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Fête de départ Nathanaël
Samedi, Nathanaël a invité les CM1 de sa classe pour jouer au parc Chaussy une dernière fois en dehors de l’école.
Comme il y avait le match de la France, nous avons bénéficié du parc quasiment pour nous seuls.
Au programme, cache-cache, frisbee, gamelle, agent secret et goûter. Sans oublier les cadeaux que ses copains et copines lui ont offert.
Nous sommes retournés juste à temps à la maison avant que la pluie d’orage ne tombe pendant 1h.
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Orage
Quand on vous dit que l’eau, il faut en prendre soin. Après la sécheresse, un bel orage. On en a profité pour remplir à nouveau les réservoirs, et pour cela, il faut donner de sa personne.
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Eau précieuse
Non, je ne fais pas la pub pour une lotion contre les boutons.
J’ai parlé il y a peu de temps des aménagements faits pendant ce temps à la maison. Notamment, pour récupérer l’eau de pluie. Et bien ça marche.
La pluie se faisant rare, nous récupérons déjà à l’heure actuelle l’eau froide lorsque nous faisons couler l’eau chaude pour la douche.
Aujourd’hui, une petite pluie fine a fait son apparition, nous permettant de remplir plusieurs seaux.
C’est peu, mais c’est déjà ça. -
Toussaint
Une pensée particulière pour Laure qui nous a quitté il y a un an, on pense bien évidemment à Max et aux enfants.
Alors que nous avions un rayon de soleil ce matin et que les enfants ont joué dans le jardin, cet après-midi, il pleut, c’est la météo qui convient pour ce jour. Alors nous reprenons les activités de saison. Nathanaël a fait son puzzle sur les monuments du monde.
J’ai aussi fait de la compote; bon d’accord, ça fait plus de 15 jours que je fais de la compote, mais c’est tellement bon, qu’on en profite.
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Traditions
La Fête-Dieu, ou fête du Saint Sacrement, est une fête religieuse catholique. Elle est célébrée 60 jours après Pâques. Autrefois, cette fête était accompagnée d’une procession, mais au fil du temps, celles-ci se sont raréfiées. Au pays basque, pourtant, cette ancienne tradition est toujours respectée. Nous ne le savions pas, et c’est par hasard que nous sommes tombés sur… un parterre de paille !
Nous nous sommes rapprochés de l’église (la messe était déjà très avancée) et nous avons assisté à la procession. L’occasion de voir défiler la fanfare, les enfants de cœur, les “premiers communiants”, le Saint Sacrement, les prêtres célébrant l’office et… le conseil municipal (et accessoirement l’ex-ministre et ex-député).
Le cortège a fait un circuit de 500 m environ dans les petites rues du centre de la ville, pour arriver devant un autel fabriqué pour l’occasion.
Notre curiosité satisfaite, nous avons pris le chemin du front de mer
A ce moment précis, il ne pleuvait pas encore… Nous sommes allés faire un tour aux halles, l’occasion de voir du poisson pas trop cher. Nous sommes aussi allés à l’office du tourisme et la pluie nous a rattrapés, pour ne plus nous lâcher avant mardi après-midi… 🙁
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Samedi sportif
Depuis plus de 4 semaines, il n’est pas tombé la moindre goutte de pluie sur Combs-la-Ville. La météo a beau annoncer des orages, des averses et autres perturbations, rien n’y fait, il fait toujours aussi sec…Hier, cependant, malgré une bonne motivation, j’ai dû me résigner à rester chez nous, et à attendre la pluie annoncée… Les prévisions étaient formelles, le ciel était bas, pourtant… le bitume est resté sec !Tant pis, ce n’est que ce matin que j’ai abandonné femme et enfant au bénéfice de mon “plaisir solitaire”.Un périple de 75 km tout de même (soit 10 de plus que prévu), toujours à cause de mon sens de l’orientation un peu défaillant par moment (et surtout un itinéraire pas assez préparé…).Après 5 km de "ville" et 7 km de route “de liaison”, je suis passé au Sud de l’aérodrome de Melun-Villaroche, puis me suis évadé, encore une fois, dans la Brie, sur des routes inconnues. Le passage par Crisenoy et Champdeuil (malgré une fausse route) m’a permis d’éviter la longue ligne droite de la N36.
C’est en revenant, à Ozouer-le-Voulgis, que j’ai compris que les 22 derniers kilomètres seraient… abominables. Et ils l’ont été ! En effet, mes jambes ont lâchés, et malgré mes prises régulières de sucres rapides et une bonne hydratation, il m’a fallu près d’une heure pour rallier la maison. J’aurais pu raccourcir le retour, mais j’ai voulu rester fidèle à ce que j’avais prévu…
En arrivant dans Le Nid, après une bonne douche bienfaisante, j’ai savouré un bon steak et des haricots verts, trop bons, que ma petite femme avait mijoté… C’est peut-être ça le meilleur dans le sport : se restaurer !