Divers
-
Petits Chanteurs
De hier soir 18h jusqu’en début d’après-midi aujourd’hui, nous avons accueilli deux petits chanteurs à la croix de bois. L’occasion pour nous de découvrir leur univers, comment se passe la vie à l’internat, les tournées, et aussi de découvrir leur voix lors du concert qu’ils ont donné hier soir à l’église Saint-Vincent de Combs-la-ville. Ce matin, ils ont eu cours dans une des salles de la paroisse, et puis après le repas chez nous, Samuel, Nathanaël et moi, les avons raccompagné au car. A 14h30, ils ont repris la route puisque ce soir, ils donnent un autre concert en Eure et Loir.
-
J’suis branché, donc j’existe
C’était le thème de la rencontre d’aumônerie des 4°/3° hier soir. Autant dire que ça leur a parlé et qu’ils en avaient des choses à dire sur le sujet.
Alors que la rencontre se déroulait, Justhine m’a demandé : “Mais ils faisaient comment avant, les gens, quand y’avait pas internet, Facebook, etc. ? Ça devait être compliqué pour se donner rendez-vous !” Je lui ai alors répondu que le téléphone fixe, ça existait, qu’il y avait La poste pour s’envoyer des lettres. Et quand j’ai ajouté que quand j’étais au collège, je n’avais ni internet, ni téléphone portable… j’ai lu dans son regard une expression étrange qui m’a fait préciser que je ne suis pas si vieille que ça. On a juste 11 ans d’écart, alors je ne communiquais pas par pigeon voyageur quand même.
Autre moment assez drôle, quand on a parlé des portables et que je leur ai dit que le mien me servait juste pour téléphoner et pour envoyer et recevoir des SMS, que je ne pouvais ni prendre des photos, ni aller sur internet avec. Là, Lenny m’a dit “Ah oui, il est assez épais et a l’écran tout bleu! “ J’ai du lui montrer mon téléphone pour qu’il voit que non, il n’est pas si épais que ça, et que l’écran est en couleur.
Bref, un petit moment de vieillesse, mais une bonne soirée avec les jeunes assez “branchés”, et le partage du repas à la fin de la réunion qui fut bien bon.
-
Les “perroquets”, la suite…
Après enquête, il s’avère que les perroquets surpris hier sur notre arbre sont en réalité des Perruches à Collier. Des oiseaux perdus ? Evadés ? Des aventuriers ? Des “Globe Flyer” ?
Jean Pierre Moussus sur le site http://biologie.ens-lyon.fr/ nous apporte un élément de réponse très intéressant :
“
Non, ces photographies n’ont pas été réalisées dans de lointaines contrées exotiques. Elles ne proviennent pas non plus d’un parc zoologique où la rencontre de telles espèces est fréquente. Ces clichés ont été pris en région Ile de France. Le Psittacidé que l’on y voit est une perruche, la Perruche à collier (Psittacula krameri).
Depuis maintenant près de vingt ans, et la probable ouverture d’un container sur le site aéroportuaire d’Orly contenant quelques dizaines d’oiseaux, cette espèce s’est bien établie dans la région et forme désormais plusieurs populations dites férales, c’est-à-dire à l’état sauvage mais issue d’une introduction. Le suivi particulier dont fait l’objet cette espèce montre que ses effectifs augmentent de façon exponentielle, ce qui correspond à une croissance non limitée par la compétition (intraspécifique ou interspécifique). La Perruche à collier est donc qualifiée d’espèce invasive et ses effectifs se chiffrent aujourd’hui entre 1000 et 1500 individus en Ile de France.
Cette croissance suscite l’inquiétude chez certains ornithologues dans la mesure où cette espèce adopte un mode de nidification cavernicole. L’espèce se reproduit très bien en ville (les couvées comportent de 2 à 6 œufs et l’espérance de vie de l’oiseau en captivité est d’environ 30 ans). Or, en milieu urbain, le nombre de cavités peut être un facteur limitant à la reproduction de nombreuses espèces (pics, étourneaux, sitelles…). Elle inquiète également les gestionnaires des espaces verts dans lesquels elle s’implante par les dégâts qu’elle peut causer aux arbres dont elle consomme les fruits (notamment en hiver). Dans son aire de distribution originelle, elle est en effet considérée comme un fléau pour les cultures céréalières. Les études menées par le Muséum National d’Histoire Naturelle sur le sujet en 2007 et 2008 n’ont pourtant pas permis de déceler un effet sur les populations d’espèces autochtones.
La Perruche à collier a pour origine le Sud asiatique ainsi que l’Afrique sub-saharienne dont les climats diffèrent sensiblement de celui de la région parisienne ce qui pose la question de la survie de ces oiseaux essentiellement granivores et frugivores en hiver. Les usagers des parcs et jardins de la région se sont en majorité bien accommodés de la présence de la Perruche à collier et nombreux sont ceux qui viennent nourrir les oiseaux notamment en période hivernale quand ceux-ci sont moins farouches.
Que représentent ces nourrissages dans la survie des oiseaux pendant la mauvaise saison ? Quelle sera leur capacité à proliférer hors de l’agglomération dans les années ou les décennies qui viennent ? Quelles relations cette espèce entretiendra-t-elle avec les autres espèces d’oiseaux autochtones ? Quelle valeur attribuer à une telle espèce, honnie par les défenseurs d’une nature la plus « autochtone » possible, choyée par une majorité de citadins qui admirent ses couleurs et s’étonnent de ses comportements ? Des éléments de réponse à ces questions communes à bien des espèces exotiques invasives pourraient nous parvenir de pays voisins puisque des populations férales de Psittacidés sont présentes dans de nombreuses grandes agglomérations européennes comme Londres (près de 50 000 individus), Rome, Bruxelles (10 000 individus environ), Barcelone…Le débat est donc ouvert et renvoie plus généralement à la conception de la Nature par l’Homme.
Jean-Pierre Moussus, août 2011. “
Cependant, l’histoire ne dit pas si ces deux perruches savaient parler…
-
Des perroquets ?
Voici des photos prises ce midi, ces drôles d’oiseaux étaient perchés sur l’arbre juste en face de la fenêtre de la cuisine.
-
Dodo, dodo, et redodo
La nuit du 5 au 6 novembre 2012, nous avons passé notre dernière nuit dans notre premier lit de jeune marié… Des regrets ? Pas vraiment, c’était du premier prix, et il était temps d’en changer. Le matelas était devenu hyper fin (3 cm quand on était dessus), on sentait les lattes du sommier quand celui-ci en avait encore. D’où les cartons, pour essayer de répartir les masses…
Cette nuit, Jean-Christophe a découché, pour un Repos Hors Résidence. Il a donc dormi à Corbeil-Essonnes puisqu’il finissait tard là-bas hier soir et qu’il reprenait ce matin au même endroit. Quant à moi, j’ai dormi sur le clic-clac, l’ancien lit étant démonté depuis le début de journée.
Ce matin, le lit et le sommier (160X200) ont été livré, et ça veut dire qu’on va super bien dormir cette nuit, et ça, c’est chouette !
-
Retour sur deux semaines bien remplies
Première semaine :
Début Septembre, je suis partie garder ma grand-mère afin que mes parents partent en vacances. Malgré un début difficile (du dimanche au mardi) : rythme à prendre, Samuel en mode crise d’adolescence à 2 ans et demi, une Mamy qui tient à peine debout et qui veut porter Nathanaël, la semaine s’est assez bien déroulée.
Premier week-end :
Nous l’avons passé en Lorraine pour fêter les 80 ans de la sœur de la mamie de Jean-Christophe. Ce fut l’occasion de partager un bon repas ensemble, de présenter Nathanaël à la famille, de faire connaissance avec Jeanne (née en 2011 également) et les copains des cousines.
Deuxième semaine :
Alors que mon mari poursuit sa formation (lundi et mardi à Lyon, mercredi et jeudi à Paris), j’en ai profité pour passer 3 jours chez ma marraine à Dijon. Nous avons donc pris le train le mardi matin très tôt : 6h45 à Villefranche, pour arriver à Dijon à 8h19. Le trajet s’est bien déroulé, Samuel était ravi de voyager en train même si à Macon, il aurait bien voulu descendre. Il a pris son petit déjeuner à bord (ça fait passer le temps) et a collé des autocollants sur son livre, en faisant des pauses pour regarder par la fenêtre.
Une fois chez ma marraine, on a papoté, on s’est promené dans plusieurs parcs (dont un avec des animaux : biches, chèvres, ânes…) et on a tout simplement profité d’être ensemble.
Les jeux
Nathanaël heureux !
Vroum…
Petit curieux en action
Le soleil est là !
Photos de groupe avec différents photographes
Nous sommes retournés à Pommiers jeudi soir, et surprise pour les p’tits loups, Jean-Christophe a voyagé avec nous.
Deuxième week-end :
Direction Auxerre cette fois-ci, pour fêter les 50 ans de mon oncle Dominique où nous avons retrouvé une partie de ma famille.La fête a eu lieu dans un centre de loisirs, juste à côté de l’aérodrome. Nous avons pu voir des avions et des hélicoptères décoller et atterrir, et nous nous sommes initiés au mini-golf (trop dur ce truc là, c’est pas pour moi !) Et puis dimanche, nous avons repris la route pour rentrer enfin chez nous. Après deux semaines à changer de lit assez souvent, ça fait du bien de se retrouver chez soi.
-
Plan canicule
N’ayant pas de store pour les fenêtres de la cuisine, nous avons improvisé un rideau à l’aide de notre barre de rideau de douche (qui n’avait pas servi depuis Brunoy), de serviettes, couverture et torchon.
En mode calfeutrage !
-
Mimi et Kouic (=Loïc)
Après 10 jours de vacances à Paris, Mimi et Loïc ont fait étape chez nous avant de quitter la région. Après un accueil peu chaleureux de la part de Samuel, et un changement radical de comportement après le retour de son papa, nous avons passé une bonne soirée autour d’un repas “crêpes”.
La nuit aidant, Samuel a progressé dans la prononciation de “Loïc” passant de “Kouic” à “Louic”. La prochaine fois sera peut-être la bonne .
Depuis leur départ, Samuel n’arrête pas de me dire que Mimi est parti et il m’a même dit “Mimi ?” en voyant la factrice hier.
-
Chats
Voici deux des trois petits chats qui logent gratuitement dans le bois chez mes parents.
-
Pourquoi aller en vacances à St-Jean-de-Luz ?
Premièrement, parce qu’on aime, et que quand on aime, on y retourne. Nous y étions allés en 2006 pour notre voyage de noces, et nous y étions retournés en 2007 pour notre premier anniversaire de mariage.
Deuxièmement, parce que là-bas, il y a la mer et la montagne, on peut donc se baigner et partir faire des randonnées folles (cf. La Rhune). Rassurez-vous, y’en a des plus cool ! Et puis il y a plein de choses à visiter au Pays Basque.
Mais surtout, et ça, c’est LA raison qui a fait qu’il fallait retourner en vacances là-bas… il nous manquait LA TASSE
Hein ?
Une petite explication s’impose : en 2009, lors d’un week-end en amoureux à Strasbourg, nous avons ramené dans nos bagages une tasse de la ville. A partir de ce moment là, nous avons décidé que nous ramènerions une tasse de chaque lieu de vacances où nous irions.
Et c’est comme ça qu’on se retrouve avec une tasse de Colmar, une de La Bresse, une de Strasbourg (forcément), et une de Saint-Malo
Oui, mais voilà… il nous manquait la tasse de Saint-Jean-de-Luz.
Alors que nous étions en vacances depuis presque une semaine, nous n’avions pas encore trouvé la tasse de nos rêves (comprenant un petit dessin de la ville, le nom de la ville, le tout dans un rond). Le vendredi matin, nous avons donc sillonné toute la ville à la recherche de cette tasse. Il y a bien des magasins de souvenirs qui vendent des tasses, mais elles ont toutes une croix basque dessus : on n’en veut pas !
Quand soudain, on a trouvé dans un tout petit riquiqui magasin, la seule et unique tasse qui correspondait à nos critères.
En bonus : la cuillère.
Ouf, on va pouvoir rentrer chez nous, même si on était bien en vacances là-bas.
NB : si vous séjournez chez nous, vous pourrez choisir la tasse dans laquelle vous voulez prendre votre petit déjeuner