• Jardin

    Grive

    C’est l’instant « oiseau » de notre jardin. Nous avons des merles, des moineaux, tourterelles, rouge-gorge, mésanges charbonnières et bleues, pinsons, verdiers, pic épeiche et grives que nous observons depuis nos fenêtres.

    Il y a des mangeoires pour tout le monde

    Ce matin, Jean-Christophe a immortalisé une grive qui a trouvé une vieille pomme sous le pommier.

  • Valdahon

    Annonce ?

    Une cigogne est venue nous dire bonjour. Mais ce n’est pas ce que vous croyez. Elle s’est posée sur le toit des voisins. À voir si dans quelques mois, leur famille comptera un membre de plus.

  • Famille,  JC,  Julie,  Nathanaël,  Non classé,  Samuel,  Sortie,  Vélo

    Sorties en vélo

    Je crois que c’est une des choses qui nous a le plus manqué lors des beaux jours du confinement. Nous avons donc repris les promenades familiales à trois ou quatre en fonction des journées de travail.

    La première fut pour la butte aux lapins. Nous en avons vu quelques uns. La seconde pour un retour en forêt de Sénart. La troisième pour la butte aux lapins (encore, mais nous n’en avons pas vu) et la zone humide. De belles rencontres lors de cette promenade.

    La famille cygne

    Et la dernière date de cette après-midi. Découverte d’une autre zone humide avant de faire un tour en forêt.

    Vous voyez la cane et ses canetons?
    Encore une maman et son petit

    Et bien on a apprécié ces moments familiaux, en vélo tout près de chez nous.

  • Jardin

    “Le Petit Nid…”

    C’est le nom du blog (ça vous le savez), mais c’est aussi ce qu’un couple de merles a construit dans notre haie, à 1m à peine de notre porte ! Et dedans, surprise, quelques petits oisillons ! Alors nous observons discrètement les aller-retours de papa merle qui ramène les provisions pour les petits ogres, et la maman qui revient parfois réchauffer tout ce petit monde.

    Quelques jours auparavant, j’avais bien remarqué qu’un merle peu farouche rodait souvent devant la maison. Il s’était même posé sur la portière ouverte de la voiture ! En le voyant s’engouffrer dans la haie le bec chargé, j’ai compris qu’une famille oiseau y habitait. Et après vérification :

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  • Sortie,  Vacances

    Petite cité de caractère ?!

    Vouvant, classé huitième village préféré des français, nous sommes allés le visiter… et nous avons été déçu (un peu comme Nathanaël sur la photo un peu plus bas). Après discussion avec les propriétaires du gîte, nous y sommes peut être allés trop tôt car pas de vie, pas d’animation dans le village.

    Nous avons quand même vue la Tour Mélusine et la maison de cette fée.

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    Nous avons aussi vu plein d’oiseaux comme ceux-ci:

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    Nos p’tits loups :

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    Les remparts et le sentier “comme à la montagne” :

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    Le pont roman :

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  • Divers

    Les “perroquets”, la suite…

    Après enquête, il s’avère que les perroquets surpris hier sur notre arbre sont en réalité des Perruches à Collier. Des oiseaux perdus ? Evadés ? Des aventuriers ? Des “Globe Flyer” ?

    Jean Pierre Moussus sur le site http://biologie.ens-lyon.fr/ nous apporte un élément de réponse très intéressant :

    Non, ces photographies n’ont pas été réalisées dans de lointaines contrées exotiques. Elles ne proviennent pas non plus d’un parc zoologique où la rencontre de telles espèces est fréquente. Ces clichés ont été pris en région Ile de France. Le Psittacidé que l’on y voit est une perruche, la Perruche à collier (Psittacula krameri).

    Depuis maintenant près de vingt ans, et la probable ouverture d’un container sur le site aéroportuaire d’Orly contenant quelques dizaines d’oiseaux, cette espèce s’est bien établie dans la région et forme désormais plusieurs populations dites férales, c’est-à-dire à l’état sauvage mais issue d’une introduction. Le suivi particulier dont fait l’objet cette espèce montre que ses effectifs augmentent de façon exponentielle, ce qui correspond à une croissance non limitée par la compétition (intraspécifique ou interspécifique). La Perruche à collier est donc qualifiée d’espèce invasive et ses effectifs se chiffrent aujourd’hui entre 1000 et 1500 individus en Ile de France.

    Cette croissance suscite l’inquiétude chez certains ornithologues dans la mesure où cette espèce adopte un mode de nidification cavernicole. L’espèce se reproduit très bien en ville (les couvées comportent de 2 à 6 œufs et l’espérance de vie de l’oiseau en captivité est d’environ 30 ans). Or, en milieu urbain, le nombre de cavités peut être un facteur limitant à la reproduction de nombreuses espèces (pics, étourneaux, sitelles…). Elle inquiète également les gestionnaires des espaces verts dans lesquels elle s’implante par les dégâts qu’elle peut causer aux arbres dont elle consomme les fruits (notamment en hiver). Dans son aire de distribution originelle, elle est en effet considérée comme un fléau pour les cultures céréalières. Les études menées par le Muséum National d’Histoire Naturelle sur le sujet en 2007 et 2008 n’ont pourtant pas permis de déceler un effet sur les populations d’espèces autochtones.

    La Perruche à collier a pour origine le Sud asiatique ainsi que l’Afrique sub-saharienne dont les climats diffèrent sensiblement de celui de la région parisienne ce qui pose la question de la survie de ces oiseaux essentiellement granivores et frugivores en hiver. Les usagers des parcs et jardins de la région se sont en majorité bien accommodés de la présence de  la Perruche à collier et nombreux sont ceux qui viennent nourrir les oiseaux notamment en période hivernale quand ceux-ci sont moins farouches.

    Que représentent ces nourrissages dans la survie des oiseaux pendant la mauvaise saison ? Quelle sera leur capacité à proliférer hors de l’agglomération dans les années ou les décennies qui viennent ? Quelles relations cette espèce entretiendra-t-elle avec les autres espèces d’oiseaux autochtones ? Quelle valeur attribuer à une telle espèce, honnie par les défenseurs d’une nature la plus « autochtone » possible, choyée par une majorité de citadins qui admirent ses couleurs et s’étonnent de ses comportements ? Des éléments de réponse à ces questions communes à bien des espèces exotiques invasives pourraient nous parvenir de pays voisins puisque des populations férales de Psittacidés sont présentes dans de nombreuses grandes agglomérations européennes comme Londres (près de 50 000 individus), Rome, Bruxelles (10 000 individus environ), Barcelone…Le débat est donc ouvert et renvoie plus généralement à la conception de la Nature par l’Homme.

    Jean-Pierre Moussus, août 2011. “

     

    Cependant, l’histoire ne dit pas si ces deux perruches savaient parler…

  • Vacances

    Les oiseaux

    Samuel a pu contempler les oiseaux… C’est trop bien, ça bouge tout le temps ! Mais on ne lui a pas expliqué les différences entre les goélands argentés, les mouettes rieuse, etc… Clignement d'œil

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