Sortie
-
Mulhouse : Cité du train
Après un dernier Au Revoir à la Mamie de Jean-Christophe (Mamie de Vannes), nous avons rendu visite à ses autres grand-parents : Papapa et Mamama que nous n’avions pas vus depuis 1 an.
Et puis le lendemain, nous sommes allés au Musée. Mais avec un Papa cheminot et un fiston fan de train, il ne pouvait en être autrement, le musée fut celui des trains
.












-
C’est le printemps !
Voire même l’été !
Et nous nous sommes laissés tenter par une promenade sur les bords de l’Yerres (face à chez nous).



Petit somme du p’tit Coco !

Samuel a super bien marché, bravo mon bonhomme ! ( Parce que mine de rien, c’était long pour ses petites jambes (5,8 km) ; je l’ai porté pour la montée, sur la fin, et encore, presque rien. )
-
Journée bien remplie avec Mickey !
Il y a des décisions chez nous qui se prennent à des heures pas possible, et c’est comme ça que celle-ci s’est prise à 01h24 ce matin : aller à Disneyland aujourd’hui. J’avoue, j’étais un peu dans les choux, mais j’ai adhéré à l’idée. On s’est dit qu’il n’y avait plus de vacances scolaires en cours, qu’on était jeudi et que donc, il y aurait probablement peu de monde.
Au réveil, vérification de la météo : soleil et nuages, c’est bon pour nous !
On part réveiller les Cocos, ou plutôt, les lever. Nathanaël est en pleine forme, il fait le fou dans son lit et Samuel est partant pour aller faire des manèges.
Là-bas, premier manège pour Samuel (bon d’accord, c’est un faux), les tapis roulants pour rejoindre les parcs depuis le parking. Petite attente au guichet et puis on se sépare. Jean-Christophe part au Parc Studio pour aller voir le spectacle de voitures avec Samuel. Il y a 45 minutes à attendre avant que ça ne commence, ils sont donc allés faire le manège du chien, le Zigzag Tour. De mon côté, je suis allée à l’autre parc avec Nathanaël, et on n’a pas arrêté. Nous avons fait les tasses, puis, un tour de bateau “It’s small world” pour qu’il en prenne plein les yeux, suivi de Pinocchio, et de Peter Pan.
Nathanaël a mangé, et pendant ce temps, Samuel a regardé la parade du train.
Toute la famille réunie, nous voyons qu’il y a 5 minutes d’attente pour Space Mountain, Jean-Christophe part savourer sa seule attraction de grand de la journée, pendant que j’emmène nos deux p’tits gars à “It’s small world”. Et oui, c’est la deuxième fois pour Nathanaël, mais assis de l’autre côté du bateau, il ne voit pas la même chose.
C’est maintenant à mon tour de faire mon attraction de grand, je choisis Indiana Jones, et pendant ce temps, mes trois hommes partent faire Blanche-neige.Après les retrouvailles devant le bateau pirate, nous ne nous quittons plus et partons faire “Pirates des Caraïbes”. Nathanaël qui s’était endormi dans la poussette a poursuivi sa sieste dans mes bras durant toute l’attraction. Et puis nous avons fini la journée en faisant du cheval dans le Carrousel de Lancelot.
A 16h, nous quittons le Parc, et Samuel qui avait bien tenu le coup jusque là s’endort dès qu’on lui dit qu’il peut fermer les yeux. Il s’ensuit un bon moment de rigolade quand on entend Samuel applaudir alors qu’il est au pays des rêves.

-
Entre filles
… avec mes deux p’tits mecs quand même
.Alors que mon mari passait sa deuxième semaine de formation à Lyon, j’en ai profité pour passer du temps avec les copines qui étaient également dans le coin. Résultat : alors que nous ne nous étions pas vues depuis plusieurs mois, nous nous sommes vues 2 ou 3 fois en 5 jours et ça m’a fait bien plaisir.


Nathanaël et Caroline ont fait connaissance.
-
Anniversaire
Pour une fois que nous étions dans le coin, nous avons pu aller fêter les 25 ans de Fabienne, samedi 14 juillet, chez ses parents. L’occasion bien sûr de la revoir, mais aussi de revoir tout plein de monde que nous n’avions pas vu depuis le premier mois de Samuel pour certains, et notre mariage pour d’autres.


La reine de la fête avec son super chapeau de catherinette.

A minuit, il faisait un peu froid (on le voit aux pantalons sous les jupes
) mais Samuel tenait encore le coup.
Samuel et sa marraine
-
Promenade de Sucremont
Le Samedi 30 Juin, nous avons profité de l’avant dernier week-end avant la formation de Jean-Christophe, pour passer un bon moment en famille.
Nous sommes partis nous promener dans la forêt des Trois-Pignons, pas très loin de Fontainebleau. Après 500 mètres de marche, nous nous sommes arrêtés pour pique-niquer et crapahuter sur les rochers.





Nous continuons la balade et passons sous les arcades de l’aqueduc de la Vanne.



Tout en marchant, Samuel observe les papillons, avant d’arriver au point de vue du Laris-qui-parle.


Et puis c’est la grosse colère, le sentier est étroit, Samuel ne veut plus avancer.

Je le prends sur mes épaules pendant quelques mètres, le temps qu’il se calme et que l’on trouve un bâton. Trop bien, Samuel peut faire comme Grand-Mamy, il peut marcher avec une canne. Merci Grand-mamy Betty !



Passage à proximité des ruches (petite pensée pour Christophe) et la boucle se termine, nous sommes de retour au point de départ.

-
Trois jours à Campénéac
A quelques jours du départ de Jean-Christophe pour Lyon, il est temps de finir le récit de nos vacances.
Nous sommes le dimanche 17 Juin, toujours en Bretagne. Nos enfants sont fatigués par les longues heures passées en voiture la veille, et par notre séjour Basque, ils font donc la sieste (moi aussi
). Jean-Christophe, lui, a accompagné sa filleule à la fête de l’école, il l’a vu et entendu chanter en français et en anglais.Puis à 16h, nous sommes tous montés dans la même voiture (vive le Jumpy !) pour aller nous promener à Monteneuf, sur le site des Mégalithes. (Nous n’avons pas de photos… nous pensions aller à pied au château de Trécesson ).
Le lundi, rien de particulier, courses le matin, et garde des enfants le lundi après-midi. Pendant qu’ils dormaient, JC et moi avons joué au foot et essayé en vain de faire voler le cerf-volant
.Nous avons fait un petit passage à la boutique de l’abbaye le mardi matin, avant d’aller chercher les crêpes et les galettes pour le repas du midi et le pique-nique du lendemain. Le soir, une surprise m’attendait puisqu’en dessert, j’ai eu une tarte au chocolat en mon honneur
; Merci Dominique !Et puis le mercredi, c’est le départ. Nous prenons l’autoroute cette fois-ci, et nous rentrons finir les vacances chez nous !
-
C’est le moment d’en profiter
Pour notre dernière après-midi dans le sud-ouest, nous décidons d’aller nous baigner et cette fois, on a des photos. Il fait chaud, l’eau est bonne… tout va bien.


La plage de Lafitenia, à 600m de chez nous

La sieste


Le sable


La baignade
Snif, le ménage nous attend, il faut quitter la plage.



Dernière photo de La Rhune :

Et c’est l’heure de faire la sieste pour Samuel.


-
La Rhune, à pied
Situé à 905 m d’altitude, La Rhune est le sommet d’un massif montagneux, à une dizaine de kilomètres de St Jean de Luz. Certains diront que c’est “du pipi de chat”, mais quand on sait que la mer est à 0 m, le dénivelé est tout de même assez conséquent.
La Rhune, c’est lui, celui qui fait son timide derrière les nuages :

Il y a un train à crémaillère qui permet de rejoindre le sommet depuis le col de St Ignace (169 m). Julie et moi l’avions pris en 2006, lors de notre voyage de noce :

Mais cette année, nous étions bien décidés à y monter à pied. Petit souci cependant : il y avait 1 Samuel à porter, 1 Nathanaël aussi, et accessoirement un sac à dos avec le pique-nique du midi, de l’eau, des changes, etc… Si Julie avait pris Nathanaël sur son ventre, j’aurais pris Samuel, mais il serait resté le sac. Si j’avais pris Nathanaël et le sac, Julie aurais dû prendre Samuel qui aurait été bien lourd pour une telle balade… Après avoir émis l’hypothèse qu’elle et les enfants prennent le train, nous avons décidé que je prendrais Nathanaël sur le ventre, Samuel sur le dos, et Julie, le sac. C’est moi l’homme, non ?
Nous sommes donc partis ainsi, chargés comme des mulets :

Samuel voyageait incognito…
Les paysages se succèdent : d’abord la forêt, puis les buissons piquants, puis les alpages, avec des chevaux sauvages, les pottocks !





A ce stade de la rando, on a déjà marché plus d’une heure, et on est beaucoup monté. Malgré les porte-bébés qui m’écrasent, je pense que le sommet n’est pas loin. D’autant qu’en continuant, voilà ce qu’on aperçoit :

Mais c’est sans compter sur les entourloupes que se plaît à jouer la montagne… car en fait, voilà ce qui se cache derrière…

… une descente et une nouvelle montée (raide). On commence à comprendre pourquoi il y a un train…
On profite de la pause suivante pour faire plaisir à mon dos, et faire plaisir à Nathanaël. Cela fait deux heures que nous marchons, et un panneau indique qu’il en reste (encore) une.



Cette dernière heure est la plus terrible pour mon dos. Ce n’est plus un sentier mais une succession de rochers superposés et parfois glissants. Pour Julie aussi, l’effort est pénible.
Et c’est donc au bout de trois heures que nous arrivons au sommet, à la frontière entre la France et l’Espagne.


Sur la première photo de ce billet, on voyait La Rhune depuis la mer.
Là, c’est la mer depuis La Rhune
C’est l’heure d’un bon pique-nique, histoire d’alléger le sac à dos 🙂 et de contenter nos estomacs ! Le temps aussi pour Samuel de faire un petit “pipi culotte”…




Après la pluie des premiers jours, le soleil est agréable,
trop même, puisqu’il va rapidement nous brûler 🙁Nous entamons ensuite la descente. Une descente atroce, tant par la raideur de la pente que par le poids sur mon dos. Et toujours ces rochers glissants… Les trains, eux, continuent leurs ballets, en nous faisant bien comprendre qu’on aurait dû prendre place à bord.



Nous demandons à Samuel de marcher, mais très vite,
il va faire une colère dont lui seul a le secret et ne va plus vouloir avancer.
Comme un âne, sauf que dans ces moments, il n’accepte aucune “carotte”

A mi-descente je craque,
je pars en crise de nerf et me jette dans le videje donne Nathanaël à Julie. Nous arrivons enfin en bas, il fait 35° et nous n’avons qu’une envie : boire de l’Orangina et manger des glaces !Julie redonne un peu d’essence à Nathanaël et la voiture nous ramène toute seule à la maison, après un passage à Carrefour pour les glaces et la boisson… 🙂
Mes douleurs dorsales s’atténuent enfin, au bout de quinze jours, mais nous avons déjà décidé… de ne plus y retourner à pied !
Pour conclure, quelques photos de la crémaillère :



-
Proverbe : “Le mardi, fini la pluie”
Comme la veille a été une journée humide, il n’y pas eu de sortie intéressante ni de photo. En revanche le mardi, nous nous sommes faufilés entre les averses pour jouer les touristes.
Visite guidée :

Dans l’église de St Jean de Luz est suspendu ce bateau…
Pas très surprenant pour une ville côtière !

Le long de la nef, à la place des vitraux, il y a ces “balcons” qui accueillent les fidèles.


Le port…
L’après-midi, après la dernière pluie vers 14 heures, le soleil a été déclaré vainqueur.




Nous avons marché jusqu’à la pointe de Saint Barbe. D’un côté, il y a une vue magnifique sur la baie de St Jean de Luz avec la Rhune en arrière plan. Mais en regardant de l’autre côté, le paysage est radicalement différent, les vagues violentes et la falaise abrupte. En fait, il y a trois digues comme celle-ci qui protège la baie de “la colère de l’Atlantique”.






Samuel s’est fait plaisir en marchant sur le muret, le long de “lo mé”
(ça veut dire “la mer”, mais c’est pas du basque ! :-))