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Le Puy de Dôme
On ne pouvait pas passer 15 jours dans le Puy de Dôme sans visiter… le Puy de Dôme.
Depuis 2012, il n’est plus possible de s’y rendre autrement qu’à pied ou qu’en… train ! Un train à crémaillère qui pourrait paraître intéressant pour les amateurs de chemins de fer pittoresques. En réalité, il s’agit d’un train moderne (mais avec des sièges en bois), tout fermé, qui effectue sa besogne en moins de 15 minutes. Ca enlève beaucoup de charme…
La journée étant plutôt ensoleillée, et les pulls des petits et de la grande étant passés au lave-linge la veille, c’est en t-shirt et coupe-vent que nous sommes partis. (Le papa, plutôt négligeant avec la propreté, avait conservé son pull puant 😉 ). C’était sans compter sur le vent qui soufflait là haut, un vent violent et surtout très froid. Le premier achat a donc été 3 polaires, histoire de tenir la journée et, accessoirement, d’avoir un souvenir.
Enfin apprêtés pour nous balader, nous avons suivi le petit chemin qui serpente autour du sommet, l’occasion de profiter du point de vue sur l’Auvergne et sur la Chaine des puys.
Le centre “Vulcania”, situé à quelques kilomètres
Le laboratoire et le pylône TDF
Des dizaines de moutons pâturent autour du sommet
Dans les différents batiments, des animations plus ou moins interractives permettent de s’instruire sur les volcans, sur la région, sur la faune et la flore, sur l’Histoire des lieux. C’est plutôt intéressant. De là à justifier le prix du quart d’heure “en TER”, c’est un autre débat…
Il y a aussi “le Temple de Mercure”, vestige gallo-romain, découvert lors de la construction du premier observatoire. Il est en cours de restauration, du moins partiellement.
Après un repas dans la cafétéria du sommet, nous sommes redescendus “au chaud”, mais avec des nouvelles polaires 🙂 …
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Séjour au pays des volcans
Cette année, la route des vacances nous a emmenés en Auvergne, dans le Puy de Dôme. C’est une région que nous ne connaissions pas, aussi fallait-il combler cette lacune.
Nous avons donc quitté la chaleur seine-et-marnaise de début juillet… pour la chaleur auvergnate. En réalité, après un orage en arrivant, les températures ont baissé de quelques degrés la première semaine, et encore davantage la seconde. Ce qui nous a permis de faire des balades, des visites, du cerf-volant, du vélo,… bref, d’ “être en vacances” !
Pause petit-dèj sur la Nationale 7
L’avantage des sièges indépendants, on peut les moduler pour faire rentrer les vélos
Après l’orage dont je parlais plus haut, nous avons pu profiter de la terrasse, de la relative fraîcheur retrouvée, et de l’environnement alentour. Notre gîte était au milieu d’un petit hameau, au milieu des pâturages et de vaches.