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Journée Alsacienne : cité du train
La semaine dernière, nous avons profité de notre journée en famille pour nous rendre une nouvelle fois à la Cité du Train. Samuel nous a demandé récemment si nous pouvions y aller, c’est chose faite.
Voici quelques photos 2013/2022 :
2013 2022 2022 2013 2022 2013 2022 Allez, on va continuer avec les photos de 2022 :
Draisine Il devait faire froid en troisième classe Des casseroles de rêve pour Tante Nicou Deux pubs dans le métro.
Wagon frigorifique Une draisienne pour contrôler le rail (pensée pour Anne avec son wagon trottinette) Défense de cracher sur le parquet des voitures Bureau dans la voiture présidentielle Infirmerie Pas trop de place pour les jambes Destination vacances pour Mamie Joëlle Publicité pour le Beaujolais En cabine du TGV Nous avons passé presque trois heures dans le musée. C’était un chouette moment en famille avec des garçons qui s’intéressent et discutent avec leur papa. Surtout Samuel qui était à fond.
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Tous ailleurs !
Ce week-end est un peu particulier puisque nous sommes tous à différents endroits.
J’ai déposé les garçons ce matin au gîte de La Grande Échelle, à quelques mètres de la Suisse pour qu’ils passent deux jours avec leur groupe Scouts.
Jean-Christophe, lui, est sur les rails entre la France et la Suisse. Ce soir, il dort à Morteau.
Et du coup, moi, je passe la nuit chez mes parents, ça m’évite une heure de trajet supplémentaire.
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Dringgg
Les barrières se baissent, notre conducteur préféré va passer.
Sorti du collège, notre collégien fait signe à son papa -
Ligne des horlogers (deuxième)
Aujourd’hui, Jean-Christophe travaillait encore sur cette ligne. Il est parti à 10 h de la maison, a commencé son travail et était en coupure de 13h20 à 15h au Valdahon. Ça lui a permis de revenir manger à la maison. Nous sommes ensuite partis en famille en direction de Morteau cette fois-ci.
Ça nous a permis de passer un samedi en famille malgré le travail.
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Ligne des horlogers
Ce matin, Jean-Christophe passait en train à Valdahon, alors avec Nathanaël, nous l’avons rejoint pour faire Valdahon-Besançon.
En attendant au chaud dans la gare, j’ai découvert l’horloge. J’aime bien le clin d’œil au nom de la ligne.
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Étude de ligne
Jean-Christophe est en étude de ligne cet après-midi entre Besançon et Morteau. Il passait donc à Valdahon, nous sommes allés le voir au passage à niveau vers chez nous.
Son train arrive en sifflant -
Besançon nous voici !
Demain,nous allons visiter LA MAISON qui sera peut-être notre prochaine maison.
Du coup, dès la sortie de l’école nous sommes partis avec nos bagages, nos sandwichs, les cartables, les billets de train et nos attestations car nous sommes dehors après le couvre-feu.
Nos petits gars studieux Dans la navette nous emmenant de la gare de Besançon Franche Comté TGV à Besançon Viotte, Jean-Christophe s’est aperçu en regardant son logiciel magique que c’est son pote Julien qui allait nous emmener. Il est donc parti avec ses fistons le voir avant le départ du train. Je suis donc la gardienne de nos affaires personnelles and i am toute seule.
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Départ
Les enfants ont retrouvé Papy Pascal en début d’après-midi devant la gare de Paris gare de Lyon. Ils ont poursuivi des pigeons sur le parvis jusqu’à ce que le TGV soit affiché à la voie 5.
Photos avant de passer les portiques :
Je vous souhaite à tous les quatre une bonne semaine ensemble à Arnas.
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La Rhune à pied (épisode 2)
Avant de lire cet article, il faut d’abord se souvenir que nous avions décidé “de ne plus y retourner à pied”. L’article se trouve ici !
Mais les enfants sont plus grands, 7 et 9 ans, et il fallait prendre notre revanche. Sans enfants sur le dos et le ventre, on s’est dit qu’on pouvait le faire. Logeant à Sare, nous décidons de partir du gîte. Le pique-nique, les bouteilles d’eau, casquettes, chapeaux et crème solaire sont dans le sac, c’est parti pour l’aventure, il est à peu près 8h20.
Jusque là, vous connaissez, c’est Sare !
Nous rencontrons ensuite quelques animaux.
Certains décident de nous suivre Nous profitons des paysages et nous rapprochons petit à petit du train.
Il y a encore à grimper. Le soleil fait quelques apparitions et nous avons chauds. Alors que je satisfais un besoin naturel, les enfants continuent de monter. Samuel entame la discussion avec des randonneurs et Jean-Christophe part les rejoindre quelques mètres devant. Moi, j’y vais à mon rythme, c’est à dire, moins vite, parce que ça monte et que je transpire quand même beaucoup. La preuve, je sue des bras !!!
Alors que mes trois gars se demandent si je n’ai pas fais demi-tour, ça doit faire vingt minutes que nous ne nous voyons plus, le chemin redevient “plat” et droit et ils m’aperçoivent enfin. J’arrive juste quelques minutes après eux à l’endroit où nous coupons la voie du train. Nous marchons depuis deux heures.
Une pause ravitaillement, et nous repartons pour la dernière partie de notre ascension.
Nous prenons les paris pour savoir à quelles heures nous serons au sommet. Jean-Christophe dit midi, Nathanaël : 11h30, Samuel : 11h50, et moi : 11h45.
Hé, mine de rien, on s’élève. Nous voyons bien le sentier du GR10 où j’étais à la traine, il se trouve juste au dessus des sapins et donc, si vous suivez bien, en dessous de la voie ferrée.
Saint-Jean-de-Luz Le sommet n’est plus très loin !
Nous franchissons la voie du train, et arrivons au sommet !
Il est 11h30 ! Alors qui a fait le meilleur pronostic ? Bravo fiston.
Samuel prend la photo Tous au sommet La vue est encore dégagée, nous en profitons pour faire quelques photos avant de déguster notre salade de pomme de terre, bien méritée !
Quelques photos et on redescend !
Un vautour Il est bien nettoyé cet os De retour chez nous, nous avons pris un bon goûter, une bonne douche et Nathanaël s’est octroyé une sieste, et il a bien raison !
Après cette bonne randonnée, nous étions fatigués mais heureux. Nous avons trouvé que c’était bien plus facile qu’en 2012. Et oui, des garçons qui marchent, ça change la donne.
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Mal des transports
Jeudi, j’ai pris le TGV avec mes fils pour aller chez mes parents. Avant de quitter la maison, Samuel me dit : « Maman, je dois prendre le médicament, je suis malade en train. » C’était l’heure de partir, alors j’ai dit : « Tant pis pour le médicament, ça ira. »
Au final, après 1h15, Samuel me dit : « Je peux aller aux toilettes, j’ai envie de vomir. » Le voyage durant 3h, je me dis : « Pourquoi ne lui ai- je pas donné du Nausicalm? »
L’épisode des toilettes a recommencé 10 minutes après. Je suis alors allée au Bar pour demander un sac en papier pour si mon bonhomme n’avait pas le temps d’arriver aux WC.
Le gars du bar était bien rôdé puisqu’il m’a filé deux sacs en papier, des serviettes, et deux gobelets (un rempli d’eau pour qu’il se rince la bouche et un vide pour si il souhaite recracher)
Kit « vomito« Au final, Samuel a pris l’air à Dijon, Dole et Mouchard, il a gardé son sac devant lui tout au long du trajet et rien est sorti, ouf !
Il a pu manger son sandwich une fois arrivé chez Papy et Mamie.