Santé
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Opération
A mon tour de passer au bloc mais pour essayer de régler mes problèmes de ronflements.
J’avoue avoir un peu stressé la nuit de dimanche à lundi et puis toute la journée avant d’être endormie. Admission prévue à 11h30. Jean-Christophe qui avait pris sa journée m’a emmené jusqu’à l’entrée de la Polyclinique. Comme il fallait un masque, il est reparti. En avance, l’admission au guichet, la salle d’attente en ambulatoire, l’appel de l’infirmière et l’envoi dans un box pour se mettre en tenue s’est fait très rapidement.
Et puis à 14h, c’était mon tour. J’ai été installée sur un matelas chauffant et endormie pour une endoscopie du sommeil, une turbinoplastie et une septoplastie. A 15h55, début du réveil et à 16h30, j’étais dans ma chambre. J’ai bien des photos, mais vraiment avec une sale tête, alors je les garde pour moi. Par contre je vous partage ma collation.
C’est à ce moment-là, que j’ai appris qu’il fallait que je mange froid pendant un à deux jours.
L’anesthésiste, la chirurgienne et l’infirmère sont passées me voir à tour de rôle, Jean-Christophe est revenu me chercher et nous avons quitté la Polyclinique à 18h55.
Voilà, tout s’est bien passé, je n’ai pas trop mal par rapport à ce que j’appréhendais et j’ai une consultation post-opératoire le 29 Janvier.
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Accident de Tchoukball
Hier, après 15 minutes d’entraînement, Simon m’a appelé pour me dire que Nathanaël avait bien mal au coude et qu’il ne pourrait pas finir l’entraînement. Je suis donc allée le chercher.
Un peu de glace, une écharpe de l’ASNL, un pissou, deux livres et nous sommes partis aux Urgences.
Très rapidement, nous sommes appelés et envoyés à la radio. De retour en salle d’attente, nous sortons nos livres.
Mais nous sommes à nouveau appelés et Nathanaël est installé en salle de plâtre.
Et puis nous attendons pendant 40 minutes que le médecin regarde les radiographies et viennent nous voir.
Pas de fracture visible à la radio, mais un gros épanchement de liquide dans le coude. Deux causes possibles : soit une mini fracture qui ne se voit pas, soit le corps qui réagit tout simplement au choc et à la douleur. Il a donc un pansement compressif pendant 3 jours, le bras en écharpe pendant 10 jours mais il faut qu’il essaye de bouger le plus souvent possible son bras pour retrouver au plus vite sa mobilité complète.
On voit le médecin traitant dans 10 jours pour faire le point.
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Desinclusion d’une dent
Accompagné de son papa, Samuel a enchaîné les rendez-vous vendredi après-midi et lundi chez le dentiste et l’orthodontiste. Au final, la dentiste est allé cherché une dent sous la gencive, a collé une chaînette et il retourne mercredi prochain chez l’orthodontiste pour qu’elle accroche tout ceci à l’appareil dentaire afin que sa dent soit tractée.
Il a eu bien mal les premiers jours, mais ça va mieux.
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Hernie inguinale
Hier, Papy de Vannes aurait eu 100 ans et pour l’occasion, nous nous sommes levés tôt. Non, en vrai, si nous nous sommes levés tôt, c’était pour nous rendre à la Polyclinique de Franche-Comté.
Jean-Christophe avait rendez-vous à 6h15 pour son admission en chirurgie ambulatoire.
Ensuite, il a été appelé, et je suis rentrée à la maison.
Un peu avant 10h, il était opéré et de retour dans sa chambre.
Il a pu prendre son petit déjeuner au lit.
Ensuite, repos, petit malaise mais l’infirmière est arrivée au bon moment pour prendre soin de lui, et encore du repos avant la visite du docteur et sa sortie à 16h45.
Tout va bien malgré la douleur, mais le Doliprane va être son ami pendant quelques temps.
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Après 1 semaine de confinement…
Voilà 6 jours que les mesures de confinement ont été adoptées, il est temps de donner quelques nouvelles.
En début de semaine, seuls les enfants ont vu leur quotidien perturbé, puisque Julie a poursuivi son activité d’assistante maternelle avec ses 2 petits habituels, et moi, j’ai travaillé normalement.
Situation assez singulière pour nos garçons : essayer de se faire à l’idée qu’ils étaient à la maison mais qu’il y avait du travail scolaire à effectuer. Et oui, plus que des devoirs de vacances, de véritables cours et leçons à apprendre, des pages de fichiers, des dictées, du calcul mental, bref, tout se qui fait les ingrédients d’une journée d’école normale. Pour nous aussi (enfin, c’est surtout Julie qui a géré ! ), récupération des devoirs, des exercices, échange de mails avec les enseignants, découvertes des différentes plateformes numériques, tout un programme ! Et encore, nous n’avons que 2 garçons. Une grosse pensée pour les familles nombreuses…
Mercredi, les choses ont évolué. Les employeurs de Julie, télétravailleurs, ont décidé de garder leurs enfants pour la fin de la semaine. De mon côté, le lendemain, le trafic ferroviaire étant très allégé, je me suis également retrouvé à la maison. Quatre jours de « vacances » en famille, n’était-ce pas l’occasion de faire un grand week-end tranquille loin de tout ? Eh bien non, en fait… Dommage… Donc nous sommes restés à Combs, profitant du soleil dans le jardin, nous occupant du gazon, de la préparation du potager, etc… Les garçons aussi ont passé une partie de l’après-midi dehors (une sorte de récréation en somme). Bon, nous n’avons pas non plus un terrain de football, et les activités de dépense physique leur sont plutôt limitées. Mais il aurait pu pleuvoir ! Julie en a profité pour faire du vélo d’appartement, et moi j’ai ressorti le home trainer – et le vélo par la même occasion- pour essayer de retrouver des muscles que je croyais avoir perdu.
Vendredi, à peu près le même topo. On a ravitaillé en épicerie et en produits frais pour tenir une large semaine. Les devoirs continuent. Ça prend du temps. En fait, le plus compliqué, notamment avec Samuel, c’est qu’il est hermétique à tout ce qui vient de nous. Alors que les livres et l’institutrice sont ses seules sources « sûres» de connaissance, lui faire cours nous-même tourne souvent au clash. Expliquer une leçon, on sait à peu près faire. Amener un cours sur la première guerre mondiale, c’est un autre exercice pédagogique… Et puis c’est sans compter ses sautes d’humeur chroniques… Mais ont survit ! Une seconde grosse pensée pour les familles nombreuses…
Samedi, il a refait froid. Du coup, le jardin n’était plus aussi accueillant que les jours précédents. Julie et les titis sont allés se dégourdir les jambes… jusqu’à la boulangerie. Le parc à côté de chez nous est fermé, il nous faut donc faire le grand tour ! Tant mieux, ça fait marcher ! L’après-midi, nous sommes restés bien confinés entre nos murs. En y réfléchissant, c’est presque une vie de prisonnier : cellule, brève sortie, repas, cellule, repas, dodo… Mais en famille. C’est toujours ça…
Dimanche, jour où j’écris, le soleil est timide, il n’y a pas de devoirs, alors c’est ménage pour les uns, Lego pour les autres… C’est quand on en est privé qu’on se rend compte de nos libertés habituelles. Enfiler une paire de basket et faire un tour. Aller chercher du pain, aller acheter une étagère, aller chez le coiffeur…
L’organisation de la semaine qui arrive est encore floue. Julie travaillera-t-elle ? Aura-t-on besoin de moi en tête d’un train ? On prendra les informations au jour le jour.
A très vite !
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Mal des transports
Jeudi, j’ai pris le TGV avec mes fils pour aller chez mes parents. Avant de quitter la maison, Samuel me dit : « Maman, je dois prendre le médicament, je suis malade en train. » C’était l’heure de partir, alors j’ai dit : « Tant pis pour le médicament, ça ira. »
Au final, après 1h15, Samuel me dit : « Je peux aller aux toilettes, j’ai envie de vomir. » Le voyage durant 3h, je me dis : « Pourquoi ne lui ai- je pas donné du Nausicalm? »
L’épisode des toilettes a recommencé 10 minutes après. Je suis alors allée au Bar pour demander un sac en papier pour si mon bonhomme n’avait pas le temps d’arriver aux WC.
Le gars du bar était bien rôdé puisqu’il m’a filé deux sacs en papier, des serviettes, et deux gobelets (un rempli d’eau pour qu’il se rince la bouche et un vide pour si il souhaite recracher)
Au final, Samuel a pris l’air à Dijon, Dole et Mouchard, il a gardé son sac devant lui tout au long du trajet et rien est sorti, ouf !
Il a pu manger son sandwich une fois arrivé chez Papy et Mamie.
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Catastrophes en série
Avec la tempête Eléanore, des tuiles du toit de mes parents se sont envolées, ensuite, le Doubs a débordé. Heureusement, pas de dégâts dans la partie habitable, mes parents ont hébergé leur voisin de 82 ans. Voici quelques photos :
La rue devant chez eux.
Et puis la dernière catastrophe est arrivée hier. Mon père est tombé d’une échelle et a chuté de 3 mètres. La première vertèbre lombaire est fracturée mais la moelle épinière n’est pas touchée. Il va porter un corset pendant au moins 3 mois.
Après tout ceci en seulement 8 jours, on va vous souhaiter que le reste de cette année soit bien meilleure que ces premiers jours de 2018.
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Malades…
… pour les vacances .
Nathanaël a ouvert le bal des malades le jeudi. Il a dormi toute la fin d’après-midi et tout le lendemain. J’ai suivi le vendredi matin avec une gastro éclair, et JC a suivi la nuit avec les mêmes symptômes. Le samedi, on partait en Auvergne avec une petite forme… seul Samuel tenait le coup. Nous sommes arrivés à bon port, mais avons mis quelques jours tout de même pour récupérer toutes nos forces.
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Bilan de santé
La semaine écoulée a été riche en rebondissement. Dimanche dernier, Samuel s’est coincé le doigt de pied sous la porte des WC, ce qui a provoqué une vive douleur et du sang sous l’ongle.
Le lendemain, après un appel au pédiatre, celui-ci m’a dit qu’à part désinfecter, il n’y avait rien à faire de plus, qu’il perdrait son ongle et qu’un autre repousserait.
Mercredi, le sang s’est écoulé naturellement.
Vendredi, il avait son rappel de vaccin à faire, j’en ai profité pour montrer l’ongle de Samuel au médecin qui a constaté que le sang était parti et que c’était beau, il n’allait même pas perdre son ongle. Autre bonne nouvelle, il pourra faire le parcours « pieds-nus » lors de la sortie scolaire la semaine prochaine.
Pour ne pas être en reste, Nathanaël est tombé mercredi dernier dans le jardin… le problème, il n’arrivait plus à bouger le bras et hurlait très fort. Super Papa a pensé à mettre son bras en écharpe et nous avons pris la direction des Urgences. Au fur et à mesure que nous nous rapprochions de l’hôpital, Nathanaël bougeait mieux son bras et se calmait.
Au final, après examen, rien de cassé, rien de luxé, le tendon a sûrement eu un petit choc mais ça se remettra tout seul. A l’hôpital, on nous a dit qu’on avait bien fait de venir.
Nous avons eu de la chance également, puisque nous sommes restés 40 minutes aux Urgences. 😉
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2 ans dans le vomi
Hier, notre petit bonhomme a eu 2 ans. Son Papa partant travailler à 9h30 et ne rentrant qu’aujourd’hui, il a donc ouvert ses cadeaux après le petit déjeuner.
Pour ce qui est du gâteau… hier, la gastro a fait son apparition et Nathanaël n’était plus en état de manger quoi que ce soit. Heureusement, il a soufflé ses bougies vendredi aussi.