JC

  • JC,  Nathanaël,  Samuel,  Vacances

    Le Mont de la Chambre

    Le samedi 15 juillet, jour du milieu de nos vacances, j’avais entrepris une petite balade seul, afin de suer sur des sentiers un peu plus raides que les jours précédents. Muni d’une carte IGN, je m’étais lancé jusqu’à un point qui me semblait suffisant pour une sortie d’un après-midi. Mais arrivé à cet endroit, j’éprouvais le besoin de poursuivre jusqu’en haut du télésiège au pied duquel je me trouvais. Chemin faisant, chemin grimpant, pour être exact, je décidais de changer une fois encore mes plans pour gravir le Mont de la Chambre. Mais parti à 13h30, il me fallait tout de même me presser pour ne pas rentrer trop tard, et surtout ne pas inquiéter mes proches.

    C’est ainsi qu’en 4 heures, j’avais grimpé et redescendu 1100 m de dénivelé.

    Le mardi suivant, c’est Julie qui voulait se balader seule. Besoin de bouger, de souffler un peu sans doute, sans les enfants. De mon côté, je réfléchissais à une sortie tranquille pour occuper la marmaille durant cette journée “solo”.

    Je décidai donc de recommencer le début de ma sortie du samedi, jusqu’en bas du télésiège. (vous le voyez venir ?). Je préparai les gourdes, les barres de céréales, le pique nique, et nous partîmes. Comme prévu, le chemin se mit à grimper raide, très raide, et je dus user de mille et un subterfuges pour faire avancer les Cocos sans rechigner.

    MARTIN_2017_07_18_0615

    Arrivés au “premier point”, je sortis l’eau et les barres énergisantes, puis je proposai de poursuivre un peu, assurant que la pente serait moins raide dorénavant (ce qui était vrai…). Je leur proposai le haut du télésiège (ça y est, vous le voyez bien, maintenant ? 😉 )… L’heure tournait, et les petits semblaient de plus en plus sur la réserve (père indigne, oui… ). En haut du télésiège, il était midi.

    MARTIN_2017_07_18_0578

    MARTIN_2017_07_18_0579

    Je leur donnai encore de l’eau et une barre… et proposai de poursuivre encore un peu. Oh, pas grand chose, juste gravir… le Mont de la Chambre !

    Je leur promis que le point de vue serait merveilleux, que l’on serait sur la plus haute montagne du secteur, qu’il y aurait pléthore de remontées mécaniques. C’est ainsi que nous reprîmes l’ascension, sur le chemin pierreux, raide, la sueur ruisselant sur nos visages respectifs, les garçons me tenant chacun une main, et moi, avançant d’un pas régulier pour ne pas les faire exploser avant le sommet…

    Au pied de la dernière difficulté, je sortis les cordes pour assurer les bambins. En effet, les 100 derniers mètres de dénivelé s’effectuent en grimpant une coulée de petit cailloux glissants, relativement dangereux si l’on n’y fait pas attention.

    A 13h00, enfin, nous atteignîmes le sommet. Des photos du panorama, des remontées mécaniques,… puis nous nous posâmes contre un cabanon et nous mangeâmes.

    MARTIN_2017_07_18_0580

    MARTIN_2017_07_18_0602

    MARTIN_2017_07_18_0591

    Après ce buffet revigorant, nous avons refait un rapide tour du sommet et nous avons repris le chemin, dans l’autre sens.

    MARTIN_2017_07_18_0583

    En hiver, cet endroit désert est blanc et grouille de monde !

    MARTIN_2017_07_18_0585

    MARTIN_2017_07_18_0587

    Point de vue vers la vallée de Méribel

    MARTIN_2017_07_18_0589

    Je leur avais promis qu’on dominerait les autres montagnes : promesse tenue !

    MARTIN_2017_07_18_0593

    Une descente très difficile, surtout à partir de la seconde moitié, car les bonhommes étaient complètement cuits, vidés par l’effort qu’ils fournissaient depuis le début de la journée. De plus, l‘eau commença à nous manquer, et c’est la gorge bien sèche que nous arrivâmes à l’appartement. Crevés, certes, mais pour ma part, fier comme jamais de mes fistons !…

    Quelques photos de “là-haut” :

    MARTIN_2017_07_18_0584

    MARTIN_2017_07_18_0592

    MARTIN_2017_07_18_0594

    Le paysage est vraiment “lunaire”. Aucune végétation à part 4 touffes d’herbes…

    MARTIN_2017_07_18_0606

    Les alpinistes du jour…

    MARTIN_2017_07_18_0610

    Et on redescend…

  • Famille,  JC,  Vacances,  Vélo

    Col du Petit Saint Bernard

    J’ai profité de notre séjour à la montagne pour y amener mon vélo. Les bonnes côtes sont en effet assez rares en Ile de France, et je me suis dit qu’un ou 2 petits cols à ajouter à mon maigre palmarès ne seraient pas superflus. Afin de ne pas galérer tout seul, j’ai trouvé un compagnon de route qui a fait le déplacement pour l’occasion en ce jeudi 13 juillet : mon papa !

    Le Col du Petit Saint Bernard est relativement facile. Il est long, certes, mais très régulier, sans jamais atteindre les pourcentages mirobolants de cet insolent Galibier.

    Papa, qui craignait un peu de se retrouver seul au bout de cent mètres, a pris la tête de notre majestueux peloton. Je suis resté derrière toute la montée, et j’ai été stupéfait de la régularité de son allure. Seul, je pense que je serais parti plus vite, avec le risque de tomber en fringale avant la fin du col. Là, l’effort a été constant durant les 3 heures de grimpette : tant mieux !

    col-du-petit-saint-bernardCliquer sur l’image pour agrandir le profil

    Route 13-07-2017, VitesseNotre vitesse en fonction de l’altitude. En vert, la cadence de pédalage. Cliquer pour agrandir

     

    Vers midi, après plus de 3 heures de montée, nous sommes au col (sur le graphe ci-dessus, les pauses ne sont pas comptées) ! De l’eau, des photos, bref, on en profite…

    100_2016

    Vue sur le Mont-Blanc

    100_2018

    Le vélo en avant-plan est tout neuf. C’est celui de papa.

    100_2020

    Nous 3…

    100_2021

    De retour dans la vallée, chacun a repris sa route (en voiture). Papa vers Villefranche, moi vers les Menuires. Une journée bien sympathique, merci encore 🙂 .

  • Famille,  JC,  Julie,  Vacances

    Tamié + Epierre

    On se lève tôt, Nathanaël prend son médicament “anti-vomi”, et nous partons à Tamié pour assister à la messe avec les moines. Les derniers virages avant le Col de Tamié ont été plus fort que “l’anti-vomi”, heureusement, la bassine était là !

    En arrivant, nous nous apercevons qu’il y a beaucoup de monde venu assister à l’Eucharistie. Nous sommes tout au fond de l’église, mais nous voyons tout de même le moine qui sonne la cloche en tirant la corde. Un autre frère vient chercher les enfants et ils partent tout devant sur les tapis assister à la messe. Il y a 13 ans, c’était nous, les jeunes de l’aumônerie de Villefranche qui étions sur ces tapis.

    Après ce temps de prière, nous passons au magasin faire quelques achats, dont ceci :

    MARTIN_2017_07_17_0574

    et nous allons vite le mettre au frais dans la glacière.

    Nous pique-niquons, chaussons les chaussures de marche et partons au Fort de Tamié. Nous prenons « la » route, traversons « le » champ, trouvons « le » chemin qui monte à La belle étoile, un bouquetin mort, mais pas le chemin qui mène au Fort. Nous revenons alors sur nos pas, et décidons d’y aller par la route.  Heureusement, on a retrouvé un sentier fléché, et nous sommes arrivés devant l’entrée principale du Fort. Nous l’avons contourné et enfin, nous avons retrouvé l’endroit que nous cherchions : un beau panorama surplombant Albertville et une belle vue sur le mont Blanc.

    Pour le retour, nous avons retrouvé le chemin que nous avons tant cherché à l’aller. Et pendant ce trajet, on s’est dit qu’il y a plus de 10 ans, on faisait parti d’un groupe de jeune, qu’on discutait, et qu’on suivait le mouvement sans faire attention au chemin que nous prenions.

    Nous avons retrouvé la voiture et sommes partis à Epierre rendre visite à Marine et Matthieu. Nathanaël était ravi de revoir son parrain. Les enfants et moi avons découvert leur maison. Jean-Christophe a fait couler son sang pour couper un morceau de tronc d’arbre qui résistait à son frère. Et nous avons passé une bonne soirée tous ensemble. Après un immense câlin de Nathanaël à son parrain, nous avons repris la route des Menuires.

  • JC

    C’est du beau !

    A l’heure où je fais cette article, mon cher et tendre mari est parti retrouver son « ex »… de maternelle. A l’époque, avec leur langue, ils touchaient le bout de la langue de l’autre ! BRAVO !

    En vrai, via internet, grâce à Copains d’avant, ils ont repris contact alors que nous habitions encore Brunoy. Nous l’avons mis au courant de la naissance de nos enfants et inversement. Et puis nous nous sommes aperçus qu’elle habitait à environ 1h de route de chez Dominique (sœur de JC), relativement sur notre route.

    Jean-Christophe étant allé installer un ordinateur chez sa sœur hier et aujourd’hui, il a profité du trajet retour, sans contrainte d’horaires puisqu’il est en vacances, pour aller la revoir.

    Ce soir, il devrait donc… rentrer à la maison…

  • Famille,  JC,  Sortie

    Fête des pères

    Comme l’an dernier, nous avons passé le week-end de la fête des pères à Arnas.

    Nous sommes partis le vendredi dès la sortie de l’école. Jean-Christophe s’étant levé tôt pour aller travailler, j’ai conduis sur une petite portion du trajet (A5, A19, A6) pour qu’il se repose. Nous sommes bien arrivés. Clignement d'œil

    Nous avons pu profité de toute la journée du samedi et sommes partis en milieu d’après-midi le dimanche. Voici quelques photos :

    MARTIN_2017_06_18_0460

    MARTIN_2017_06_18_0463

    MARTIN_2017_06_18_0467

    MARTIN_2017_06_18_0472

    MARTIN_2017_06_18_0477

    MARTIN_2017_06_18_0479

    Merci pour ce week-end, les madeleines étaient délicieuses !

  • JC

    Bracelet

    On en parlait depuis longtemps, et puis la semaine dernière, Jean-Christophe a eu son accident. Heureusement, il n’a pas été trop blessé, même si il a encore bien mal au coccyx… mais on se dit, que ça aurait pu être bien plus grave.

    Nous avons donc commandé un bracelet qui indique son identité, sa date de naissance, son groupe sanguin, mon numéro de téléphone et d’autres informations utiles. On espère bien-sûr qu’il n’aura pas d’autres accidents, mais comme on a pu constater que ceux-ci n’arrivaient pas qu’aux autres, quand JC pourra refaire du vélo, il aura au moins ce bracelet qui permettra d’aider les secours si il n’est pas en mesure de répondre aux questions.

  • JC,  Vélo

    Initiation cascadeur…

    Samedi, Julie et les enfants sont partis en début de matinée, direction Besançon, pour une cousinade. Moi, travaillant tôt le lendemain (congé accordé le samedi mais pas le dimanche 🙁 ), je suis resté à la maison pour profiter de faire un peu de bricolage le matin et un tour de vélo l’après-midi.

    Une bonne idée, à première vue, compte tenu de la météo et de ma forme du moment.

    C’est sur le chemin du retour que mon périple s’est brutalement arrêté. Engagé dans un rond point pour prendre la 3ème sortie, j’ai aperçu une voiture, venant de la 2ème sortie, ralentir, et au moment où j’arrivais devant elle, remettre un coup d’accélérateur. Ayant quelques notions en physique, surtout au chapitre « mouvements, forces et trajectoires » 😉 , j’ai rapidement compris que le choc était inévitable.

    J’ai vu l’aile percuter le vélo, puis j’ai décollé. J’ai pensé à mon boulot (oui, mon boulot dépend de ma santé), j’ai pensé à mes os qui allaient se briser en retombant sur la route, et… j’ai repris mes esprit, allongé sur le ventre au milieu de la route. Une douleur violente (9/10 ! ) au coccyx m’empêchait tout mouvement, mais assez rapidement, j’ai constaté qu’aucun autre membre n’était touché.

    Après quelques instants, j’ai pu retirer mon casque et même me relever pour dégager la route. Les pompiers et la police sont arrivés au bout de 10 minutes. J’ai fini cette belle sortie par 4 heures à l’hôpital. Rien d’alarmant, aucune fracture, mais j’ai toujours mal aujourd’hui en position assise. Curieusement, je n’ai aucune égratignure, à part un léger frottement sur la fesse droite. Julie n’étant pas là, c’est en taxi que j’ai dû rentrer le soir !

    Jour férié oblige, il faut attendre demain mardi pour contacter les assurances. Le « coupable » reconnait ses torts à 100%, nous sommes en contact.

    Concernant le vélo, enfin, la roue arrière est enfoncée/cassée au niveau de la jante et un frottement est visible au niveau de la base droite. Il faut que je fasse contrôler le carbone à cet endroit…

    Plus de peur que de mal, en somme. On pense souvent que les accidents n’arrivent qu’aux autres. N’oublions pas que les autres, des fois, c’est nous…

  • Cuisine,  JC

    Les racines…

    Quand on voit la photo, on pourrait se dire que cet arrivage d’Italie, c’est un retour aux racines italiennes du côté de mes grands-parents…

    Mais en fait, c’est surtout un retour aux racines « alsaciennes » de Jean-Christophe.

    En effet, quand il était petit (pas si petit que ça, il avait environ 10 ans), Papapa, son grand-père, faisait de l’eau gazeuse avec des petits sachets qu’il mettait dans une bouteille d’eau… Jean-Christophe a donc cherché où trouver ces sachets magiques qui faisaient de l’eau à « grosses bulles ». Malheureusement, depuis fin 2015, les sachets de la marque Vée ne sont plus commercialisés. Il a donc cherché une alternative, et a trouvé de l’Idrolitina en Italie. Nous avons reçu le colis et buvons donc de l’eau pétillante. Elle n’a pas ces « grosses bulles » tant recherchées, mais on pense quand même à Papapa en la buvant.

    Nous nous sommes également régalés des pâtes italiennes et du coulis… 😉

  • Bricolage,  JC,  Maison,  Nathanaël

    Nouvelle chambre

    Les travaux de la chambre de Nathanaël sont finis. Jean-Christophe en a bien bavé à certains endroits puisque les murs ne sont pas droits, mais il s’en est super bien sorti.

    JC a donc décollé le papier rose :

    S6003881

    Il a ensuite poncé les murs, a mis deux couches de sous-couche et a posé le papier peint.

    S6003886

    S6003888

    Notre Nathou a  maintenant une belle chambre de garçons avec son papier peint Cars et bleu.