Julie
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Le FRATernel : Jambville 2013 “Porteurs d’espérance”
Le 17 Mai à 18h devant la piscine de Combs-la-Ville, le Frat, commence ! Direction Bussy-Saint-Georges pour l’envoi au Frat par notre évêque. L’ambiance est déjà là !
Les troubadours, c’est nous !
Puis, nous partons à Jambville et arrivons bien tard dans notre campement. Le voici de jour le lendemain matin :
Ça, c’est la mairie de Melun-ville rassemblant les groupes de Combs-la-Ville, Brie-comte-robert, Sénart Sud, Voisenon, Fontainebleau, Nemours et d’autres encore.
En route pour le chapiteau… et sous le chapiteau :
Grand moment avec Philippe Pozzo di Borgo pendant la veillée de louange !
Et pendant la messe de Pentecôte.
Il pleut et notre lieu de vie a été amélioré, on a une bâche et on est tous dessous !
Et les dernières photos pendant l’Action de grâce et l’Envoi. Les Seine et Marnais partent en premier, et oui, on est loin, il faut rentrer !
Bilan de ce premier Frat :
les moins :
- c’est intense ! (On est obligé de louper le début de quelque chose pour prendre le temps d’aller au WC).
- Et c’est dommage qu’il n’y ait pas plus de temps libre pendant ce week-end afin de prendre le temps de se mélanger plus avec les différents groupes et d’aller à l’Horeb
Et les plus :
- c’est Intense !
- les temps de Carrefours et le Grand jeu où les jeunes sont mélangés
- Le temps de Réconciliation
- La rencontre avec les témoins
- les veillées
- Glorious qui a assuré l’ambiance et l’animation sous le chapiteau
- et plein d’autres moments.
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Virée en train
N’ayant pas les enfants à garder, je me suis fait inviter dans la cabine de mon conducteur de train préféré.
En attendant le départ à Corbeil.
En roulant.
Arrêté en gare
Et de nuit, en gare de Juvisy (avec les cookies).
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Retour à l’actualité
J’ai déposé mardi Samuel et Nathanaël chez mes parents pour une semaine de vacances. Ils étaient ravis de retrouver Papy, Mamie et Grand-Mamy, même Nathanaël qui a une tendance à être quelque peu “sauvage”. (Exemple : quand on croise les voisins dans les escaliers chez nous, alors qu’il les voit assez régulièrement, il vient se réfugier dans mes jambes et ne les regarde pas, ou si il est dans les bras, il se cache la tête dans mon cou.)
C’est donc en toute tranquillité, que je suis revenue seule jeudi matin. Et ce soir, je m’absente jusqu’à lundi soir afin d’accompagner les 4°/3° de l’aumônerie de Combs-la-Ville au pèlerinage du Frat à Jambville.
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Et voilà l’travail !
Après avoir vérifié 36 fois les mesures du tissus, je me suis enfin décidée à couper, et à coudre. Et je suis très contente du résultat.
Voici mon premier ouvrage !
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Maman, tu peux être fière de moi…
J’ai rapiécé le jean de mon mari. Tu n’auras plus à le faire désormais (y compris avec mes jeans), je sais faire!
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Le Petit Nid des microbes
Grrr, ils se sont invités chez nous et ont pris possession des habitants du Petit Nid.
Mardi, Jean-Christophe est touché le premier, n’a plus de force et navigue du lit au canapé et du canapé au lit, à tel point qu’on a beaucoup cherché un médecin acceptant de prendre des nouveaux patients… (il n’y était pas allé depuis 2010, à Brunoy, et il n’avait vraiment pas la force ni l’envie d’aller jusque là-bas). Après plus d’une heure d’appel, j’en ai enfin trouvé un à Combs et JC a rendez-vous pour le lendemain.
Mardi soir : coup de fil de Père José. Alix, une paroissienne a un souci avec son assistante maternelle qui a la grippe, elle ne trouve personne pour garder son petit SAMUEL de 11 mois. On se connait déjà un peu, j’accepte, et le mercredi matin, j’accueille donc le petit bonhomme, qui est également malade, tant qu’à faire
! Jean-Christophe est dans le même état que la veille et attend son rendez-vous chez le médecin. L’après-midi, Samuel se réveille de la sieste avec un peu de fièvre, il est chaos et demande à se recoucher à 16h30. Le soir, Nathanaël est touché lui aussi, 38,9°C.
Le verdict du médecin pour Jean-Christophe, ce n’est pas la grippe, c’est un virus + une trachéite.
Jeudi matin, ben on est coulé, on est tous HS. Père José devait venir manger chez nous le midi, mais à 11h, sa secrétaire m’appelle, il est en réunion avec d’autres prêtres et doit annuler. Bizarrement, on est presque soulagé, car on fait peine à voir, c’est devenus Le Petit Nid des Zombies. Du coup, on a 10 000 restes puisqu’on a peu d’appétit, et à 13h, le téléphone est en mode “SILENCE”, on fait tous la sieste ! A 15h30, étonnamment, je me réveille en forme, mais bon, je somnole jusqu’à 16h tout de même. Je reprends ensuite le contrôle, et essaye de soulager et soigner au mieux mes hommes.
Ce matin, Samuel se réveille pour la Halte-Jeux et au dernier moment, ne veut plus y aller, ça ne lui ressemble pas. Nathanaël n’a plus de fièvre mais a un RDV chez le médecin pour l’après-midi, JC est toujours dans un sale état.
L’après-midi, j’emmène les deux p’tits loups consulter, ils ont une rhinopharyngite. Quand nous revenons, Jean-Christophe est debout, prêt pour aller travailler, mais toujours dans un état pitoyable. Je ne sais pas comment il va tenir, il découche cette nuit à Corbeil, et ne rentrera que demain en début de soirée… et moi, je file me coucher, car je ne sais pas à quelle sauce je vais être mangée cette nuit par mes petits.
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Mardi Gras
Voici nos premières bugnes en images :
Ce n’est pas la recette de ma Mamy, mais qu’est-ce qu’elles sont bonnes ! Il n’y en aura plus ce soir !
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Pas si simple que ça.
Je me suis lancée dans la couture de l’ourlet de mon pantalon pendant la sieste des loulous. Verdict : la couture, ce n’est pas inné chez moi !
Premièrement, j’ai tout bien branché la machine à coudre, mais j’ai encore une fois eu du mal à passer le fil dans un truc au dessus de l’aiguille, heureusement, mon mari est venu à ma rescousse.
Deuxièmement, je choisi mon point, et là, ça ne marche pas, l’écran indique un truc pas normal… mon mari vient une nouvelle fois m’apporter son aide. J’avais oublié de baisser le pied de biche.
Je suis ensuite passée aux choses sérieuses. L’ourlet sur la première jambe est de travers, mais bon, en marchant vite, ça ne se verra pas. Quand à l’ourlet de la deuxième jambe, je suis assez contente du résultat. C’est assez droit, pas parfait, mais bon, je suis débutante, alors ça me satisfait.
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J’suis branché, donc j’existe
C’était le thème de la rencontre d’aumônerie des 4°/3° hier soir. Autant dire que ça leur a parlé et qu’ils en avaient des choses à dire sur le sujet.
Alors que la rencontre se déroulait, Justhine m’a demandé : “Mais ils faisaient comment avant, les gens, quand y’avait pas internet, Facebook, etc. ? Ça devait être compliqué pour se donner rendez-vous !” Je lui ai alors répondu que le téléphone fixe, ça existait, qu’il y avait La poste pour s’envoyer des lettres. Et quand j’ai ajouté que quand j’étais au collège, je n’avais ni internet, ni téléphone portable… j’ai lu dans son regard une expression étrange qui m’a fait préciser que je ne suis pas si vieille que ça. On a juste 11 ans d’écart, alors je ne communiquais pas par pigeon voyageur quand même.
Autre moment assez drôle, quand on a parlé des portables et que je leur ai dit que le mien me servait juste pour téléphoner et pour envoyer et recevoir des SMS, que je ne pouvais ni prendre des photos, ni aller sur internet avec. Là, Lenny m’a dit “Ah oui, il est assez épais et a l’écran tout bleu!
“ J’ai du lui montrer mon téléphone pour qu’il voit que non, il n’est pas si épais que ça, et que l’écran est en couleur.
Bref, un petit moment de vieillesse, mais une bonne soirée avec les jeunes assez “branchés”, et le partage du repas à la fin de la réunion qui fut bien bon.
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Cadeau de Noël
Afin de découvrir en douceur mon principal cadeau de Noël
(une machine à coudre), j’ai profité de la sieste des enfants pour faire des lingettes. J’ai donc sacrifié une de nos serviettes de toilette pour les réaliser et je suis assez satisfaite du résultat. Désormais, il va falloir que je me lance dans les ourlets de mes pantalons et ensuite… peut-être dans la création “haute-couture”
. Ça, ce n’est pas gagné !