Vacances
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Epierre
Les 16, 17, et 18 Août, Jean-Christophe était chez Marine et Matthieu (son frère) pour une sortie randonnée entre frangin. La randonnée était plutôt très CORSÉE. Matthieu l’avait tenté une fois, mais n’était pas allé au bout car c’était trop dangereux. C’est donc à deux qu’ils sont montés aux croix de Dom Jean-Maurice, au dessus de Bessans. Monter était une chose… mais la descente était « assez plutôt très difficile », dixit le sms de mon homme. Il a même rajouté dans son message : « si j’y reste, ne vient pas me chercher ». Plutôt rassurant ! Au final, ils sont tombés tous les deux, Matthieu une fois et JC, deux fois, sans gravités et sont rentrés à bon port. JC nous a rejoint à Doubs le dimanche, comme je l’avais dit dans un précédent article. Mais revenons sur une conversation alors qu’il se trouve chez Marine et Matthieu.
Ces derniers évoquent que Mamie Jo et Papy Pascal seront chez eux le week-end suivant. JC dit qu’il est en repos et que nous n’avons qu’à redescendre en Savoie le week-end prochain pour passer le week-end tous ensemble. Marine et Matthieu acceptent. C’est encore les vacances, c’est possible sans que ce soit trop la course, alors nous sommes repartis vendredi en Savoie et avons fait la surprise aux parents de Matthieu et Jean-Christophe.
Après-midi balade à Saint-Léger avant de sauter dans la piscine (pas de photos dans l’eau pour ma part).
Il y a leur maison quelque part 😉 Mère et fils Après la piscine, c’est l’heure de l’apéro.
Cousin-cousine Et la photo exclusivement masculine.
Exclusivement masculine… il y a quand même Elsa qui regarde ce qui se passe derrière elle. Nous avons passé un très bon week-end chez nos hôtes, merci ! Nous vous attendons chez nous en Octobre.
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Retour chez nous
Il est 4 heures du matin quand nous quittons Sare. La pluie nous accompagne toujours. Première pause à Saint-Pée-sur-Nivelle pour poster les dernières cartes postales. Nous nous dirigeons ensuite vers Bayonne pour prendre l’autoroute. Nous croisons plusieurs fêtards vêtus de blanc avec un foulard rouge, en effet, c’est la Féria… et à l’entrée de l’autoroute, nous sommes arrêté par les gendarmes. Je dégaine immédiatement les papiers de la voiture et le permis de conduire, mais les gendarmes voient nos têtes, notre état de fraîcheur, les papiers « prêts »… ils échangent rapidement avec Jean-Christophe, et nous laissent repartir sans rien contrôler en nous souhaitant un bon retour. Je me retourne juste après et là, je vois des gens dans un « piètre état », c’est pas beau à voir…
La pluie est présente jusque dans les Landes (c’est Jean-Christophe qui transmet l’info, car moi, je fait mon premier roupillon du voyage, je ne me réveille qu’après Bordeaux). Ensuite, le soleil est de retour, et les paysages s’enchaînent jusqu’à midi. Nous sommes en Sologne, il y a un lac, un banc, un pêcheur, l’endroit idéal pour pique-niquer.
Encore quelques heures de voiture et nous arrivons chez nous à 15h30. Et vous savez ce qui est bien, c’est que nous avons encore quelques jours juste pour nous 4 à la maison. Ça fait du bien !
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Derniers jours sous la pluie
Après la canicule, qui était bien moindre là-bas que dans le reste de la France, nous avons fini notre séjour sous la pluie. Mais nous avons bravé les gouttes et avons fait un dernier tour à Saint-Jean-de-Luz, plus précisément à la plage de Mayarco, juste pour le plaisir de voir l’océan une dernière fois.
Il y a du beau monde en voiture Il est bien attaché Mayarco, nous voici ! De belles vagues pour les surfeurs Le samedi, c’est le moment de faire le ménage, les valises et de charger la voiture. Nos deux semaines de vacances se finissent !
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Produits basques
Voici ce que l’on a ramené à la maison.
Enfin, ça, ça n’a pas eu le temps de quitter la région. 😉
Miam ! C’est avec tout cela que nous prolongeons le plaisir des vacances !
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Depuis le gîte
Voici deux photos prises depuis le gîte.
La Rhune avec son petit train -
Dernière baignade
Mercredi, il fait moins chaud et encore beau, nous retournons nous baigner sur la grande plage de Saint-Jean-de-Luz. Comme il y a eu pas mal de vent durant la nuit, il y a de la houle, le drapeau est orange, l’eau un peu trouble, mais nous nous amusons beaucoup dans les vagues.
Jean-Christophe, Samuel et Nathanaël sont dans l’océan A midi, nous remballons nos affaires et retournons au gîte pour prendre notre repas, avant une après-midi tranquille.
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Saint-Pée-sur-Nivelle
Mardi, il est temps de faire des courses. La canicule étant toujours là, même si on souffre moins que sur le reste du pays (24°C, le matin), nous partons découvrir Saint-Pée-sur-Nivelle. Il y a un marché des artisans, nous allons y faire un tour avant d’aller à Intermarché. Pas de photos, nous sommes partis sans appareil et sans portable.
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Espelette
Le début de la canicule est annoncée pour ce lundi 22 Juillet. Nous décidons de sortir juste le matin et de rester au frais l’après-midi. Ce sera donc la visite d’Espelette.
Canicule annoncée, nous, il pleut ! La pluie ! Les premiers bâtiments avec les piments qui pendent C’est dans ce magasin que nous avons acheté du piment.
La poste d’Espelette La mairie Nous prenons la direction de l’église après avoir acheté de la bière dans une petite brasserie de la ville.
L’espace est optimisé avec les galeries. Il n’y a pas de vitraux, mais des fenêtres aux étages. Mes Amours Voici notre matinée. Nous avons en plus goûté du jambon à la maison Gastellou et sommes repartis avec un demi jambon, et un saucisson offert par le commerçant.
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La Rhune à pied (épisode 2)
Avant de lire cet article, il faut d’abord se souvenir que nous avions décidé “de ne plus y retourner à pied”. L’article se trouve ici !
Mais les enfants sont plus grands, 7 et 9 ans, et il fallait prendre notre revanche. Sans enfants sur le dos et le ventre, on s’est dit qu’on pouvait le faire. Logeant à Sare, nous décidons de partir du gîte. Le pique-nique, les bouteilles d’eau, casquettes, chapeaux et crème solaire sont dans le sac, c’est parti pour l’aventure, il est à peu près 8h20.
Jusque là, vous connaissez, c’est Sare !
Nous rencontrons ensuite quelques animaux.
Certains décident de nous suivre Nous profitons des paysages et nous rapprochons petit à petit du train.
Il y a encore à grimper. Le soleil fait quelques apparitions et nous avons chauds. Alors que je satisfais un besoin naturel, les enfants continuent de monter. Samuel entame la discussion avec des randonneurs et Jean-Christophe part les rejoindre quelques mètres devant. Moi, j’y vais à mon rythme, c’est à dire, moins vite, parce que ça monte et que je transpire quand même beaucoup. La preuve, je sue des bras !!!
Alors que mes trois gars se demandent si je n’ai pas fais demi-tour, ça doit faire vingt minutes que nous ne nous voyons plus, le chemin redevient “plat” et droit et ils m’aperçoivent enfin. J’arrive juste quelques minutes après eux à l’endroit où nous coupons la voie du train. Nous marchons depuis deux heures.
Une pause ravitaillement, et nous repartons pour la dernière partie de notre ascension.
Nous prenons les paris pour savoir à quelles heures nous serons au sommet. Jean-Christophe dit midi, Nathanaël : 11h30, Samuel : 11h50, et moi : 11h45.
Hé, mine de rien, on s’élève. Nous voyons bien le sentier du GR10 où j’étais à la traine, il se trouve juste au dessus des sapins et donc, si vous suivez bien, en dessous de la voie ferrée.
Saint-Jean-de-Luz Le sommet n’est plus très loin !
Nous franchissons la voie du train, et arrivons au sommet !
Il est 11h30 ! Alors qui a fait le meilleur pronostic ? Bravo fiston.
Samuel prend la photo Tous au sommet La vue est encore dégagée, nous en profitons pour faire quelques photos avant de déguster notre salade de pomme de terre, bien méritée !
Quelques photos et on redescend !
Un vautour Il est bien nettoyé cet os De retour chez nous, nous avons pris un bon goûter, une bonne douche et Nathanaël s’est octroyé une sieste, et il a bien raison !
Après cette bonne randonnée, nous étions fatigués mais heureux. Nous avons trouvé que c’était bien plus facile qu’en 2012. Et oui, des garçons qui marchent, ça change la donne.
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Samedi à Sare
Après l’océan, les balades, Saint-Jean-de-Luz, les visites, le train, nous profitons du premier samedi là-bas pour aller au village. Ce jour-là, il y a une « foire ». C’est tout simplement une brocante et quelques gouttes tombent par moment. Nous ne sommes pas emballés par la foire, mais ce n’est pas grave, c’est les vacances, on flâne. Et puis en continuant jusqu’au fronton, surprise ! Il y a un match de pelote basque. J’ai pas tout compris, mais c’est rigolo ! Surtout que quand la balle est remise en jeu, un joueur la fait rebondir sur un « tabouret » et tape dedans avec la main avant qu’elle ne soit renvoyé par un joueur ayant un gant appelé « chistera ». Et bien regarder la pelote, j’ai aimé.
L’après-midi, c’est repos, tour de France et le moment de feuilleter quelques brochures disponibles dans le gîte, comme un livret de recettes de la région. J’en reparlerai sûrement si j’essaye une nouvelle recette.