JC
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Les 3 mecs
Dimanche matin “classique” : les hommes, posés sur le canapé en train de regarder télé-foot (un pastis pour le plus vieux, des bières pour les plus jeunes…). Et LA femme à la cuisine (et présentement en train de faire la photo…).

Que l’on se rassure, c’est faux : ce n’était pas le matin avec télé-foot mais la fin d’après-midi avec Les Simpson… 😉
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Retour sur le 14 décembre
Durant la semaine qui vient de s’achever, je travaillais de matinée (4h – 12h, sauf mercredi où c’était 6h-14h30).
Nous avions convenu avec Nathanaël qu’il arriverait le 13 après-midi, le mardi, de façon à ce que je puisse bénéficier de mes 3 jours de congé naissance immédiatement collés avec d’autres congés, jusqu’au 24. Malheureusement, le mardi soir arriva, et bébé ne vint pas…
Mercredi matin, je me levai à 4h, je me préparai et partis vers la gare pour prendre le premier train. Rappelez-vous, je commençais à 6h, j’avais donc la possibilité de prendre le train plutôt que la voiture.
Au bout de 7 minutes de marche, j’entendis mon téléphone sonner. C’était Julie. Elle m’annonçait qu’elle venait de perdre les eaux. J’exécutai un demi-tour sur moi-même et rebroussai chemin. J’en profitai aussi pour appeler le boulot et annoncer mon absence, une heure avant ma prise de service : j’en rêvais depuis des semaines !!!
De retour à la maison, je réveillai Samuel tandis que Julie essayait de joindre Elodie et Christophe, un couple d’animateurs d’aumônerie, afin de leur laisser notre bonhomme pour cette longue journée.
A 5h28, Samuel était vendu et nous filions vers Melun.
Après un rapide examen et un monitoring en salle de pré-travail, on nous annonça que le col n’était ouvert qu’à 1cm et que les contractions étaient encore très espacées. Alors nous attendîmes…
Vers 10h30, un nouvel examen indiqua que le col était ouvert à 2 cm, et on nous conseilla d’aller marcher un peu pour accélérer tous ça.
C’est à ce moment que nous nous mîmes en quête d’une nounou pour Samuel pour le lendemain jeudi. En effet, Elodie et Christophe reprenaient le travail et ne pouvaient donc plus assurer sa garde, et les enfants n’étaient toujours pas les bienvenus à la maternité. De toute façon, il n’aurait pas accepté d’y rester bien longtemps… Ayant essuyé quelques refus, ce fut les parents de Julie qui répondirent “présents” et se mirent en route quasi instantanément.
A 12h00, de retour dans la “chambre”, le col avait encore gagné 1 cm, nous passâmes en salle de travail. Durant plus de 2 heures, on posa à Julie une perfusion, une péridurale, des produits magiques qui ne marchaient pas trop, puis le produit magique qui fonctionna : le col s’ouvrit de 4 à 10 cm en 20 minutes !
Après une expulsion rapide, Nathanaël nous rejoignit, à 15h39 !
Après encore 2 heures d’attente et le ventre “vide”, on transféra Julie dans sa “vraie” chambre, avec le Babychou.
Je quittai femme et enfant vers 19h, passai reprendre Samuel et nous rentrâmes à la maison…
“Il y eut un soir, il y eut un matin”, ce fût le jeudi, ce n’était déjà plus le 14 décembre…
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JC découvre la noix de coco…
Oui, je parle de moi à la 3ème personne, et oui… j’ai découvert aujourd’hui ce qu’était réellement une noix de coco !
Mettons les choses au clair tout de suite : je savais que c’était une grosse noix très dure; et très difficile à ouvrir (cf. “Seul au Monde”) , qu’il y avait du jus dedans, et que ça avait le goût… des yaourts à la noix de coco ! (logique 😉 ).
Mais je n’en avais jamais eu de “vraie” entre les mains, et je n’en avais donc jamais mangé.
Profitant d’une escapade à Grand Frais, j’ai comblé cette lacune en achetant le fruit inconnu. Sur le chemin de retour, Julie a tenu à m’informer que ce n’était pas très bon, et pas évident à manger. Et surtout, que ça ne se mangeait pas comme un vulgaire kiwi ! Mais les yaourts à la noix de coco étant excellents, je me suis dit qu’elle avait tort…
Première épreuve vers 16 heures, avec la “vidange” de mon Cocos nucifera. A l’aide d’un marteau et d’un tournevis, j’ai percé 2 trous et ai extrait environ 20 cl de jus… Et nous l’avons bu 🙂 … Je m’attendais franchement au gout d’un cocktail sucré, accompagné de rhum, celui-là même que l’on déguste à la terrasse d’un bar au beau milieu des Caraïbes… En fait non ! Ce n’est pas ça du tout ! C’est de l’eau avec un vieux goût à peine perceptible… de noix de coco ! Et ce n’est pas du tout sucré…
Je ne me suis pas laissé aller, et ai activement préparé la seconde épreuve : casser cette fichue coquille et manger l’intérieur ! Le marteau et le tournevis n’étant cette fois d’aucune efficacité, c’est la scie qui nous a aidés !

Malheureusement, la chaire blanche à l’intérieure n’avait nullement la texture d’un yaourt… C’était dur, impossible à gratter, et c’est finalement avec la lame d’un couteau suisse que je m’en suis sorti… Au bout de trois quarts d’heure et avec l’aide de Julie, les 2 demis coquilles étaient vides ! Mais à manger, la chaire n’était pas bonne du tout ! Ah ça, mélangée avec des raisins secs, des bananes séchées, des papayes confites, etc, et un kir pêche, oui, ça passe bien ! Mais seule, comme ça, … non !
Nous avons donc décidé de la râper, pour la consommer dans des petits sablés !!! Certes, c’est un triste destin pour une noix de coco fraîche, mais c’est là son unique chance d’être mangée !

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Bouclette pour garder la forme…
Les obligations familiales, obstétricales et professionnelles ne permettant pas de sortir le vélo ces dernières semaines (quoique quand on veut, on peut… 🙁 ), c’est aujourd’hui que je m’y suis remis. Pas pour une étape du tour de France, mais pour une petite boucle reposante, sur du plat.
Après la réparation de mon pneu trouvé crevé (ça devait bien finir par arriver), j’ai inauguré mes premières couvre-chaussures ! Et c’est efficace, mes pieds étaient bien au chaud ! J’ai aussi ressorti les gants d’hiver mais ils sont rapidement retournés dans le sac à dos. J’ai admiré les belles couleurs de l’automne et les ombres contrastées d’un après midi ensoleillé de novembre. Un régal pour les yeux !
Pour un dérouillage efficace, j’aurais pu subir une “électrolyse humaine” mais comme on n’a pas de baignoire, ça m’a semblé compromis… 😉
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7ème art : Conte d’Altitude…
Voici notre nouveau court métrage intitulé Conte d’Altitude. Cette fois pas de Samuel, mais un bon plaisir solitaire… à 3 !
Sans plus tarder, régalez-vous (environ 12 minutes, en HD 🙂 ) :
Petite mise à jour : entre la minute 01:00 et 03:00, le son va decrescendo. C’est pas normal (enfin si, c’est parce que j’ai foiré, disons-le clairement 🙁 ), mais c’est comme ça. Vu le temps nécessaire pour balancer une vidéo de cette taille dur Dailymotion, il faudra attendre quelques jours avant que je ne corrige cette “coquille”… Merci de ne pas me jeter de tomates… 😉
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C’était hier !
Jean-Christophe a eu 25 ans !
A cause de sa femme malade, il n’a pas pu fêter son anniversaire comme il se doit. Alors lundi soir, ou mardi, quand il sera en repos, je lui ferais un bon gâteau avec bien entendu 25 bougies à souffler
. En attendant, il a quand même eu droit à son cadeau.Avec un jour de retard sur le blog : Bon anniversaire mon chéri !
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Noces de Bois
Il y a 5 ans… c’était bien !

Aujourd’hui, c’est encore mieux !

Faisons en sorte que l’Avenir soit encore meilleur !

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Boucle du Château
Pour ma sortie cycliste hebdomadaire, j’ai dérogé à la règle du samedi pour rouler… le vendredi ! On ne choisit pas ses jours de repos… Dans la mesure du possible, je ne le referai pas, tant la circulation y était dense et pénible. De plus, près de la moitié du parcours s’est effectué sur des routes assez dégradées…
Outre ces 2 désagréments, la boucle de 53 km m’a fait découvrir de nouveaux secteurs Seine-et-Marnais, au Nord-Est de Melun, ainsi que le château de Vaux-le-Vicomte où se sont déroulées les festivités du mariage de Tony Parker et Eva Longoria (ce n’est donc pas un exemple à suivre, ni pour le porte-monnaie, ni pour la durée de l’union…).

Un petit tour agréable, en somme, mais pas vraiment transcendant, du moins aujourd’hui… Nos futurs impôts permettront surement de réfectionner le réseau routier…

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Samedi sportif
Depuis plus de 4 semaines, il n’est pas tombé la moindre goutte de pluie sur Combs-la-Ville. La météo a beau annoncer des orages, des averses et autres perturbations, rien n’y fait, il fait toujours aussi sec…Hier, cependant, malgré une bonne motivation, j’ai dû me résigner à rester chez nous, et à attendre la pluie annoncée… Les prévisions étaient formelles, le ciel était bas, pourtant… le bitume est resté sec !
Tant pis, ce n’est que ce matin que j’ai abandonné femme et enfant au bénéfice de mon “plaisir solitaire”.Un périple de 75 km tout de même (soit 10 de plus que prévu), toujours à cause de mon sens de l’orientation un peu défaillant par moment (et surtout un itinéraire pas assez préparé…).Après 5 km de "ville" et 7 km de route “de liaison”, je suis passé au Sud de l’aérodrome de Melun-Villaroche, puis me suis évadé, encore une fois, dans la Brie, sur des routes inconnues. Le passage par Crisenoy et Champdeuil (malgré une fausse route) m’a permis d’éviter la longue ligne droite de la N36.
C’est en revenant, à Ozouer-le-Voulgis, que j’ai compris que les 22 derniers kilomètres seraient… abominables. Et ils l’ont été ! En effet, mes jambes ont lâchés, et malgré mes prises régulières de sucres rapides et une bonne hydratation, il m’a fallu près d’une heure pour rallier la maison. J’aurais pu raccourcir le retour, mais j’ai voulu rester fidèle à ce que j’avais prévu…
En arrivant dans Le Nid, après une bonne douche bienfaisante, j’ai savouré un bon steak et des haricots verts, trop bons, que ma petite femme avait mijoté… C’est peut-être ça le meilleur dans le sport : se restaurer !
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Boucle de l’Orée de la Brie
Pour la deuxième sortie, j’ai “visité” quelques villages de l’Orée de la Brie. Un léger vent de Nord-Ouest démotivant au départ mais bénéfique par la suite m’a permis de faire le circuit en 2h10.
Je me suis égaré au Nord, d’où l’excroissance ridicule et une "rallonge" de 8 km…