Besançon
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Besançon (Jour 133)
Il semble que le printemps s’installe. Les arbres, que j’ai toujours connus nus et gris, deviennent verts. Les feuilles se déroulent, les collines environnantes changent de couleur, le soleil brille plus longtemps. Plus de doute, donc, le printemps s’installe.
Quelques photos « volées » au couvre-feu en rentrant de la gare et de ma journée de service…
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Besançon (jour 83)
Promenade le long du Doubs, puis montée à la citadelle en ce dimanche ensoleillé
L’après-midi, moment important : nous avons appris aux enfants à jouer au Kilo de merde et au Trou du cul. Ça manquait à leur éducation ! 😉
Après le goûter, nous avons accompagné Jean-Christophe jusqu’à la gare puisqu’il devait emmener des passagers à Belfort.
Je déborde un peu en parlant du jour 84 ici. Nous sommes tous retournés à Combs ce jour là, mais comme JC travaillait, avec les enfants, nous sommes rentrés en train et Jean-Christophe en voiture après le travail… Couvre-feu oblige !
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Besançon (jour 82)
Nous sommes retournés à Valdahon pour aller faire le trajet jusqu’aux écoles des garçons.
Nous avons pique-niqué dans une forêt voisine avant d’aller à la recherche d’un sapin président qui ne doit plus exister.
Retour à Besançon, mais avant, on passe à la fromagerie pour acheter du comté.
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Besançon (jour 81)
Cette fois-ci, je fais l’article sur Besançon. Tout ça pour dire que nous avons rejoint Jean-Christophe dans son studio pour quelques jours en famille.
Après avoir été récupérés en gare de Saint-Vit par mon cher mari, nous avons fait une balade ensoleillée sur les bords du Doubs avant une soirée pizza.
Et puis l’installation du camping avant la nuit.
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Besançon (Jour 75)
La vie continue tranquillement dans la cité comtoise. Les journées de service au travail sont plutôt chargées, mais avec la Covid, j’ai aussi de temps à autre des jours de chômage partiel. Il est impossible de rentrer sur Combs ces jours là, et j’en profite parfois pour me balader un peu.
Aujourd’hui, j’ai suivi les berges du Doubs puis je suis monté derrière la colline Saint Etienne, vers La -Chapelle-des-Buis. La température négative et l’approche du couvre feu m’ont fait faire demi-tour avant d’arriver en haut, mais c’était tout de même très agréable.
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Besançon (Jour 55)
Le soleil s’est invité entre deux dépressions météorologiques. L’occasion pour les moineaux de manger les bourgeons et pour moi de sortir l’appareil photo… (à travers la vitre de la cuisine).
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Besançon (Jour 23)
Noël approche tranquillement, et notre pérégrination dans le Doubs continue.
En ce 23 décembre, nous avons rendez-vous à Saône pour visiter 2 maisons.
Il fait doux, très doux, trop doux pour une fin décembre. Nous grimpons à Saône, à un quart d’heure de Besançon. C’est une jolie petite ville, ou un gros village – c’est une question de point de vue – que nous découvrons sous un timide soleil.
La première maison est très grande, tous nos critères sont là, avec même des points bonus, sauf… le terrain, qui est trop petit. En fait, la propriétaire a récemment coupé son beau jardin pour y faire construire une autre maison. Il ne reste donc plus grand chose, plus assez pour un beau potager, pour les poules, et pour un coin de verdure… Nous avons hésité toute la nuit, pour être précis…
Le second bien visité ne nous fait pas hésiter aussi longtemps. Si le terrain est conforme à notre cahier des charges, les pièces, elles, sont trop petites, l’ensemble trop exigu…
Après trois visites infructueuses, nous sommes donc bredouilles. Mais au moins, nous savons mieux sur quoi nous pouvons faire des concessions, et sur quoi nous sommes intransigeants.
Nous passons acheter du Comté, forcément, ainsi que du Mont-d’Or. Et puis nous revenons en fin d’après-midi au studio. Il pleut toute la pluie du monde sur le Doubs. Nous nous réchauffons autour d’un petit repas, et tout le monde file au dodo !
Le lendemain matin, nous avons chargé la voiture sous la pluie, pour changer, et nous avons repris la route en faisant plusieurs détours pour voir quelques coins d’habitation potentiels autour de Besançon : Thise, au Nord-Est, Audeux, au Nord-Ouest, à la limite de la Haute-Saône. Et puis sommes rentrés à Combs…
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Besançon (jour 22)
Mes congés d’été ayant amputés suite à mon détachement à Dijon, il a fallu que je les solde avant la fin de l’année. Dix jours de repos en famille, rien de mieux pour se préparer à attaquer une nouvelle année qui s’annonce pleine de péripéties…
Après avoir passé quelques jours en famille dans le Beaujolais, nous avons pris la route de la Franche-Comté. En effet, Julie et les enfants étant en vacances également, nous en avons profité pour visiter 3 maisons autour de Besançon.
Pour la première maison, nous sommes allés à Ornans, charmante petite ville sur la Loue. Paysages de fin décembre et pluie intermittente ne nous ont pas empêché de profiter de cet agréable petit coin.
Malheureusement, la visite n’a pas été concluante. Maison en ossature bois de première génération, dont la structure commençait à pourrir par endroit. Il fallait donc rajouter un budget travaux conséquent. De plus, la maison était un peu trop petite, surtout au niveau des chambres, pour envisager l’avenir avec nos deux futurs ados…
Et c’est encore sous la pluie que nous sommes repartis vers Besançon, pour passer la nuit tous les quatre dans mon studio. Avec un détour par la case « achat de Comté », évidement…
En fin d’après-midi, la voiture à peu près vidée, nous sommes partis à pied visiter le centre ville historique de Besançon, la « Boucle ». La pluie avait cessé !
Curieusement, la ville a beaucoup plu à Samuel.
La soirée s’est terminée tranquillement. Une seule pièce pour dormir, donc nous nous sommes tous couchés en même temps. La nuit aux allures de colonie a été reposante pour tout le monde…
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Besançon (Jour 7), la citadelle
On va tout de suite mettre les choses au clair pour le titre pas très original : oui, je compte tous les jours, même ceux où je suis à Combs la Ville sur mes repos. C’est juste plus simple pour savoir où j’en suis 😀 .
Aujourd’hui, la journée de travail a commencé plus tôt pour finir plus tôt, puisque demain, c’est exercice pratique, avec un aller-retour Besançon-Dijon… à 4h30 !
Profitant de cette seconde moitié d’après-midi, je suis parti en balade. Et puisque je suis attiré par le relief, il a fallu que je grimpe à la Citadelle. J’ai commencé par enjamber le Doubs, juste en bas de chez moi.
Ensuite, fastoche, j’ai suivi les petites pancartes « Citadelle à pied par rives et remparts ». Tout en longeant… rives du Doubs et remparts !
D’accord il fait gris, il fait froid, les photos sont fades (prises au portable), mais… c’est mignon quand même !
Je me suis retrouvé au second endroit que je connaissais déjà à Besançon, au rond point de la sortie du tunnel !
Et c’est parti pour une petite grimpette. Les marches en pierre ne sont pas aux normes, elles sont trop hautes 😉 .
Et donc en toute logique, je suis arrivé en haut. La citadelle se visite, mais en ce moment elle est fermée pour respecter les mesures sanitaires. Donc il n’y a personne, et on peut contempler les toits de la ville.
Après avoir hésité, j’ai décidé de redescendre par le même chemin.
Mais arrivé au pieds des escaliers, j’ai tiré tout droit, vers le centre ville.
Ensuite je suis passé faire 2 – 3 courses, je vous épargne les photos. Et puis comme je me dirigeais vers chez moi, le ciel s’est déchiré, laissant passer quelques rayons de soleil. Il existe donc bien dans cette région…
Il ne manquait que des feuilles aux arbres et… quelques degrés de plus !
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Besançon (Jour 2)
Ma première nuit Bisontine a été plutôt sereine. Qui l’eût cru ? C’est donc l’esprit détendu que je me suis levé et préparé pour ma rentré. Bon, j’ai un peu galéré avec ma casserole et mes plaques en fonte pour chauffer de l’eau, puisqu’il n’y avait pas de micro-ondes, mais ce n’est qu’un détail. Dehors, il faisait toujours frisquet, mais au moins il ne pleuvait pas.
D’après Google, il me fallait 24 minutes pour aller à la gare, et d’après mamie Christine, ça allait grimper. Google était pessimiste, puisque j’ai mis moins de 20 minutes, et mamie Christine… avait raison, ça monte. Ce n’est pas non plus Le Larmont, mais au moins, ça réchauffe !
Puisque j’étais un peu en avance, j’ai fait un tour dans le quartier de la gare.
Alors oui, pour la carte postale, ce n’est pas très vendeur, c’est sûr… Mais avec un rayon de soleil et quelques degrés supplémentaires (et autre chose que le zoom de mon téléphone portable…), c’est joli !
Donc un peu avant 10h je suis allé à mon rendez-vous. J’ai trouvé la bonne porte, trouvé les bonnes personnes. L’accueil a été à la hauteur de mes attentes. Les collègues que j’ai rencontrés ont tous été plutôt bienveillants avec moi.
La journée terminée, je suis rentré chez moi, et j’ai récupéré la voiture pour partir en quête d’un micro-ondes (et de bières Kro Alsace). Je suis allé voir du côté de Chalezeule, au centre commercial. Pour le micro-ondes, c’était facile, mais pour la bière… J’ai bien compris que la Franche-Comté n’était pas l’Alsace.
En sortant, j’ai décidé d’aller tenter ma chance au Super U de Sâone. L’occasion de découvrir la montée par Montfaucon (fichtre !). Arrivé sur le plateau, c’était très joli, comme d’habitude. Des prés, des vaches, un reste de neige… Malheureusement, pas de Kro Alsace non plus…
Je suis rentré par Morre, histoire de voir la route jusqu’au centre de Besançon… Pour plus tard, pourquoi pas ? 😉
Et puis le soir est arrivé. Mon collègue de Paris qui a été muté en septembre m’a appelé pour pendre des nouvelles de mon installation et de mon premier jour. J’ai trouvé ça super sympa !
Demain et après-demain, formation Regiolis !