Divers

  • Divers,  Famille,  Samuel

    Chez nous

    Ça sent vraiment la fin des vacances ! Triste

    Mais Samuel a retrouvé son univers, et manifestement, ça lui plait. En rentrant dans sa chambre, il regarde son poster de train et dit : “Ooooh, c’est trop bien ça !” et pareil avec son tapis de jeu, et son poisson sur sa fenêtre, et aussi avec les stickers “Moutons” sur le mur au dessus de son lit. Clignement d'œil

  • Divers

    Petits Chanteurs

    De hier soir 18h jusqu’en début d’après-midi aujourd’hui, nous avons accueilli deux petits chanteurs à la croix de bois. L’occasion pour nous de découvrir leur univers, comment se passe la vie à l’internat, les tournées, et aussi de découvrir leur voix lors du concert qu’ils ont donné hier soir à l’église Saint-Vincent de Combs-la-ville. Ce matin, ils ont eu cours dans une des salles de la paroisse, et puis après le repas chez nous, Samuel, Nathanaël et moi, les avons raccompagné au car. A 14h30, ils ont repris la route puisque ce soir, ils donnent un autre concert en Eure et Loir.

  • Divers,  Julie

    J’suis branché, donc j’existe

    C’était le thème de la rencontre d’aumônerie des 4°/3° hier soir. Autant dire que ça leur a parlé et qu’ils en avaient des choses à dire sur le sujet.

    Alors que la rencontre se déroulait, Justhine m’a demandé : “Mais ils faisaient comment avant, les gens, quand y’avait pas internet, Facebook, etc. ? Ça devait être compliqué pour se donner rendez-vous !” Je lui ai alors répondu que le téléphone fixe, ça existait, qu’il y avait La poste pour s’envoyer des lettres. Et quand j’ai ajouté que quand j’étais au collège, je n’avais ni internet, ni téléphone portable… j’ai lu dans son regard une expression étrange qui m’a fait préciser que je ne suis pas si vieille que ça. On a juste 11 ans d’écart, alors je ne communiquais pas par pigeon voyageur quand même.Clignement d'œil

    Autre moment assez drôle, quand on a parlé des portables et que je leur ai dit que le mien me servait juste pour téléphoner et pour envoyer et recevoir des SMS, que je ne pouvais ni prendre des photos, ni aller sur internet avec. Là, Lenny m’a dit “Ah oui, il est assez épais et a l’écran tout bleu! Sourire“ J’ai du lui montrer mon téléphone pour qu’il voit que non, il n’est pas si épais que ça, et que l’écran est en couleur. Rire

    Bref, un petit moment de vieillesse, mais une bonne soirée avec les jeunes assez “branchés”, et le partage du repas à la fin de la réunion qui fut bien bon. Clignement d'œil

  • Divers

    Les “perroquets”, la suite…

    Après enquête, il s’avère que les perroquets surpris hier sur notre arbre sont en réalité des Perruches à Collier. Des oiseaux perdus ? Evadés ? Des aventuriers ? Des “Globe Flyer” ?

    Jean Pierre Moussus sur le site http://biologie.ens-lyon.fr/ nous apporte un élément de réponse très intéressant :

    Non, ces photographies n’ont pas été réalisées dans de lointaines contrées exotiques. Elles ne proviennent pas non plus d’un parc zoologique où la rencontre de telles espèces est fréquente. Ces clichés ont été pris en région Ile de France. Le Psittacidé que l’on y voit est une perruche, la Perruche à collier (Psittacula krameri).

    Depuis maintenant près de vingt ans, et la probable ouverture d’un container sur le site aéroportuaire d’Orly contenant quelques dizaines d’oiseaux, cette espèce s’est bien établie dans la région et forme désormais plusieurs populations dites férales, c’est-à-dire à l’état sauvage mais issue d’une introduction. Le suivi particulier dont fait l’objet cette espèce montre que ses effectifs augmentent de façon exponentielle, ce qui correspond à une croissance non limitée par la compétition (intraspécifique ou interspécifique). La Perruche à collier est donc qualifiée d’espèce invasive et ses effectifs se chiffrent aujourd’hui entre 1000 et 1500 individus en Ile de France.

    Cette croissance suscite l’inquiétude chez certains ornithologues dans la mesure où cette espèce adopte un mode de nidification cavernicole. L’espèce se reproduit très bien en ville (les couvées comportent de 2 à 6 œufs et l’espérance de vie de l’oiseau en captivité est d’environ 30 ans). Or, en milieu urbain, le nombre de cavités peut être un facteur limitant à la reproduction de nombreuses espèces (pics, étourneaux, sitelles…). Elle inquiète également les gestionnaires des espaces verts dans lesquels elle s’implante par les dégâts qu’elle peut causer aux arbres dont elle consomme les fruits (notamment en hiver). Dans son aire de distribution originelle, elle est en effet considérée comme un fléau pour les cultures céréalières. Les études menées par le Muséum National d’Histoire Naturelle sur le sujet en 2007 et 2008 n’ont pourtant pas permis de déceler un effet sur les populations d’espèces autochtones.

    La Perruche à collier a pour origine le Sud asiatique ainsi que l’Afrique sub-saharienne dont les climats diffèrent sensiblement de celui de la région parisienne ce qui pose la question de la survie de ces oiseaux essentiellement granivores et frugivores en hiver. Les usagers des parcs et jardins de la région se sont en majorité bien accommodés de la présence de  la Perruche à collier et nombreux sont ceux qui viennent nourrir les oiseaux notamment en période hivernale quand ceux-ci sont moins farouches.

    Que représentent ces nourrissages dans la survie des oiseaux pendant la mauvaise saison ? Quelle sera leur capacité à proliférer hors de l’agglomération dans les années ou les décennies qui viennent ? Quelles relations cette espèce entretiendra-t-elle avec les autres espèces d’oiseaux autochtones ? Quelle valeur attribuer à une telle espèce, honnie par les défenseurs d’une nature la plus « autochtone » possible, choyée par une majorité de citadins qui admirent ses couleurs et s’étonnent de ses comportements ? Des éléments de réponse à ces questions communes à bien des espèces exotiques invasives pourraient nous parvenir de pays voisins puisque des populations férales de Psittacidés sont présentes dans de nombreuses grandes agglomérations européennes comme Londres (près de 50 000 individus), Rome, Bruxelles (10 000 individus environ), Barcelone…Le débat est donc ouvert et renvoie plus généralement à la conception de la Nature par l’Homme.

    Jean-Pierre Moussus, août 2011. “

     

    Cependant, l’histoire ne dit pas si ces deux perruches savaient parler…

  • Divers,  JC,  Julie

    Dodo, dodo, et redodo

    La nuit du 5 au 6 novembre 2012, nous avons passé notre dernière nuit dans notre premier lit de jeune marié… Des regrets ? Pas vraiment, c’était du premier prix, et il était temps d’en changer. Le matelas était devenu hyper fin (3 cm quand on était dessus), on sentait les lattes du sommier quand celui-ci en avait encore. D’où les cartons, pour essayer de répartir les masses…

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    Cette nuit, Jean-Christophe a découché, pour un Repos Hors Résidence. Il a donc dormi à Corbeil-Essonnes puisqu’il finissait tard là-bas hier soir et qu’il reprenait ce matin au même endroit. Quant à moi, j’ai dormi sur le clic-clac, l’ancien lit étant démonté depuis le début de journée.

    Ce matin, le lit et le sommier (160X200) ont été livré, et ça veut dire qu’on va super bien dormir cette nuit, et ça, c’est chouette !

  • Divers,  Famille,  Vacances

    Retour sur deux semaines bien remplies

    Première semaine :

    Début Septembre, je suis partie garder ma grand-mère afin que mes parents partent en vacances. Malgré un début difficile (du dimanche au mardi) : rythme à prendre, Samuel en mode crise d’adolescence à 2 ans et demi, une Mamy qui tient à peine debout et qui veut porter Nathanaël, la semaine s’est assez bien déroulée.

    Premier week-end :

    Nous l’avons passé en Lorraine pour fêter les 80 ans de la sœur de la mamie de Jean-Christophe. Ce fut l’occasion de partager un bon repas ensemble, de présenter Nathanaël à la famille, de faire connaissance avec Jeanne (née en 2011 également) et les copains des cousines.

    Deuxième semaine :

    Alors que mon mari poursuit sa formation (lundi et mardi à Lyon, mercredi et jeudi à Paris), j’en ai profité pour passer 3 jours chez ma marraine à Dijon. Nous avons donc pris le train le mardi matin très tôt : 6h45 à Villefranche, pour arriver à Dijon à 8h19. Le trajet s’est bien déroulé, Samuel était ravi de voyager en train même si à Macon, il aurait bien voulu descendre. Il a pris son petit déjeuner à bord (ça fait passer le tempsClignement d'œil) et a collé des autocollants sur son livre, en faisant des pauses pour regarder par la fenêtre.

    Une fois chez ma marraine, on a papoté, on s’est promené dans plusieurs parcs (dont un avec des animaux : biches, chèvres, ânes…) et on a tout simplement profité d’être ensemble.

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    Les jeux

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    Nathanaël heureux !

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    Vroum…

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    Petit curieux en action

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    Le soleil est là !

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    Photos de groupe avec différents photographes Sourire

    Nous sommes retournés à Pommiers jeudi soir, et surprise pour les p’tits loups, Jean-Christophe a voyagé avec nous.

    Deuxième week-end :

    Direction Auxerre cette fois-ci, pour fêter les 50 ans de mon oncle Dominique où nous avons retrouvé une partie de ma famille.La fête a eu lieu dans un centre de loisirs, juste à côté de l’aérodrome. Nous avons pu voir des avions et des hélicoptères décoller et atterrir, et nous nous sommes initiés au mini-golf (trop dur ce truc là, c’est pas pour moi !) Et puis dimanche, nous avons repris la route pour rentrer enfin chez nous. Après deux semaines à changer de lit assez souvent, ça fait du bien de se retrouver chez soi. Clignement d'œil

  • Divers

    Plan canicule

    N’ayant pas de store pour les fenêtres de la cuisine, nous avons improvisé un rideau à l’aide de notre barre de rideau de douche (qui n’avait pas servi depuis Brunoy), de serviettes, couverture et torchon.

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    En mode calfeutrage !