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Les “perroquets”, la suite…
Après enquête, il s’avère que les perroquets surpris hier sur notre arbre sont en réalité des Perruches à Collier. Des oiseaux perdus ? Evadés ? Des aventuriers ? Des “Globe Flyer” ?
Jean Pierre Moussus sur le site http://biologie.ens-lyon.fr/ nous apporte un élément de réponse très intéressant :
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Non, ces photographies n’ont pas été réalisées dans de lointaines contrées exotiques. Elles ne proviennent pas non plus d’un parc zoologique où la rencontre de telles espèces est fréquente. Ces clichés ont été pris en région Ile de France. Le Psittacidé que l’on y voit est une perruche, la Perruche à collier (Psittacula krameri).
Depuis maintenant près de vingt ans, et la probable ouverture d’un container sur le site aéroportuaire d’Orly contenant quelques dizaines d’oiseaux, cette espèce s’est bien établie dans la région et forme désormais plusieurs populations dites férales, c’est-à-dire à l’état sauvage mais issue d’une introduction. Le suivi particulier dont fait l’objet cette espèce montre que ses effectifs augmentent de façon exponentielle, ce qui correspond à une croissance non limitée par la compétition (intraspécifique ou interspécifique). La Perruche à collier est donc qualifiée d’espèce invasive et ses effectifs se chiffrent aujourd’hui entre 1000 et 1500 individus en Ile de France.
Cette croissance suscite l’inquiétude chez certains ornithologues dans la mesure où cette espèce adopte un mode de nidification cavernicole. L’espèce se reproduit très bien en ville (les couvées comportent de 2 à 6 œufs et l’espérance de vie de l’oiseau en captivité est d’environ 30 ans). Or, en milieu urbain, le nombre de cavités peut être un facteur limitant à la reproduction de nombreuses espèces (pics, étourneaux, sitelles…). Elle inquiète également les gestionnaires des espaces verts dans lesquels elle s’implante par les dégâts qu’elle peut causer aux arbres dont elle consomme les fruits (notamment en hiver). Dans son aire de distribution originelle, elle est en effet considérée comme un fléau pour les cultures céréalières. Les études menées par le Muséum National d’Histoire Naturelle sur le sujet en 2007 et 2008 n’ont pourtant pas permis de déceler un effet sur les populations d’espèces autochtones.
La Perruche à collier a pour origine le Sud asiatique ainsi que l’Afrique sub-saharienne dont les climats diffèrent sensiblement de celui de la région parisienne ce qui pose la question de la survie de ces oiseaux essentiellement granivores et frugivores en hiver. Les usagers des parcs et jardins de la région se sont en majorité bien accommodés de la présence de la Perruche à collier et nombreux sont ceux qui viennent nourrir les oiseaux notamment en période hivernale quand ceux-ci sont moins farouches.
Que représentent ces nourrissages dans la survie des oiseaux pendant la mauvaise saison ? Quelle sera leur capacité à proliférer hors de l’agglomération dans les années ou les décennies qui viennent ? Quelles relations cette espèce entretiendra-t-elle avec les autres espèces d’oiseaux autochtones ? Quelle valeur attribuer à une telle espèce, honnie par les défenseurs d’une nature la plus « autochtone » possible, choyée par une majorité de citadins qui admirent ses couleurs et s’étonnent de ses comportements ? Des éléments de réponse à ces questions communes à bien des espèces exotiques invasives pourraient nous parvenir de pays voisins puisque des populations férales de Psittacidés sont présentes dans de nombreuses grandes agglomérations européennes comme Londres (près de 50 000 individus), Rome, Bruxelles (10 000 individus environ), Barcelone…Le débat est donc ouvert et renvoie plus généralement à la conception de la Nature par l’Homme.
Jean-Pierre Moussus, août 2011. “
Cependant, l’histoire ne dit pas si ces deux perruches savaient parler…
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Blog parallèle…
Suite à l’ambitieux projet cycliste que je prépare, j’ai créé un “blog parallèle” afin de ne pas trop polluer celui-ci. En effet, une telle aventure ne concerne pas vraiment “Le Petit Nid”, mais plutôt “Papa Cigogne” uniquement… Donc certaines personnes ravies de nous suivre régulièrement se ficheront certainement de savoir si j’ai bien mangé mes 5 fruits et légumes, si la route va monter ou descendre, etc…
Pour les curieux par contre, les derniers articles sont ajoutés sur ce blog, dans la partie droite !
Voici l’adresse : http://projet-tamie-2014.lepetitnid.net/
A très vite !
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“Echange kilos en trop contre petite virée à vélo”
L’école à Lyon est officiellement terminée. A présent, le reste de la formation s’effectuera à Paris. Après 5 mois d’efforts, de travail, mais aussi de franches rigolades, le constat est sans appel : j’ai pris entre 7 et 8 kilos. Avec les crêperies, les pizzerias, les “Indiens”, les “Thaï” à volonté, la cantine, les petits gâteaux, etc… , j’ai pris de l’embonpoint …
En ajoutant à tout cela l’absence totale d’activité physique depuis le mois de septembre, il va sans dire que je suis passé “du côté obscur”…
Mais cette période étant passée, il est temps de se tourner vers l’avenir, et la nouvelle année pointant le bout de son nez, pourquoi ne pas choisir une bonne résolution en rapport avec ma santé ?
C’est pourquoi je projette, dans la mesure où je réussis mon examen (parce que dans le cas contraire, je serai trop triste), de relier Combs-la-Ville à Plancherine… Pour entretenir le suspens, je vous laisse chercher ce qu’il y a à Plancherine, et faire le lien avec moi, avec Julie et avec…“Nous” !
A première vue, il n’y a “que” 525 km, soit environ 21 heures d’effort à 25 km/h. Ah oui, il y a de la montagne aussi 😉
Autant dire qu’il est urgent d’éliminer les pizzas, les frites, les glaces de chez Haagen Dazs (une expérience inoubliable d’ailleurs) qui resteraient collées quelque part dans mes artères, pour privilégier une alimentation équilibrée et… un entrainement intensif !
La balade se déroulerait sur 3 jours, entre juin et septembre. Delgado, si tu passes par le blog, t’es invité 🙂 . Les autres aussi :-D…
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Retour sur l’ascension du Col de l’Iseran
Voilà presque 3 semaines que mon vélo m’a emmené au Col de l’Iseran. Maintenant que je suis rentré à Combs, il est temps de revenir en détail sur cette virée.
Le parcours ne m’était pas totalement inconnu puisque je l’avais déjà fait maintes fois en voiture, et en fractionné. Les grandes inconnues restaient la sensation sur le vélo en montagne, l’endurance, le souffle et “le jus” pour aller au bout, tout en grimpette !
Km 0 à 16 (départ à 7h30)
Dès le départ dans Modane, la route se met à monter. Difficile dès lors d’évaluer l’effort à fournir pour ne pas “se griller” et s’échauffer convenablement tout en “forçant” pour avancer… C’est donc à très faible allure en utilisant un tout petit braquet que je me lance. Tout en respectant les règles d’hydratation régulières (2 gorgées tous les quarts d’heure en alternant eau et “breuvage magique”), les 45 premières minutes me paraissent très très longues. Pendant cette période, je me demande si je pourrai rejoindre, si ce n’est le Col, au moins le 15ème kilomètre 🙁 …
Je sais qu’après le pont du Nant Sainte Anne, je retrouverai une route relativement plane, mais celui-ci tarde à se montrer. C’est donc un peu désorienté que j’arrive à “la barrière de l’Esseillon”. Ayant réussi à franchir les 5 forts, la route se met à descendre, l’occasion de faire remonter la vitesse moyenne jusque là ridicule, et surtout d’inaugurer mon nouveau coupe-vent acheté pour l’occasion.
La partie reposante étant achevé, le profile redevient ascendant, mais le paysage, jusqu’alors rocheux et escarpé, devient agréable à regarder. On s’y sent bien, le calme qui s’en dégage et la fraîcheur de l’air produisent une sensation de sérénité faisant oublier les kilomètres qui défilent lentement et l’altitude qui augmente.
J’arrive au kilomètre 16, il est 9h environ. C’est le moment de faire une pause. J’ai parcouru un quart de la montée, soit un huitième du parcours total. Une pâte de fruit, une barre de céréale, un pipi et 5 minutes plus tard, j’entame la suite de la rando…
Km 16 à 32 (départ à 9h00)
Ne sachant toujours pas si l’échauffement est terminé 😉 c’est toujours à vitesse réduite que j’évolue. En réalité, je ne veux surtout pas forcer et puiser dans mes ressources pour économiser un maximum et optimiser mes chances de rejoindre le col. Ce n’est pas une course !
J’entre tranquillement dans Termignon, tout en sachant qu’un raidillon important m’attend à la sortie. Un bon aperçu miniature de ce qui m’attend ! Le plus décourageant, ce sont les autres cyclistes (tous plus vieux que moi) qui me dépassent tels des avions de chasse. Je franchis tranquillement cette difficulté, puis, arrivé en haut, retire mon coupe-vent. En effet, le soleil jusque là caché par la montagne, se découvre enfin et me réchauffe de ses rayons…
Une petite descente permet de
faire le point sur ma vieà mes gambettes de se reposer rapidement et comme prévu, j’entre dans Lanslebourg. L’occasion de goûter au gel énergétique, sensé me procurer un coup de fouet d’une bonne demi-heure. Les secondes, les minutes, et les kilomètres défilent, et je me retrouve sur la pente du Col de la Madeleine. Je n’éprouve aucune difficulté particulière, sauf psychologiquement lorsqu’un papy me dépasse, lentement mais sûrement…Arrivé au col de la Madeleine, après m’être alimenté et auto-congratulé, mon moral est au plus haut. En effet, si je n’ai parcouru “que” la moitié de la montée, je sais que le troisième quart est relativement plat et que mes ressources musculaires et physiologiques sont à peine entamées. Certain d’arriver à Bonneval sur Arc, je suis par la même occasion certain de commencer l’ascension du Col de l’Iseran.
Km 32 à 44 (départ à 10h30)
La route descend puis remonte très légèrement, le vent est nul, et une bonne odeur de fumier m’accompagne quand je pénètre dans Bessans. En ce dimanche, le village est particulièrement “vide”, et un peu tristounet. Les 6 kilomètres suivants, jusqu’à Bonneval se déroulent sans encombre. La montagne est magnifique et les vaches dans les prés, à défaut de regarder les trains, regardent les voitures et les cyclistes…
A 11h10, je m’arrête au pied du Col, à Bonneval, pour un “dernier” ravitaillement. Les gourdes du vélo sont quasi vides, et je prépare alors la poche à eau, plus pratique pour boire durant l’effort.
Km 44 à 58 (départ à 11h15)
L’ “économie d’énergie” réalisée jusqu’ici est payante. Les 4 premiers kilomètres de forte rampe se passent tranquillement. Les aliments énergétiques absorbés assurent leur boulot de “super gasoil”. La route s’élève au dessus de la vallée, et le compteur peine à dépasser les 10 km/h. S’en suit un faux plat, puis encore de la montée. Une montée qui se fait sentir, tant dans les jambes que dans la tête. Au 7ème kilomètre, un arrêt non prévu s’impose : ça fait déjà 1 heure que j’ai quitté Bonneval, et il est temps de reprendre des sucres rapides. La côte est à plus de 10%, et la vitesse stagne à 7 km/h. Le vélo semble peser 25 kilos et je regrette mes excès alimentaires des semaines précédentes.
J’arrive sur le dernier palier, à 3% quand même, je franchis le pont de la neige et entame les 3 derniers kilomètres, à 10%. Les bornes qui ponctuent les kilomètres semblent avancer en même temps que moi. A deux kilomètres du sommet, je m’arrête, faute de “jus”, reprend une dernière barre de céréales puis repars… pour m’arrêter à nouveau 300 m plus loin. Dans un dernier élan de courage, je repars à nouveau, à 3 km/h (oui, en deçà de cette vitesse je serais tombé, et oui, j’aurais été plus vite à pied). La dernière épingle arrive enfin. Je sens la crampe venir chatouiller ma jambe droite, et c’est alors ma jambe gauche qui fait le dernier effort pour arriver au sommet. Il est 13h 10 !
Il y a du monde, des cyclistes et des motards (car je ne l’ai pas précisé, mais de nombreuses motos m’ont dépassé tout au long de mon périple).
Mon ventre est tout barbouillé, sans doute à cause de l’effort, mais aussi à cause des aliments ingurgités. La salade de pâtes passe plutôt mal, et je ne m’attarde pas très longtemps, 15 minutes tout au plus.
Retour (départ à 13h25)
Très vite, le vélo accélère, l’occasion de tester les freins à haute vitesse. En combinant l’avant et l’arrière, ça semble passer… 🙂
Le coupe-vent remplit sa fonction, et le vent siffle dans mes oreilles. Le compteur affiche 40, 50, 60 km/h. C’est grisant, la route défile sans je puisse la voir. Je dépasse à mon tour des vélos qui n’avancent pas, et négocie du mieux possibles les virages serrés, ceux qui m’ont tant fait souffrir en montant et qui paraissent à présent bien anecdotiques. Le compteur affiche jusqu’à 69,3 km/h…
J’arrive au pied du col, à Bonneval, il est 13h45. Deux heures de montée pour 20 minutes de descente…
La suite du retour est plutôt agréable, les descentes rapides, et je peux enfin pédaler à bon rythme, ayant retrouvé quelques forces. Le vent est tantôt de face, tantôt de dos, au gré de vallées convergentes. Sans la moindre pause depuis Bessans, j’arrive à la voiture à 15 h 35. Je suis parti depuis plus de 8 heures : une bonne journée de travail ! 🙂
Il ne reste qu’à parcourir les 240 km pour rentrer à Arnas, épreuve assez difficile compte tenu de la fatigue accumulée, du soleil de face et de la circulation du dimanche soir !
Finalement, cette journée restera une très belle expérience, à refaire bien entendu (ailleurs ? accompagné ? …). Matthieu, quand est-ce que tu me réinvites chez toi ???
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C’est fait ;-)
Ça y est, je suis parti, je suis allé au bout, et je suis rentré !
Aucune mauvaise surprise, le « Gel Energy » n’est pas trop mauvais goût et est assez efficace, seuls les 4 derniers kilomètres de la montée du col ont failli avoir raison de moi. Mais à 4 km, il aurait été stupide de faire demi-tour.
J’ai parcouru les 57 km de montée en 5h30 (arrêts compris) et la descente en… 2h !
Finalement, c’était une super expérience. Je n’avais jamais fais de vélo en montagne, mais c’est sûr, c’est à refaire !
Seul point négatif : les autres cyclistes qui dépassent comme des flèches, trop déprimant…
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Projet Haute-Maurienne 2012 (J-5)
Dernière partie, et pas la plus simple : les 14 kilomètres qui séparent Bonneval du Col de l’Iseran.
Le profile ne permet pas de se reposer, il va falloir s’adapter. Mais peut-être n’arriverais-je jamais à Bonneval 🙁 .
En chinant, j’ai dégoté un détail des pourcentage de ces 14 derniers kilomètre (l‘image est cliquable pour la voir en plus grand) :
J’ai effectué aujourd’hui la dernière sortie d’entraînement sur route (voir ici). Le reste de la mise au point se fera en intérieur. Quant au vélo, il ne reste plus qu’à le bichonner jusqu’à dimanche !
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Projet Haute-Maurienne 2012 (J-6)
Les préparatifs se poursuivent. J’ai commencé le “régime de la dernière chance”, à base de tout, mais aussi de céréales, de yaourt au “germe de blé” pour le petit-dèj, etc…
Je me suis également procuré un second bidon pour la potion magique, un coupe-vent, un “fond de jante” en espérant ne pas à avoir à le remplacer, parce que je ne l’ai jamais fait !
J’ai également trouvé les gels “coups de fouet”, en cas de coup dur 🙂 .
Et voici le troisième et avant-dernier épisode du feuilleton, du Col de la Madeleine à Bonneval sur Arc :
On s’aperçoit que juste après le col… ça descend, et qu’après ça remonte ! Pas de doute, nous sommes à la montagne ! La rampe est assez régulière, il faut espérer que le vent souffle “dans le bon sens”… Si j’arrive à Bonneval, je serai “au pied du mur”. Il n’y aura alors pas d’autre choix que de l’escalader.
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Projet Haute-Maurienne 2012 (J-7)
Plus qu’une semaine ! A ce jour, la météo n’annonce pas de pluie. C’est toujours ça !
Je me suis renseigné sur le régime à suivre durant ces 7 derniers jours, c’est tout un programme ! Entre les féculents, les légumes verts mais pas “forts”, les glucides, les goûters avec céréales et sucre, les boissons, les petits déjeuners avec yaourts et jambon,… miam miam !
Je continue parallèlement à décrypter le parcours. Voiçi le deuxième quart :
Cette partie semble, à mes yeux, être la plus difficile psychologiquement. En effet, entre Lanslebourg et le Col de la Madeleine, la rampe est raide, et le dénivelé important. Pourtant, à ce stade, je ne serai qu’à la moitié de la montée. Il faudra encore ajouter l’autre moitié jusqu’au Col de l’Iseran, et bien sûr la descente (qui comporte des zones de montée).
Mais si j’arrive au Col de la Madeleine, je serai déjà super content : j’aurai roulé 30 km en montagne et effectué un dénivelé de 700 m. C’est sûr qu’en Seine et Marne, on n’a pas ça !
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Projet Haute-Maurienne 2012 (J-8)
Pour aider le sportif du dimanche que je suis à mieux appréhender la grimpette de dimanche prochain, il m’a été conseillé de la découper en plusieurs sections de 15 km environ. Il s’agit là d’une aide pour la préparation, afin de mieux s’imprégner du profil, mais aussi d’une aide psychologique, puisque le “but” à un instant t n’est plus d’atteindre le sommet, mais la fin de l’ “étape”. De plus, chacune de ces “étapes” permet d’avoir un point précis pour s’arrêter, faire le plein de glucose et faire… la vidange de la vessie ! 😉
La première section de 15 km se présente ainsi :
On peut voir qu’entre Modane et Villarodin, il faut enchainer plus de 200 m de dénivelé rapidement, mais qu’ensuite, le profil de la route est presque avantageux. Dans les 8 premiers kilomètres, on est frais, ça ne devrait pas poser de problème. Les 8 suivant étant relativement plats, ça devrait bien se passer aussi. Je suis donc quasiment assuré de faire au moins 16 bornes 🙂 … Mais vu ma performance déplorable de ce matin (cf. Tour de Melun, mais dans le sens inverse), je me dit que c’est loin, mais alors très loin d’être gagné…
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Projet Haute-Maurienne 2012 (J-9)
Il est venu le temps de retourner à l’école à Lyon… Ce qui veut dire d’une part que je continue mon aventure professionnelle, mais aussi que je me rapproche de la montagne !
Mon vélo étant à présent apprivoisé, il est temps de le tester sur les pentes alpines. Une sorte de “bouquet final” avant le “repos hivernal”, et aussi avant mon examen…
J’ai donc concocté un projet un peu fou, d’abord à cause de sa difficulté (pour moi), mais aussi à cause de l’échéance très courte !
L’idée, c’est de faire un aller retour entre Modane (1059m) et le col de l’Iseran (2764m), soit un dénivelé de 1705m en 57 km. (idem pour le retour, mais en descente 😉 ). Quand ? Dimanche prochain (le 09)…
J’ai bien essayé de brancher un compagnon de route, mais… il n’est pas chaud… C’est donc tout seul que je taquinerai les 90 en descentes ! Ah oui, ne pas oublier le casque 🙂 …