on en profite…
Vue sur le Mont-Blanc
Le vélo en avant-plan est tout neuf. C’est celui de papa.
Nous 3…
De retour dans la vallée, chacun a repris sa route (en voiture). Papa vers Villefranche, moi vers les Menuires. Une journée bien sympathique, merci encore 🙂 .
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Promenade matinale et rando
Samedi 15 Juillet, nous sommes retournés au centre de la station pour flâner.
On voit très bien le deuxième club Bélambra de la station, beaucoup moins intégré dans le paysage.
Samuel nous a pris en photo
L’après-midi, Samuel, Nathou et moi avons fait une sieste avant d’aller nager. Jean-Christophe en a profité pour faire une randonnée jusqu’au Mont de la Chambre (2850m), il a fait l’aller-retour en 4h. Il en reparlera plus tard.
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14 Juillet : on y retourne
Cette fois ci, le soleil est avec nous, nous partons à nouveau sur le sentier balcon. Ce sentier relativement plat est très agréable, les fleurs sont belles, nous voyons des vaches, des ruisseaux, le ciel est bleu et on est tous ensemble…vous l’aurez compris, on est bien ! Jean-Christophe est bien enrhumé de la veille, mais à part ce rhume, on profite.
Nous continuons la balade au delà du sentier balcon “Bernadette”, et nous pique-niquons après avoir pris un chemin qui grimpe à nouveau. Ensuite, c’est le retour, donc de la descente et à nouveau le sentier relativement plat. Nous apercevons même des marmottes. Au bout du sentier balcon, de retour aux Menuires, à Brelin, nous nous apercevons qu’il y a un ascenseur public. Nous le prenons, les enfants sont ravis de se retrouver dans cet ascenseur incliné, ils ont l’impression de prendre les télécabines.
De retour chez nous, on regarde le Tour de France, on joue aux jeux de société prêtés par le club, et on se repose un peu, car ce soir, il y a les feux d’artifice.
A 21h30, nous partons donc à La Croisette. Nous prenons une petit bière en attendant l’heure où ils seront tirés. Ce sont les premiers feux d’artifice des enfants et ils sont ravis. Par contre, pour nous, les parents, on s’attendait à mieux. Nous restons un peu au concert avant de rentrer nous coucher.
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Jeudi
Alors que Jean-Christophe est parti tôt retrouver son papa pour partager un moment de vélo entre père et fils, avec les enfants, nous sommes partis depuis le hameau des Airelles, là où nous résidons, jusqu’au Plan de l’eau (départ de la balade pour le lac du Lou).
Nous avons marché environ 2h. Le temps d’y aller par les pistes de skis, de faire un tour au plan de l’eau, de regarder un parapente se poser devant nous et de repasser par le centre de la station pour acheter du pain. Une bonne petite matinée même si nous n’avons pas vu de marmottes ce jour là.
L’après-midi, après une petite sieste, Nathanaël est allé regarder Pocahontas à l’accueil du club pendant que Samuel est resté avec son papa.
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Moutiers
Mercredi, il est temps de penser au ravitaillement, nous redescendons à Moutiers. Nous profitons de la matinée pour visiter cette petite ville. A midi, nous tombons sur un super bon restaurant, “Le petit resto d’Adriano”, et nous nous laissons tenter par le plat du jour, un faux-filet avec frites et salade. Miam, l’adresse est bonne.
Ensuite, il faut faire les courses et passer à la coopérative laitière afin d’acheter un morceau de Beaufort.
De retour aux Menuires, nous allons à la salle de fitness faire un peu de sport avant de profiter de la piscine.
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Sentier balcon et Musée
Le mardi, la météo annoncée la veille nous indique que nous pouvons nous promener le matin. Nous partons donc du chalet et grimpons un peu pour atteindre le sentier balcon. Nous nous promenons et pendant ce temps, nous voyons les nuages noirs qui remontent la vallée. Environ 30 minutes après notre départ, nous nous transformons en fantôme. Toute la famille a revêtu les ponchos. Après 1h de marche nous faisons demi-tour, la pluie est bien là, et nous rentrons en ayant bien froid.
L’après-midi, nous partons à saint-Martin-de-Belleville visiter le musée. Il retrace l’évolution de la vallée des Belleville. La première partie retrace la vie au 19ième siècle et au début du 20ième, avec l’agriculture et la vie dans les alpages. Puis les mutations industrielles et enfin la révolution touristique entamé en 1960 avec l’aménagement des Menuires et de Val Thorens. C’était très intéressant et les petits films montrant des scènes de vie traditionnelles ont permis au enfants et aux parents de voir comment les habitants du coin vivaient il n’y a pas si longtemps que ça. Nous avons fini cette journée en nous promenant dans le village.