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Dimanche en famille
Entendons nous bien, par “famille”, il faut comprendre juste la maman, le papa et le fiston. Un dimanche classique en somme. Après avoir claironné à 7h30 et levé à 8h00, la matinée est passé rapidement pour notre ornithorynque puisqu’il est retourné au lit vers 10h30. Maman est donc restée auprès de lui, papa est allé voir le Père José…
Après un bon repas mitonné par
William Saurinnotre Julie chérie, nous sommes partis en ballade dans notre bourgade. Le ciel était nuageux, bien plus agréable pour se promener que si le soleil avait brillé…En rentrant Samuel est allé se coucher (vous devez penser qu’il dort tout le temps…), ses parents ont regardé la télé, histoire de se détendre après l’éprouvante semaine passée, et en prévision de l’éprouvante semaine qui arrive…
Samuel s’est réveillé, a goûté et est passé sous la tondeuse.
Ensuite ? Papa a fait des billets sur le blog en écoutant Jean-Claude Giannada sur Deezer pendant que maman a préparé une liste de course et que Samuel s’est exercé à la “marche autonome”. Ensuite ? Désolé, je ne prédis pas encore l’avenir…
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“Venez comme vous êtes”…
Ce slogan d’une enseigne américaine de restauration rapide n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd… En tout cas, Samuel l’a bien compris, pas besoin de changer de caractère pour se faire accepter. Rien de meilleur qu’une bonne colère pour se faire comprendre…
Sauf que… on n’est pas chez Mc Do ici ! Alors il faut bien qu’il comprenne que s’il est contrarié, c’est qu’il y a une bonne raison ! Et tant pis s’il rentre dans un état second, mais papa et maman ne cèderont pas ! Et oui, ça peut durer longtemps, très longtemps, ça doit même faire très mal à la gorge (pour lui), mais ce n’est pas avec des colères qu’on arrive à ses fins… Retiens ça, Coco !
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Les métiers qui rapportent…
Pour commencer ce « Hit Jobs », je vais parler d’un métier bien connu par tout les possesseurs de 4 roues : Garagiste !Et oui, j’ai dû me résoudre à passer chez Peugeot aujourd’hui pour réparer mon lave-glace en grève. Une petite panne anodine ? 133 euros ! (et 06 centimes…).
Et en prime, une proposition de vidange (trop plein d’huile suite à la dernière de janvier effectuée… chez Peugeot), une proposition de changement de balais d’essui-glace, une fuite d’huile décelée, des disques de freins rayés et une roue de secours « moyenne ». Au passage, je note tout de même une attitude et un accueil très « pro » (aucune ironie, c’est sincère).
Et la précision qui tue : je suis arrivé avec un réservoire de lave-vitre plein, je repart avec le réservoire au même niveau, et on me facture 2,50 euros de lave-vitre. Sachant que chez Cora, c’est 4,95 euros les 5 litres. Ca fait mal…
Alors écoutez bien petits écoliers, ou futurs petits écoliers, si l’avenir vous parait triste et sombre, sachez qu’il y a une alternative à l’Euromillion :
- Déjà, bien travailler à l’école.
- Ensuite, commencer à démonter les carburateurs des Logans, les filtres à air et à huile des Clio, changer les plaquettes et les disques des 307, refaire l’échappement des Panda, etc…
- Continuer les études en s’orientant vers une filière technique, tout en s’interressant un minimum au marketing automobile.
- Une fois les diplômes en poche, se faire embaucher par un petit garagiste, pour « prendre le pli ».
- Après avoir économisé un peu d’argent, ouvrir son propre garage, sous une grande enseigne, et dévaliser le client !
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Boucle du Château
Pour ma sortie cycliste hebdomadaire, j’ai dérogé à la règle du samedi pour rouler… le vendredi ! On ne choisit pas ses jours de repos… Dans la mesure du possible, je ne le referai pas, tant la circulation y était dense et pénible. De plus, près de la moitié du parcours s’est effectué sur des routes assez dégradées…
Outre ces 2 désagréments, la boucle de 53 km m’a fait découvrir de nouveaux secteurs Seine-et-Marnais, au Nord-Est de Melun, ainsi que le château de Vaux-le-Vicomte où se sont déroulées les festivités du mariage de Tony Parker et Eva Longoria (ce n’est donc pas un exemple à suivre, ni pour le porte-monnaie, ni pour la durée de l’union…).
Un petit tour agréable, en somme, mais pas vraiment transcendant, du moins aujourd’hui… Nos futurs impôts permettront surement de réfectionner le réseau routier…
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Dans la famille Leclerc, je demande l’ « E. »
Ce matin, le réveil a sonné énergiquement à 1h28 pour m’inviter gentiment à me rendre au travail… Face à son insistance, j’ai renoncé au conflit et m’y suis rendu…
Mais qui dit réveil très matinal, dit prise de service très matinale, dit fin de service assez tôt pour… faire des courses. Ben oui, on est comme tout le monde, on fait des courses… 🙂L’enseigne Leclerc étant sur ma route, et étant prétenduement « moins cher », c’est là que j’ai « taquiné le Caddie ».
Hier, en bon parents prévoyants, Julie et moi avons épluché le prospectus de promos sur Internet à la recherche de bonnes affaires. Et nous en avons trouvé !
Après près d’une heure de remplissage de chariot, de slalom entre rayons « vides », employés « rayonneurs », et cartons en tout genre, je suis enfin arrivé en caisse. Derrière 3 chariots pleins. Comme d’habitude dans ce magasin…
J’ai gentiment patienté, j’ai payé, vérifié ma liste, pour m’aperçevoir… que la réduc sur les desserts était passée à la trappe !
Je me suis alors rendu à l’accueil, j’ai montré mon ticket de caisse et là, j’ai eu droit à la réplique qui tue :
– « Il faut que je vois les produits ! ».
La confiance règne !
– « Ben c’est comme ça, je dois les voir ! »
Ben c’est pas possible conn…… ! Je suis maso, un vrai malade, je les ai payé puisqu’ils sont sur la note, mais je ne les ai pas pris, pourquoi faire ?
Bref, j’ai plongé la tête la première dans mon chariot remplit n’importe comment pour trouver mes desserts (ça va ils étaient relativement au dessus…).– « Je vais vous rembourser… »
J’éspère bien !
La pub dit : « Leclerc Numéro 1 des moins chers…», il faudrait préciser « … numéro 1 des Neuneus »…
On aime bien Leclerc en général, malgré tous ces petits désagréments… Il en est de même avec « ma » Leclerc, mais les jours comme aujourd’hui, je lui préfère « notre » nom de famille… 😉
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Samedi sportif
Depuis plus de 4 semaines, il n’est pas tombé la moindre goutte de pluie sur Combs-la-Ville. La météo a beau annoncer des orages, des averses et autres perturbations, rien n’y fait, il fait toujours aussi sec…Hier, cependant, malgré une bonne motivation, j’ai dû me résigner à rester chez nous, et à attendre la pluie annoncée… Les prévisions étaient formelles, le ciel était bas, pourtant… le bitume est resté sec !Tant pis, ce n’est que ce matin que j’ai abandonné femme et enfant au bénéfice de mon “plaisir solitaire”.Un périple de 75 km tout de même (soit 10 de plus que prévu), toujours à cause de mon sens de l’orientation un peu défaillant par moment (et surtout un itinéraire pas assez préparé…).Après 5 km de "ville" et 7 km de route “de liaison”, je suis passé au Sud de l’aérodrome de Melun-Villaroche, puis me suis évadé, encore une fois, dans la Brie, sur des routes inconnues. Le passage par Crisenoy et Champdeuil (malgré une fausse route) m’a permis d’éviter la longue ligne droite de la N36.
C’est en revenant, à Ozouer-le-Voulgis, que j’ai compris que les 22 derniers kilomètres seraient… abominables. Et ils l’ont été ! En effet, mes jambes ont lâchés, et malgré mes prises régulières de sucres rapides et une bonne hydratation, il m’a fallu près d’une heure pour rallier la maison. J’aurais pu raccourcir le retour, mais j’ai voulu rester fidèle à ce que j’avais prévu…
En arrivant dans Le Nid, après une bonne douche bienfaisante, j’ai savouré un bon steak et des haricots verts, trop bons, que ma petite femme avait mijoté… C’est peut-être ça le meilleur dans le sport : se restaurer !
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Boucle de l’Orée de la Brie
Pour la deuxième sortie, j’ai “visité” quelques villages de l’Orée de la Brie. Un léger vent de Nord-Ouest démotivant au départ mais bénéfique par la suite m’a permis de faire le circuit en 2h10.
Je me suis égaré au Nord, d’où l’excroissance ridicule et une "rallonge" de 8 km…
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Système D et première sortie…
Achetée il y a quelques année, notre carte IGN 1:25000 (2415OT) n’est plus très adaptée pour nous aujourd’hui. En effet, Combs est située tout à l’Est de la carte, ne laissant que quelques kilomètre avant… la suivante. Et la suivante (2415E) est particulièrement petite, ce qui signifie qu’il faut aussi celle de dessus et celle de dessous… Bref, ce n’est pas très économique, et surtout pas très pratique.Après avoir cherché pendant plusieurs jours, j’ai trouvé LA solution : éditer par Internet une carte au format GPX, format ouvert de positionnement GPS.Sur le site http://www.calculitineraires.fr/ , j’édite mon parcours en posant des points sur la carte. Ce parcours suit automatiquement les axes routiers (de Google Maps). Ensuite j’exporte le résultat au format GPX, exploitable par tout système de GPS, et je l’insère sur le site http://www.visugpx.com/ qui me fournit la simulation ci-dessous, ainsi que le code pour l’insérer sur le blog , affichable aussi avec les Cartes IGN. CQFD !En positionnant le curseur de la souris sur la courbe (avec la carte Google, pas IGN), on peut suivre la dénivélation directement sur le parcours. En cliquant sur “Centrer : Oui” sous la courbe, on peut bloquer la carte.
Y a plus qu’à pédaler…
PS : c’est bien sûr valable pour les randonnées à pied !
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Une photo peut en cacher une autre
Comme vous l’avez lu précédemment, la semaine dernière a été l’occasion de faire quelques clichés familiaux. En les observant plus en détail, Samuel s’est révélé être un agent secret en mission chez nous…
Observons cette photo “banale” :
Puis agrandissons son œil droit (à gauche sur la photo) :
On y distingue parfaitement la main du Coco, sa jambe sur le canapé, le photographe accoudé à ce canapé, mais aussi, la bibliothèque, le meuble TV avec ce qu’il y a dessus, la porte du couloir, le cadre de Béa, la couleur des murs, les moulures dans les angles du plafond, etc… Heureusement qu’on ne se ballade pas à moitié dénudé chez nous !
Samuelovitch, tu es démasqué !
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Moment d’égarement…
Lorsque je suis rentré de notre week-end Beaujolais, lundi dernier, je n’étais en réalité pas tout à fait seul…
Après l’avoir bichonné pendant 2 jours, c’est hier que je me suis lancé. Un moment d’extase, enivrant,
jouissif, au milieu des champs de colza, des odeurs d’arbres en fleurs, et de la douceur printanière…Julie ne m’a rien dit, elle m’a laissé y aller, acceptant de rester seule avec Samuel, pendant que j’avalais les kilomètres à la conquête des routes de Seine-et-Marne…
Effectivement, depuis septembre 2009, mon fidèle vélo de course était en vacances chez mes parents, et, malgré 2 sorties en juillet 2010… je n’en avais plus fait. Qu’il semble loin le temps où j’allais voir ma chérie de l’époque en 2 roues… Qu’il semble loin le jour où j’avais “peleriné” jusqu’à Taizé… D’autant qu’à Brunoy, il fallait déjà parcourir une bonne dizaine de kilomètres “en ville” avant de trouver la campagne, ce qui était pour moi relativement démotivant. Ici à Combs-la-Ville, ce problème est largement résolu puisque nous sommes aux portes des champs en tout genre…
J’ai donc parcouru tranquillement mes 45 premiers kilomètres de l’année. Je n’ai plus qu’à espérer qu’avec l’entrainement, mes performances (non, pas celles là Julie…) iront croîssant…
J’ai également projeté l’idée de faire un cercle autour de Combs sur une carte routière, et de photographier tous les clochers qui s’y trouveraient (en principe, il y a un clocher dans chaque ville et village…). Il ne reste plus qu’à déterminer la taille du cercle…
Enfin, pour preuve de ma motivation, deux photos avant/après le grand nettoyage (nettoyage du cadre et des jantes, et le plus pénible : dégraissage/regraissage de la transmission) :