Divers
-
Aumônerie : Première rencontre
Lundi soir, nous avons accueilli les 12 jeunes de notre groupe d’aumônerie. Et lors de cette rencontre, nous avons parlé de : LA JOIE… Moment passager ou attitude profonde ?
Heureusement, pour ça, Père José avait préparé un support en 3 parties. Une première partie expliquant la différence entre le plaisir et la joie, une deuxième avec la Parole de Dieu, et une partie Méditation pour conclure… le tout, accompagné de questions pour orienter la discussion.
Et pour finir la rencontre, nous avons mangé tous ensemble (pizzas, quiches et gâteaux).
Samuel, lui, était ravi de tout ce monde. Il a fait le pitre en début de soirée, puis a joué tranquillement dans le parc… (pour éviter de dissiper tout ce petit monde). Il s’est couché tard pour l’occasion, et s’est réveillé le lendemain à 9h15.
Ce soir, on reçoit un appel de Père José pour nous dire qu’il a eu des échos positifs de la rencontre . Ouf, c’est déjà ça… si les jeunes sont contents… nous aussi .
-
Samedi astronomie : en route pour Carrefour Planet !
Notre caméscope n’ayant pas supporté l’altitude de l’autre jour, il est tombé en dépression… Nous sommes donc allés ce matin à Pontault-Combault chez son psy pour lui redonner le moral et accessoirement, un bouton de zoom opérationnel ;-).
Profitant de cette virée, nous avons décidé de faire quelques emplettes chez Carrefour, juste à côté de Darty.
Mais en arrivant, surprise ! Nous n’avions pas fait 20 km mais 256 millions d’années lumières ! Et oui, devant nous se dressait la planète Carrefour, ou plutôt “Carrefour Planet”…
Certes, nous avions entendu parler de celui d’Ecully, qui faisait office de magasin pilote, mais on ignorait que 4 sites franciliens avaient hérité de l’enseigne.
C’est donc l’esprit détendu et guilleret que nous avons franchi les portes de “ce magasin du futur”.
Pour comprendre ce qu’est ce “Carrefour Planet”, rien de mieux qu’un bon copier-coller :
Les quatre magasins ont totalement repensés afin de » mieux répondre aux attentes des clients et réenchanter leurs courses « , précise le groupe.
Avec ce nouveau concept, les consommateurs découvriront une nouvelle façon de faire leurs courses, plus conviviale et plus pratique, avec de nouveaux espaces spécialisés, de nouveaux services et une offre de produits au meilleur prix. L’ergonomie des magasins a été revue, avec des allées plus aérées et élargies, des meubles bas et un éclairage plus doux, et une nouvelle signalétique colorée permet de se repérer plus facilement.Pour synthétiser au plus précis notre ressenti, on peut dire qu’on n’a jamais autant galérer pour trouver des piles, des gobelets, des assiettes en plastique et des pizzas… Rien n’est intuitif, rien n’est optimisé pour favoriser la circulation des clients et des charriots, en un mot, c’est le boxon ! La seule chose agréable… c’est la partie “alimentaire” qui reste conforme à ce qu’on trouve dans la plupart des hypers (sauf les pizzas qu’on a dû pister trèèès longtemps pour en attraper une 🙂 ).
A la caisse en revanche… aucun changement, il faut toujours sortir la carte bleue pour pouvoir emporter ses achats…
Bref, faire ses courses version moderne reste aussi pénible que faire ses courses version classique…
-
C’est parti (et autres nouvelles) !
Nous avons participé ce soir à la rentrée de l’aumônerie. Il y avait une cinquantaine de jeunes, en 4ème et 3ème.
Nous en avons récupéré 12, des “coriaces” à première vue, des purs “4ème/3ème”…
Notre première rencontre aura lieu chez nous, le 10 octobre prochain. Les voisins du dessous sont absents depuis plus de 4 mois. Qu’ils n’hésitent pas à attendre encore 10 jours avant de rentrer !…
Samuel est resté à la maison avec Camille, sa première Baby-Sitter. Apparemment, ils ont été sages…
Julie se repose (du moins elle fait ce qu’elle peut), sur les conseils de la sage-femme de l’hôpital. Heureusement, pour le moment tout se passe bien.
Et puis demain samedi, c’est soirée ciné sur notre blog… Restez attentifs !
-
A la chasse au cerf…
En me baladant sur Internet, je suis tombé par hasard sur une page qui parlait d’un jeu vidéo gratuit, nommé The Hunter. Apparemment une simulation de chasse.
Plein d’a priori sur un jeu gratuit au titre inconnu, j’ai décidé de l’installer tout de même, histoire de me faire ma propre idée.
Première (mauvaise) impression, on ne télécharge pas le jeu, mais un lanceur qui va s’occuper de récupérer le jeu et de l’installer automatiquement. Ensuite, il n’y a pas moyen d’ouvrir directement le jeu depuis “le bureau”. Il faut se connecter sur le site Internet (en ayant auparavant créé un compte) et le lancer depuis là.
Seconde (mauvaise) impression, le site et le jeu sont en anglais.
Le jeu enfin lancé, me voici dans une réserve de chasse et… je dois avouer que je suis bluffé par la qualité de réalisation visuelle de ce jeu !
On se retrouve projeté dans une forêt immense. Le calme qui y règne est enivrant. On entend les gazouillis des oiseaux, des toc-tocs de piverts,… Les papillons volent, le vent secoue les herbes, arrachant parfois une ou deux feuilles aux grands arbres qui nous entourent. Impressionnant !
Mais si je veux manger du chevreuil au barbecue ce soir, c’est mal parti. En effet, comme dans la réalité, la chasse est un art (ou pas) qui s’apprend et se travaille.
Heureusement, on peut suivre un tutoriel en 2 parties, pour apprendre à trouver des indices de passage des animaux (traces de pas, excréments, herbe écrasée, cris, etc…).
C’est ainsi que 2 jours après avoir installé le jeu (oui oui, 2 jours…), j’ai été tout fier de trouver mes premières crottes de cerf. Et après une traque de quelques heures puis un coup de fusil bien placé, j’ai tué ma première biche.
Je profite de cette dernière phrase pour faire un “point moral”. Il n’est pas question dans ce billet de faire l’apologie de la chasse, ou au contraire de défendre des valeurs écolos. Dans certains jeux, on tue des envahisseurs Germains, dans d’autres des Zombis, dans d’autres encore on tue des humains sans raison… Après avoir pisté un animal pendant 2 heures, une fois qu’il est centré dans la lunette du fusil, libre au joueur de tirer ou non…
Car hormis le “tir” final, le plus difficile (et le but du jeu) est de trouver les proies, en tenant compte, comme dans la réalité, du sens du vent, du bruit de ses pas, et même de sa respiration au moment d’appuyer sur la gâchette.
En fait, le jeu, dans sa version gratuite, propose de chasser sur une île (en Amérique), avec un seul type de fusil, et de tirer uniquement sur les cerfs-mulets. Pour manger du faisan ou du cochon sauvage (et bien d’autres espèces), il faut s’abonner pour 3, 6 ou 12 mois, moyennant finances. L’abonnement permet aussi de s’aventurer dans d’autres endroits, avec d’autres armes et munitions.
Je laisse les liens qui pourraient intéresser les chasseurs en herbe et “en moins herbe” :
Le wiki en français (explications de l’installation et du fonctionnement de tous les détails)
On aime ou aime pas… Pour ma part, c’est déjà des heures de balade “champêtre” (virtuelle) à mon actif et un super état d’esprit (réel) à la fin de la “journée de chasse” !
-
On a signé…
Comme convenu, nous nous voyons confier un groupe de 4ème-3ème de l’aumônerie de Combs.
Le petite réunion de rentrée a eu lieu hier soir chez nous. Nous avons donc fait connaissances avec de nouvelles “têtes”. Et nous avons terminé par un délicieux gâteau ! ( Merci Petite Femme )
La prochaine étape est fixée au 30 septembre, jour de la rentrée “officielle” avec inscription des jeunes dans les groupes. On les espère nombreux et motivés !
-
L’Attaque des Chauves-Souris…
Si on me demandait ce qui me ferait très très plaisir pour mes 25 ans, je répondrais sûrement : “voir une chauve-souris, accrochée par les pieds, la tête en bas”…
D’ailleurs, pas plus tard qu’il y a 15 jours, j’ai demandé à Jérôme, mon beau-frère, s’il en avait déjà vu.
Et puis hier, 22h20… Le film Le Petit Nicolas touchait à sa fin, lorsqu’une ombre furtive passa à quelques centimètres de ma tête. Elle tournoya ensuite dans la pénombre du salon, prisonnière de nos murs, ne trouvant plus la fenêtre ouverte.
Surpris, fasciné par cette proximité, un élan de bravoure traversa mon esprit : j’allai chercher Julie qui venait de se coucher…
Désormais à deux face au terrible danger, à la rage sûrement portée par cette Pipistrelle, au risque des morsures mortelles de cette amie des vampires, … je décidai d’allumer la lumière.
Aussi vite que l’ampoule s’éclairait, le pauvre animal effrayé s’échappait par la fenêtre, disparaissant dans la nuit…
-
Quand la technologie progresse…
Notre 106, que nous avons vendue, était équipée d’un autoradio, comme beaucoup de véhicule. Mais il s’agissait d’un autoradio-cassette. Nous avions donc copié tout nos CD en mp3 (dans le cadre de la copie privée) et avions simplement acheté… une cassette “adaptateur”. C’est un outil qui a la forme d’une cassette normale, mais avec une fiche Jack qui dépasse pour pouvoir brancher un lecteur mp3 par exemple. Quelques grammes pour plusieurs gigas de musique.
Or, notre nouvelle voiture (Zoé, pour ceux qui ont suivi) est bien plus avancée technologiquement puisqu’elle est équipée d’un lecteur CD. Ceux qui sont moins avancés, c’est nous, parce que maintenant, c’est des dizaines de CD que nous devons trimballer !
Alors certes, il lit aussi les mp3, mais sur un CD, on n’en met pas autant que sur notre lecteur et puis… un fichier “mp3” ce n’est pas un fichier “CD”…
On a donc dû se procurer une trousse range-CD (parce que des dizaines de boîtes, ça ne tient pas dans la boîte à gant) et puis encore faire des copies parce qu’on ne tient pas à ce que nos originaux finissent grillés dans l’habitacle…
Quand à l’option “prise USB”, qui aurait résolu le dilemme, elle n’était pas dans notre “cahier des charges de la parfaite voiture d’occasion” …
-
Nouvelles recrues
Lorsque nous avions invité Père José chez nous, courant décembre, nous nous étions pré-engagés pour animer un groupe de jeunes à la rentrée prochaine.
La semaine dernière, nous avons fixé un nouveau rendez-vous, en vue d’un repas ensemble.
Nous nous sommes donc rendus au presbytère à 12h, comme convenu. Finalement, le repas n’a pas eu lieu chez lui mais… à la crêperie ! Miam miam !
Nous avons discuté autour de délicieuses galettes. Il a donné à manger à Samuel, qui a été très gentil. Et bien sûr, nous avons été engagés pour nous occuper d’un groupe de 4ème. Des rencontres mensuelles, qui se dérouleront sûrement chez nous. A la première rencontre il y aura sûrement tout le monde. Après avoir monté et descendu les 4 étages… les bambins ne reviendront plus… Mais non, c’est tellement accueillant chez nous qu’ils ne se feront pas “prier” pour revenir…
Petit à petit, nous nous rapprochons de la sainteté, mais surtout… des vacances !!! . Encore 15 jours de labeurs, et à nous le repos et le changement d’air… Ça va faire du bien à tout le monde…
-
La barrière de la langue…
Hier à Gare de Lyon, je me suis fait interpeler par deux fois pour fournir des renseignements.
La première, un couple de personne d’une soixantaine d’année. Première question de leur part, “- Do you speak english ?”. –“Non !…”… Ils me baragouinent alors quelques chose dans lequel je comprends “Gare d’Austerlitz”. De plus ils ont un plan à la main. Fastoche, “- Là, c’est Rue de Bercy, ici sur le plan, ensuite à gauche pont Charles de Gaulles et c’est là, gare d’Austerlitz”. Mission accomplie, et sans anglais !
Ensuite, à 23h30, nouvelle interpellation. C’est un homme qui achète un billet sur une borne libre-service. “- Excuse me, do you speak english ?”. Pas plus que tout à l’heure… “- Non…”. Le mec s’énerve, baragouine aussi quelque chose et retourne à sa machine. S’il n’est pas content, il peut toujours retourner chez lui, ce pseudo Shakespeare… Mais dans un élan de générosité, je me tourne vers lui quand même. Il me fait comprendre (si j’ai bien compris ) qu’il veut le tarif le moins cher entre TGV PRO et TGV loisir. Re-fastoche, c’est TGV loisir. Bien sûr je ne me suis pas hasardé à lui expliquer les différences entre les deux… Et en réfléchissant j’aurais dû lui indiquer l’autre tarif parce que… c’est ma paye qui est au bout, indirectement !…
Tout ça pour dire que d’une part, j’ai une tête à travailler aux Renseignements, et d’autre part, l’anglais n’est peut-être pas la solution pour la communication internationale, puisque j’ai réussi mes 2 missions sans un mot en anglais…
Monsieur Monin, si tu m’entends…
-
Vendue !
Moins de 24 heures après le défilé de mode, Petite 106 est partie…
Elle reste cependant dans le département, et va faire office de seconde voiture au sein d’une famille. Un retour aux sources, en somme, puisque c’était là sa vocation première, en 2000 !
C’est un peu de notre mariage, un peu du voyage de noce, un peu de vacances, un peu de la naissance de Samuel, et surtout un peu de notre quotidien qui s’en va (et un peu tout ce que j’oublie, mais que nous avons vécu avec elle).
A présent, d’autres aventures nous attendent avec Zoé (pas une Renault Zoé, non… Zoé tout court).
Et pour conclure, quelques clichés de paparazzi :