Santé
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Hernie inguinale
Hier, Papy de Vannes aurait eu 100 ans et pour l’occasion, nous nous sommes levés tôt. Non, en vrai, si nous nous sommes levés tôt, c’était pour nous rendre à la Polyclinique de Franche-Comté.
Jean-Christophe avait rendez-vous à 6h15 pour son admission en chirurgie ambulatoire.
Ensuite, il a été appelé, et je suis rentrée à la maison.
Un peu avant 10h, il était opéré et de retour dans sa chambre.
Il a pu prendre son petit déjeuner au lit.
Ensuite, repos, petit malaise mais l’infirmière est arrivée au bon moment pour prendre soin de lui, et encore du repos avant la visite du docteur et sa sortie à 16h45.
Tout va bien malgré la douleur, mais le Doliprane va être son ami pendant quelques temps.
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Après 1 semaine de confinement…
Voilà 6 jours que les mesures de confinement ont été adoptées, il est temps de donner quelques nouvelles.
En début de semaine, seuls les enfants ont vu leur quotidien perturbé, puisque Julie a poursuivi son activité d’assistante maternelle avec ses 2 petits habituels, et moi, j’ai travaillé normalement.
Situation assez singulière pour nos garçons : essayer de se faire à l’idée qu’ils étaient à la maison mais qu’il y avait du travail scolaire à effectuer. Et oui, plus que des devoirs de vacances, de véritables cours et leçons à apprendre, des pages de fichiers, des dictées, du calcul mental, bref, tout se qui fait les ingrédients d’une journée d’école normale. Pour nous aussi (enfin, c’est surtout Julie qui a géré ! ), récupération des devoirs, des exercices, échange de mails avec les enseignants, découvertes des différentes plateformes numériques, tout un programme ! Et encore, nous n’avons que 2 garçons. Une grosse pensée pour les familles nombreuses…
Mercredi, les choses ont évolué. Les employeurs de Julie, télétravailleurs, ont décidé de garder leurs enfants pour la fin de la semaine. De mon côté, le lendemain, le trafic ferroviaire étant très allégé, je me suis également retrouvé à la maison. Quatre jours de « vacances » en famille, n’était-ce pas l’occasion de faire un grand week-end tranquille loin de tout ? Eh bien non, en fait… Dommage… Donc nous sommes restés à Combs, profitant du soleil dans le jardin, nous occupant du gazon, de la préparation du potager, etc… Les garçons aussi ont passé une partie de l’après-midi dehors (une sorte de récréation en somme). Bon, nous n’avons pas non plus un terrain de football, et les activités de dépense physique leur sont plutôt limitées. Mais il aurait pu pleuvoir ! Julie en a profité pour faire du vélo d’appartement, et moi j’ai ressorti le home trainer – et le vélo par la même occasion- pour essayer de retrouver des muscles que je croyais avoir perdu.
Vendredi, à peu près le même topo. On a ravitaillé en épicerie et en produits frais pour tenir une large semaine. Les devoirs continuent. Ça prend du temps. En fait, le plus compliqué, notamment avec Samuel, c’est qu’il est hermétique à tout ce qui vient de nous. Alors que les livres et l’institutrice sont ses seules sources « sûres» de connaissance, lui faire cours nous-même tourne souvent au clash. Expliquer une leçon, on sait à peu près faire. Amener un cours sur la première guerre mondiale, c’est un autre exercice pédagogique… Et puis c’est sans compter ses sautes d’humeur chroniques… Mais ont survit ! Une seconde grosse pensée pour les familles nombreuses…
Samedi, il a refait froid. Du coup, le jardin n’était plus aussi accueillant que les jours précédents. Julie et les titis sont allés se dégourdir les jambes… jusqu’à la boulangerie. Le parc à côté de chez nous est fermé, il nous faut donc faire le grand tour ! Tant mieux, ça fait marcher ! L’après-midi, nous sommes restés bien confinés entre nos murs. En y réfléchissant, c’est presque une vie de prisonnier : cellule, brève sortie, repas, cellule, repas, dodo… Mais en famille. C’est toujours ça…
Dimanche, jour où j’écris, le soleil est timide, il n’y a pas de devoirs, alors c’est ménage pour les uns, Lego pour les autres… C’est quand on en est privé qu’on se rend compte de nos libertés habituelles. Enfiler une paire de basket et faire un tour. Aller chercher du pain, aller acheter une étagère, aller chez le coiffeur…
L’organisation de la semaine qui arrive est encore floue. Julie travaillera-t-elle ? Aura-t-on besoin de moi en tête d’un train ? On prendra les informations au jour le jour.
A très vite !
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Mal des transports
Jeudi, j’ai pris le TGV avec mes fils pour aller chez mes parents. Avant de quitter la maison, Samuel me dit : « Maman, je dois prendre le médicament, je suis malade en train. » C’était l’heure de partir, alors j’ai dit : « Tant pis pour le médicament, ça ira. »
Au final, après 1h15, Samuel me dit : « Je peux aller aux toilettes, j’ai envie de vomir. » Le voyage durant 3h, je me dis : « Pourquoi ne lui ai- je pas donné du Nausicalm? »
L’épisode des toilettes a recommencé 10 minutes après. Je suis alors allée au Bar pour demander un sac en papier pour si mon bonhomme n’avait pas le temps d’arriver aux WC.
Le gars du bar était bien rôdé puisqu’il m’a filé deux sacs en papier, des serviettes, et deux gobelets (un rempli d’eau pour qu’il se rince la bouche et un vide pour si il souhaite recracher)
Au final, Samuel a pris l’air à Dijon, Dole et Mouchard, il a gardé son sac devant lui tout au long du trajet et rien est sorti, ouf !
Il a pu manger son sandwich une fois arrivé chez Papy et Mamie.
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Catastrophes en série
Avec la tempête Eléanore, des tuiles du toit de mes parents se sont envolées, ensuite, le Doubs a débordé. Heureusement, pas de dégâts dans la partie habitable, mes parents ont hébergé leur voisin de 82 ans. Voici quelques photos :
La rue devant chez eux.
Et puis la dernière catastrophe est arrivée hier. Mon père est tombé d’une échelle et a chuté de 3 mètres. La première vertèbre lombaire est fracturée mais la moelle épinière n’est pas touchée. Il va porter un corset pendant au moins 3 mois.
Après tout ceci en seulement 8 jours, on va vous souhaiter que le reste de cette année soit bien meilleure que ces premiers jours de 2018.
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Malades…
… pour les vacances .
Nathanaël a ouvert le bal des malades le jeudi. Il a dormi toute la fin d’après-midi et tout le lendemain. J’ai suivi le vendredi matin avec une gastro éclair, et JC a suivi la nuit avec les mêmes symptômes. Le samedi, on partait en Auvergne avec une petite forme… seul Samuel tenait le coup. Nous sommes arrivés à bon port, mais avons mis quelques jours tout de même pour récupérer toutes nos forces.
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Bilan de santé
La semaine écoulée a été riche en rebondissement. Dimanche dernier, Samuel s’est coincé le doigt de pied sous la porte des WC, ce qui a provoqué une vive douleur et du sang sous l’ongle.
Le lendemain, après un appel au pédiatre, celui-ci m’a dit qu’à part désinfecter, il n’y avait rien à faire de plus, qu’il perdrait son ongle et qu’un autre repousserait.
Mercredi, le sang s’est écoulé naturellement.
Vendredi, il avait son rappel de vaccin à faire, j’en ai profité pour montrer l’ongle de Samuel au médecin qui a constaté que le sang était parti et que c’était beau, il n’allait même pas perdre son ongle. Autre bonne nouvelle, il pourra faire le parcours « pieds-nus » lors de la sortie scolaire la semaine prochaine.
Pour ne pas être en reste, Nathanaël est tombé mercredi dernier dans le jardin… le problème, il n’arrivait plus à bouger le bras et hurlait très fort. Super Papa a pensé à mettre son bras en écharpe et nous avons pris la direction des Urgences. Au fur et à mesure que nous nous rapprochions de l’hôpital, Nathanaël bougeait mieux son bras et se calmait.
Au final, après examen, rien de cassé, rien de luxé, le tendon a sûrement eu un petit choc mais ça se remettra tout seul. A l’hôpital, on nous a dit qu’on avait bien fait de venir.
Nous avons eu de la chance également, puisque nous sommes restés 40 minutes aux Urgences. 😉
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2 ans dans le vomi
Hier, notre petit bonhomme a eu 2 ans. Son Papa partant travailler à 9h30 et ne rentrant qu’aujourd’hui, il a donc ouvert ses cadeaux après le petit déjeuner.
Pour ce qui est du gâteau… hier, la gastro a fait son apparition et Nathanaël n’était plus en état de manger quoi que ce soit. Heureusement, il a soufflé ses bougies vendredi aussi.
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Bilan de santé du dernier-né
Ce matin, Nathanaël a vomi 2 fois. Nous avons pris rendez-vous chez le pédiatre. Toute la journée, il a été ronchonchon et fiévreux, alternant état léthargique et pleurnichements. Il n’a d’ailleurs pas joué.
Le médecin a diagnostiqué une éventuelle “gastro éclaire”, qui devrait passer d’ici 48h. Dans le cas contraire, d’autres examens seraient pratiqués.
A l’heure qu’il est, il est roulé en boule sur sa maman, signe évident qu’il est un peu… détraqué !
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Quelques infos “santé”
Le dentiste a rappelé aujourd’hui comme convenu. Il a parlé du cas de Nathanaël au “spécialiste des enfants” présent ce jour au cabinet. Pour ce spécialiste, il est peut-être plus judicieux d’attendre 3 semaines pour voir si les dents vont redescendre d’elles même. Nous avons donc rendez-vous vendredi après-midi au cabinet, avec le dentiste et le spécialiste pour un “contrôle”, mais plus pour une opération. Un second bilan sera effectué à notre retour de vacances, avec cette fois, une éventuelle intervention.
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Mésaventure du dimanche
Dimanche vers 17h30, alors que Nathanaël terminait de se laver avec sa maman, il a glissé dans le bac de douche. Il a alors tapé le rebord du bac… avec sa bouche. Immédiatement pris en charge par sa maman, qui se trouvait à 30 cm de lui, il s’est mis à saigner abondamment. En observant de plus près, ses 4 incisives du haut n’étaient plus visibles. Malgré le sang qui jaillissait sans discontinuer, on a vite compris qu’elles étaient rentrées dans la gencive…
Le temps de prendre les papiers de la voiture pour filer aux urgences, Nathanaël avait continué à recolorer sa serviette de toilette de sang. Nous avons décidé de “refiler le bébé” aux pompiers plutôt que de prendre le risque qu’il perde connaissance en voiture. Moins de 10 min plus tard, les secours étaient là. Nathanaël refusant de coopérer pour l’examen buccal, les pompiers l’ont immédiatement embarqué avec sa maman dans le camion.
Arrivés à Melun, après beaucoup d’attente – urgence oblige – hésitant à nous renvoyer vers un service spécialisé en stomatologie à Villeneuve ou à Paris, le corps médical a tenté de faire une radio panoramique pour vérifier l’intégrité de la mâchoire. Mais notre enfant étant trop agité, sans doute torturé par la douleur, le cliché était inexploitable.
3 heures après notre arrivée, il nous a été prescrit, outre des anitibios et du bain de bouche, une visite chez le dentiste, apparemment plus apte et mieux équipé pour diagnostiquer une éventuelle fracture.
Après une nuit plutôt calme grâce au Doliprane, le rendez-vous a eu lieu cet après-midi à 14 heures. Après une radio enfin réussie, le verdict est tombé. Il n’y a pas de fracture, et il y a bien “impaction de 52, 51, 61, et 62 dans le maxillaire”… Il faut donc les en extraire, opération qui doit se dérouler vendredi ou la semaine prochaine. De plus, il n’est pas impossible qu’en “rentrant”, les dents n’aient pas endommagé le bourgeon de la denture permanente. Donc le pronostic de l’évolution et de la formation des dents définitives est incertain.
Voilà pour les infos de ce soir. On attend un coup de téléphone du cabinet dentaire demain pour confirmer la date de l’intervention. Les vacances commencent bien…