• Maison,  Valdahon

    Chargement 3

    C’était l’heure de vérité, avec le camion de 20m3. La main-d’œuvre était au rendez-vous, et en 3 heures, le camion était plein. Le timing a été respecté, nous sommes partis à l’heure avec tout ce que l’on souhaitait y mettre.

    Le déchargement prévu le dimanche s’est effectué avec l’aide de mes beaux-parents et de deux de mes cousins. Facile, rapide et efficace, en 1h, le camion était vidé.

    Premier repas à l’ombre du pommier pour se remettre.

    Anecdote du samedi, j’avais prévenu les personnes qui venaient nous aider qu’ « on les attendait avec les croissants ». Chloé avait compris qu’elle devait apporter les croissants, du coup, pour ne pas arriver avec les mains vides, elle est venue avec des crêpes. Trop gentille.

    Mais on n’est pas comme ça, ils apportent leurs bras, et nous, on leur offre le petit déjeuner et le repas du midi.

    Merci à Tous ceux qui sont venus nous aider, que ce soit pour porter, garder les enfants, les emmener aux différentes activités de prévus, et qui ont fait un bon bout de route pour nous.

  • JC,  Maison,  Valdahon

    Chargement 2 et connaissance avec un artisan

    Pas de photos, ça ressemblait très fortement au chargement numéro 1.

    On peut juste préciser, qu’en prenant possession des lieux, Jean-Christophe a eu la mauvaise surprise de découvrir une grosse fuite sous l’évier en voulant changer le robinet de la cuisine qui fuyait lors de l’état des lieux. Appel au plombier à 20h, qui était déjà en intervention. Et passage le lendemain matin à 6h30 pour réparer la fuite. Super gentil d’être venu aussi vite.

    Jean-Christophe a ensuite rendu son studio et après avoir récupéré le camion, est revenu à Combs.

  • JC,  Valdahon

    Chargement 1

    Ça y est, le jour J est arrivé. Du coup, hier, nous avons chargé la voiture et la remorque.

    La voiture est pleine.

    La remorque aussi.

    À 6h passé de quelques minutes (couvre-feu oblige), Jean-Christophe a pris la direction de Valdahon pour faire l’état des lieux de la maison à 14h et signer l’achat de la maison à 15h à Ornans.

  • Samuel,  Sortie

    Fête surprise

    Mélissa, l’amoureuse de Samuel a décidé de lui faire une fête avant notre départ. Au final, c’est toute la famille qu’elle a invité pour manger. Nous avons tenu notre destination secrète jusqu’à ce que l’on sonne chez eux.

    Quelques photos du dessert réalisé par Mélissa :

    Un régal ce gâteau
    macarons fait par sa maman

    Samuel a reçu en cadeau une boussole et un livre sur le Titanic.

  • Julie

    Ma fête

    Et aussi une belle fête des mères à toutes les mamans !

    Cette année, j’ai été bien gâtée. Une carte avec un poème et un marque-page de la part de Nathanaël et de la confiture de mots doux et des boucles d’oreille de la part de Samuel.

    « Tu es belle comme de la confiture BONNE MAMAN » 😉
    Mes boucles d’oreille sont différentes, Samuel trouvait ça plus original.

    Merci à mes loulous !

  • Famille,  Nathanaël

    Générosité

    Aujourd’hui, Lisa, Nathan (enfants que je gardais l’année dernière), Pascaline et Cyril (les parents) étaient de passage à Combs-la-ville et sont venus partager un moment avec nous. C’était bien agréable de se revoir quasiment un an après leur déménagement pour la Bretagne.

    Au moment de leur départ, Nathanaël a offert trois de ses nounours à Lisa. On lui a bien demandé si il était sûr de son choix et a dit OUI. Mais une fois partis, ce n’était pas facile pour lui.

    Ce soir, on a décidé de lui prêter trois de nos nounours pour compenser le manque. Ce soir, il a donc avec lui : Arthur, Frizou et Marcel.

    On l’a rassuré en lui disant que vu comme elle serrait ses nounours en partant, ils n’allaient pas être malheureux avec Lisa. Une nouvelle aventure va arriver pour eux en Bretagne.

  • Besançon,  Sortie

    Besançon (Jour 147) – La grande sortie à Montfaucon

    Mon après-midi était libre, le soleil était plutôt bien présent, l’appareil photo était chargé, mes jambes me picotaient, bref, c’était le moment de partir en rando !

    Pour ceux qui remontent le temps sur le blog, notez que j’ai fait un petit plan dans cet article (cliquez donc sur « cet article« ) de manière à pouvoir vous projeter géographiquement sur les endroits dont je parle.

    Je voulais que ça grimpe un peu et que ce soit agréable pour les yeux. J’ai donc décidé de partir rive gauche du Doubs, en face de chez moi, de traverser la parc Chamars, de continuer vers la Gare d’Eau, et de traverser le tunnel « piéto-fluvial » sous la citadelle. Quelques photos pour la route, ça se poursuit après…

    Des galets dans un ruisseau
    Le canal qui relie les 2 côtés de La Boucle du Doubs, et la voie piétonne.

    Je me suis retrouvé toujours rive gauche, mais bien plus en amont. J’ai suivi la voie verte qui longe la rivière, pendant près de 45 min.

    La Citadelle, on commence à connaître…

    Arrivé à « La Malate » j’ai trouvé ce drôle d’arbre : à moitié en feuilles, à moitié en fleurs…

    Et puis après quelques centaines de mètres, j’ai quitté la voie verte et le cours tranquille du Doubs pour commencer à grimper. Un sentier régulier, assez raide, dans la forêt.

    Après ce petit dénivelé, changement de paysage ! Je me suis retrouvé au milieu d’une prairie, où les vaches auraient pu être des brebis au paradis tant l’endroit respirait le calme et la sérénité.

    A partir de là, un choix s’est imposé à moi. Soit je bifurquais à droite pour visiter les ruines du château de Montfaucon, soit je continuais tout droit vers Montfaucon, soit je prenais à gauche pour grimper sur un autre petit sommet jusqu’au fort de Montfaucon. (oui, tout s’appelle « Montfaucon » ici…). J’ai choisi la dernière option.

    A nouveau la forêt, le sentier, la grimpette, des passages sous des barres rocheuses, des grimpettes encore, et je me suis retrouvé sur une prairie, en haut des petites falaises, apparemment spots d’escalade assez connus dans le coin. Je me suis dit que si je me cassais la bobine, personne ne me retrouverait…

    Le centre commercial de Chalezeule
    Le côté Ouest de Besançon, protégé par ses forts sur les collines
    Le Doubs, qui coule et serpente dans la vallée
    Ne pas tomber…
    Besançon, en grand angle.

    Enfin, je suis arrivé au fort de Montfaucon. Mais à vrai dire, j’ai eu un petit moment de solitude, en découvrant le fort, derrière des douves, mais surtout entouré de grillage et de panneaux « Terrain militaire, défense d’entrer ». J’ai eu peur de tomber sur une garnison fantôme de soldats Romains ! Qui habiterait encore un fort (en piteux état) aujourd’hui ?

    Il suffisait de contourner l’édifice pour avoir le dénouement de l’intrigue…

    Sur la porte : Centre technique MONTFAUCON – 43 RT, d’où l’antenne…

    Je n’ai pas fait demi-tour, j’ai opté pour redescendre vers le village de Montfaucon, pour revenir, vous avez suivi, par le chemin « d’en face » au niveau des vaches. Là aussi, lot de surprises : des grottes, de la poudre et des chauves-souris…

    Un sentier large, qui descend tranquillement quand soudain…
    … une succession d’entrées de galeries, certaines effondrées, d’autres pas.
    D’autres encore carrément fermées
    Une autre, enfin… habitée ! Ce sont d’anciennes cavernes du fort et lieu de stockage de la poudre…
    Depuis Montfaucon, la Citadelle en premier, le Fort de Chaudanne derrière, et le fort de Rosemont encore après, le plus haut.
    Les sommets du Jura qui se dressent au loin
    Parce que Dieu m’accompagne partout, il a sa place dans cet article !
    Le château en ruines de Montfaucon

    De retour à mes vaches, qui ne se reposent plus mais se remplissent la pense, je parcours les 300 m qui me séparent du château. Il est en relative rénovation, mais je confesse n’avoir pas lu le panneau explicatif…

    On trouve un vestige du château, mais aussi d’une église, … et puis d’autres trucs !

    A partir de là, j’ai pris le même chemin en sens inverse. Avec des chamois surprises un peu avant d’arriver au niveau de la voie verte.

    J’ai fait miennes ces paroles d’un auteur du plat pays : « Ereinté, je l’avoue, mais heureux comme un roi !… Ah ! la montagne que c’est beau !… Et puis cet air vif et léger, un peu piquant… Vous devriez m’accompagner, ne fût-ce qu’une fois… ».

    Au total, j’ai parcouru 20 km. Sans eau, parce que je n’ai pas de sac à dos ici… et parce que je n’y ai pas pensé : on n’est qu’au mois d’avril… Cependant, mon jus d’orange, en rentrant au studio, m’a sauvé la vie…